dimanche 31 mars 2013

Une souris dans le paquet de pâtes

Drôle de surprise pour une famille de Seine-et-Marne. Le week-end dernier, en préparant le dîner, la mère a découvert une souris morte dans la casserole. Elle venait d'y verser un paquet de 500 g de farfales Panzani, raconte Le Parisien. Deux représentants de la célèbre marque sont venus voir la famille en début de semaine pour s'excuser. Et lui offrir un bouquet de fleurs et dix paquets de riz Lustucru. Du riz ? Oh oui. Car "c’est sûr, nous ne sommes pas prêts de manger de nouveau des pâtes ! On est dégouté !", confie la mère de famille au quotidien de la capitale.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/insolite-une-souris-dans-le-paquet-de-pates-27-03-2013-2049753.php

samedi 30 mars 2013

OL Polémique - Audio. Lacombe conseille aux femmes de s'occuper «de leurs casseroles» plutôt que de football

Dans l'Emission Luis Attaque, animée par Luis Fernandez sur RMC, Bernard Lacombe était invité lundi à réagir à la critique d'une l’auditrice, assez remontée contre l’attaquant des Bleus : "Karim Benzema est une grosse blague, il n’a pas marqué depuis juin 2012. Il n’a pas chanté “La Marseillaise” et n’est pas représentatif d’un Bleu", avait-elle lâché.
Le conseiller de Jean-Michel Aulas a pris la mouche en coupant court à la conversation : " Je ne discute pas avec les femmes de football".
En matière de football, a t-il "oublié" que l’équipe féminine de l’OL est championne de France à dix reprises et double championne d’Europe en titre ? Le président Aulas, qui ne manque jamais de mettre sa team féminine en avant, va sans doute le lui rappeler.
LA SUITE SUR CE LIEN..............  http://www.leprogres.fr/actualite/2013/03/26/bernard-lacombe-conseille-aux-femmes-de-s-occuper-de-leurs-casseroles-plutot-que-de-football

vendredi 29 mars 2013

Top Tweets : le classement qui fait scandale ?

Cette semaine encore, le Top Tweets de notre blog a fait beaucoup parler. Certains sportifs se sont plaints ouvertement de s’en être fait éjecter, sans préavis. D’autres, jusqu’au-boutistes, songeraient même à demander l’ouverture d’une enquête judiciaire (c’est de saison) sur la manière dont est établi ce classement. En pleine tempête médiatique, l’équipe de Sports Bourgogne tient bon la barre, et ne cédera à aucune pression (sauf, peut-être, celle tirée du fût). Une place dans le Top Tweets ne se décide pas, ne s’achète pas (même si nous étudierons toute proposition de ce genre), et ne se quémande pas. Elle se mérite. Voici donc la liste des 10 sportifs bourguignons les plus méritoires de la semaine. Bravo à eux, courage aux autres..................

La suite sur ce lien.......... http://blog.france3.fr/sports-bourgogne/2013/03/25/top-tweets-le-classement-qui-fait-scandale/

jeudi 28 mars 2013

De la drogue dans le jet d'Afflelou

Mauvaise surprise pour le célèbre opticien. Son jet privé, un Falcon 50 qu'il met régulièrement en location, a été utilisé dans le cadre d'un trafic de drogue massif entre la République dominicaine et St Tropez, explique le JDD.

"Nous avons confié la gestion [de ce jet] à une société lyonnaise, la SN Trans Hélicoptère Services, qui vend des heures de vol à des gens qu'on ne connaît pas quand nous ne l'utilisons pas. Nous leur avons demandé des explications, en vain pour l'instant. Et nous avons mandaté notre avocat, Me Temine, pour nous porter partie civile dans cette affaire", commente le groupe
Alain Afflelou.

Mercredi, le jet, chargé de 26 valises contenant 680 kg de cocaïne, devait s'envoler en direction de la Côte d'Azur lorsqu'il a été encerclé par la police, à Saint-Domingue. Plus de 30 personnes ont été arrêtées, dont quatre Français s'apprêtant à ramener cette marchandise à St Tropez. L'Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants et la juridiction interrégionnale spécialisée de Marseille se sont saisis du dossier, initié par la gendarmerie de St Tropez, qui avait repéré les allers et venues suspectes du jet.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/24/97001-20130324FILWWW00041-de-la-drogue-dans-le-jet-d-afflelou.php

mercredi 27 mars 2013

Landrecies : une personne non voyante et son chien-guide refusés au Flunch du Quesnoy

Dans sa maison de Landrecies, Sylvain Syllebranque, atteint de cécité totale, n’a pas besoin de Vox pour se déplacer. Il connaît parfaitement cette encoignure, ce pan rugueux de briques rouges, cette porte vitrée, ce petit meuble en bois qu’il évite naturellement. Á l’hôpital d’Avesnes aussi, où il exerce depuis presque trente ans la profession de kinésithérapeute, ce praticien apprécié se déplace aisément à l’aide de sa canne blanche, son labrador chien-guide d’aveugle reste à la maison.
En dehors de ces endroits protégés, c’est bien sûr autre chose. Vox, un labrador noir éduqué, sont « ses yeux » et l’accompagne partout. Entre le maître et le chien existent une grande complicité, une jolie tendresse. L’un ne serait pas sans l’autre et vice-versa...

Une amende de 305 €


Depuis jeudi, Sylvain Syllebranque ne décolère pas. Accompagné de son précieux compagnon à quatre pattes, il s’est vu refuser l’entrée du restaurant Flunch du Quesnoy où il souhaitait déjeuner avec son épouse. « La responsable a invoqué un problème d’hygiène. Je lui ai expliqué, carte d’identité du chien sous le nez, qu’elle était obligée de m’accepter avec mon chien sous peine d’une amende de 305 euros», explique Sylvain Syllebranque, blessé. La jeune femme propose ensuite au couple de s’installer près de l’entrée du restaurant, à la limite de la galerie « il n’y avait même pas de table», soupire Sylvain Syllebranque. Elle s’éclipse pour téléphoner à sa direction, puis revient et notifie froidement au couple qu’ils sont indésirables et ne peuvent pas rentrer dans le Flunch. Une demi-heure plus tard, ils seront parfaitement accueillis, tous les trois, au restaurant Crocodile de Petite-Forêt. « Mon chien est parfaitement éduqué et nous sommes toujours bien accueillis en général, que ce soit au Flunch à Louvroil, chez Enzo au Quesnoy, au Lautrec à Landrecies ou à l’auberge du Croisil», souligne Sylvain. « Très souvent, les restaurateurs nous apportent même de l’eau pour le chien » note son épouse.
Le Landrecien reconnaît que ce comportement rigide est un cas isolé, mais c’est le cas de trop. « C’est déjà difficile du matin au soir, on demande aux personnes handicapées de s’intégrer…». Mais, hélas, le principe d’intégration fonctionne souvent dans le mauvais sens. Les personnes handicapées ont souvent une très bonne faculté d’adaptation à la société, mais certaines personnes mal à l’aise avec le handicap peuvent rencontrer de la difficulté à « s’intégrer» aux gens différents. Sylvain Syllebranque se réserve le droit de porter plainte contre le restaurant Flunch du Quesnoy qui s’est mis en faute en refusant son chien guide d’aveugle.

Inexcusable


Toutefois, Le Landrecien s’est dit sensible aux excuses sincères d’Eric Mozas, propriétaire franchisé du Flunch du Quesnoy, qui n’a pas approuvé la décision de la responsable. La direction de l’enseigne Flunch désavoue officiellement son employée et qualifie l’incident « d’inexcusable, de triste et de déplorable ». « Elle va suivre une formation sur le handicap», termine le porte-parole de la direction.

http://www.lavoixdunord.fr/region/landrecies-une-personne-non-voyante-et-son-chien-guide-ia12b0n1120628

mardi 26 mars 2013

Haro sur le bœuf brésilien

Le Brésil possède le plus grand cheptel bovin au monde et est également le premier exportateur de viande bovine. En outre, Brasilia occupe la troisième place en termes de consommation par habitant – 38,5 kilos en moyenne l’an dernier, derrière l’Argentine et l’Uruguay. Néanmoins, l’importance de la production est loin de garantir la qualité de la marchandise en bout de chaîne. Plus de 30% de la viande vendue au Brésil est clandestine – ce qui signifie une absence de contrôle, de très mauvaises conditions d’hygiène la plupart du temps et la forte probabilité qu’elle soit contaminée par des bactéries et des vers à l’origine de maladies comme la salmonellose ou le téniasis.

En parcourant les abattoirs [municipaux et gérés par les Etats] dans cinq Etats du Brésil, nous avons été confrontés à une situation qui enlèverait l’appétit au plus vorace des carnivores. Dans plusieurs d’entre eux, les carcasses sont transportées sur le dos nu et transpirant des employés pour ensuite être découpées sur des tables immondes et moisies. Sans protection, ils utilisent des couteaux rouillés, qui sont "nettoyés" sur les murs et les coins des tables. Il est fréquent de voir le sang des animaux s’écouler directement dans les rivières et les étendues d’eau voisines. Les urubus [vautours d’Amérique] et les chiens sont bien évidemment présents pour profiter des restes.

La marchandise exportée est mieux contrôlée

Cette viande, manipulée dans des conditions d’un autre temps et le plus souvent contaminée, est consommée exclusivement au Brésil. La viande exportée est obligatoirement soumise à une inspection très rigoureuse du SIF [les services fédéraux]. Près de 300 chambres froides au niveau national bénéficient de ce contrôle. Pour chacune d’entre elles, une équipe d’au moins dix employés est mobilisée afin de s’enquérir de l’état des bâtiments où les animaux sont tués et emballés ou bien encore des conditions d’hygiène et de santé des bovins. Des échantillons de viande sont analysés régulièrement par un réseau de 600 laboratoires. Cette viande est à la fois exportée et présente dans les principaux lieux de vente du pays. Dans la capitale et les grandes villes, peu d’établissements prennent le risque de vendre de la marchandise non visée par les services fédéraux.

C’est sur les emballages où figurent les tampons des services municipaux ou des Etats que les suspicions sont les plus grandes. Les abattoirs que nous avons visités relevaient de ce cas de figure. Le fait qu’ils ne soient pas sujets aux mêmes exigences de contrôle que les établissements qui opèrent sous surveillance des autorités fédérales ouvre des brèches alarmantes. Ainsi, il arrive très souvent que les vétérinaires censés s’assurer du bon état de santé des animaux abattus dans ces endroits soient recrutés et payés par les abattoirs eux-mêmes. Leur présence se fait donc rare.

Plus qu'un simple coup de tampon

La fréquence des dysfonctionnements dans les abattoirs atteste que les contrôleurs, eux non plus, n’accomplissent pas leur devoir. "Inspecter ce n’est pas seulement mettre un coup de tampon, mais une procédure responsable et méticuleuse. Si les vétérinaires n’inspectent pas la viande et les contrôleurs ne vérifient pas le travail des vétérinaires, le tampon ne garantit pas la sécurité du produit" estime le médecin vétérinaire Antonio Jorge Camardelli, président de l’Association brésilienne des Industries exportatrices de viande. Ces cinq dernières années, plus de 80 000 hospitalisations ont eu lieu dans les hôpitaux brésiliens pour cause d’ingestion de viande contaminée. Cela place le Brésil parmi les pires pays en termes de conditions sanitaires.

Le gouvernement admet la gravité de la situation. "Nous avons cherché à renforcer le SIF en étant moins attentifs à la viande commercialisée au Brésil sous un autre régime de contrôle. A présent, nous allons agir à ce niveau" affirme Enio Marques, un haut responsable du ministère de l’Agriculture. La signature d’un décret qui dort dans les recoins du Palais du Planalto [siège de la présidence de la République] pourrait être un bon début. Il prévoit des contreparties et des incitations financières pour les municipalités et les Etats qui parviennent à hausser leur niveau de contrôle à la hauteur de celui des services fédéraux.

Les abattoirs concernés pourraient ainsi gagner le droit de vendre leur viande dans tout le Brésil, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui (le commerce est restreint aux limites du territoire de production). Néanmoins, pour que cette politique réussisse, le gouvernement ne doit pas relâcher ses exigences, sous peine d’homologuer la viande de producteur malhonnêtes. Les Brésiliens en ont assez des tampons qui ne garantissent rien et des lois qui ne servent à rien.


http://www.courrierinternational.com/fiche-pays/bresil

lundi 25 mars 2013

Des pesticides dans les pâtes, les céréales et les biscuits

Plus de la moitié des aliments à base de blé contiendrait des insecticides, selon une étude réalisée par l'association Générations Futures. Outre les aliments, les produits ménagers seraient également contaminés.
Pâtes, pain de mie, biscuits ou viennoiseries, les aliments à base de céréales seraient pour la plupart contaminés aux pesticides. Selon le rapport de l'association Générations Futures, publié mercredi, nous sommes constamment exposés à des insecticides perturbateurs endocriniens (PE), néfastes pour notre organisme. "Il est urgent d'agir dès aujourd'hui pour réduire au maximum l'exposition du public à ces substances perturbateurs endocriniens," explique François Veillerette, porte-parole de l'association.
L'association Générations Futures a mené une série d'analyses qui montrent l'omniprésence de très nombreux pesticides PE. Pour les produits alimentaires à base de céréales, 75% des échantillons analysés en contiennent des résidus et sur ces 75% la totalité contient une ou plusieurs substances suspectées d'être des PE.
Les pesticides à la maison
Literie, textiles, les produits non alimentaires sont également touchés. Sur 181 produits commerciaux étudiés, 108 contenaient une ou plusieurs substances suspectées d'être PE. Le rapport de Générations Futures montre que nous sommes quotidiennement exposés à ces pesticides, notamment dans les foyers. Les PE sont dangereux pour la santé, notamment pour les fœtus et les jeunes enfants.
"Notre rapport permet de prendre clairement conscience de l'exposition ubiquitaire à des insecticides PE. Son but ultime est de faire prendre conscience à nos responsables politiques de l'urgence d'une action préventive dans ce domaine [...] pour que demain aucun organisme ne contienne de perturbateurs endocriniens et ce afin de protéger la santé des enfants à naître."
 

dimanche 24 mars 2013

Un boulon dans le poulet

Un consommateur thionvillois a eu la désagréable surprise de découvrir un boulon et un écrou dans un paquet d’ailes de poulet acheté dans un magasin Lidl de Thionville (1,50 € le paquet de 250 g).
La direction de l’enseigne s’est retournée vers son fournisseur, pourtant équipé d’un détecteur de corps étrangers d’origine métallique, sans réussir à déterminer l’origine du boulon.
« Une enquête a été ouverte mais c’est tout à fait exceptionnel », a fait savoir le service de communication de Lidl. Avec un courrier d’excuses, le client a reçu un avoir de 15 € qu’il a cependant refusé, estimant le geste insuffisant.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/19/un-boulon-dans-le-poulet

samedi 23 mars 2013

Propos sur la pédophilie : le cardinal Napier s'excuse sur Twitter

Le cardinal sud-africain avait affirmé samedi que la pédophilie devait être traitée comme une "maladie" et non comme un crime. "Ce qui doit être puni, c'est le crime d'abus sexuel contre des enfants", souligne-t-il désormais, expliquant que ses propos ont été mal interprétés.
"I apologise to Victims of Child Abuse offended by misstatement of what was & still is my concern about all abused including abused abuser" ("Je présente mes excuses aux victimes d'abus sexuels pendant leur enfance offensés par la mauvaise interprétation de ce qu'est ma préoccupation, qui s'adresse à tous ceux qui sont victimes d'abus, y compris les auteurs qui sont eux-mêmes des victimes").
C'est par ce tweet, le dernier d'une série de sept écrits lundi matin, que le cardinal Wilfried Napier, qui a participé au conclave ayant abouti à l'élection du pape François, espère éteindre la polémique créée par des propos tenus samedi lors d'une interview télévisée. "Je crois que tous les dictionnaires confirment que la pédophilie est un trouble médical. Ce qui est un crime, c'est l'abus sexuel d'enfants. La pédophilie doit donc être soignée. Ce qui doit être puni, c'est le crime d'abus sexuel contre des enfants", écrit-il également dans l'un des messages.
Déjà critiqué par le passé
Le cardinal, archevêque de Durban, en Afrique du Sud, avait été critiqué au début des années 2000 pour sa passivité face à un scandale de prêtres pédophiles, en refusant d'expulser les coupables de l'Eglise sud-africaine. Des propos tenus samedi dans une interview diffusée par la BCC avait rapidement remis cette attitude ambiguë sur le devant de la scène. "D'expérience, la pédophilie est vraiment une maladie, ce n'est pas un problème criminel, c'est une maladie. C'est une maladie psychologique. Que faites-vous avec les maladies ? Vous devez essayer de les guérir. Si moi, en tant qu'individu normal, je choisis sciemment de violer la loi, je dois être puni", soulignait le prélat dans l'entretien.

Il indiquait notamment qu'il connaissait deux prêtres qui avaient été victimes d'abus sexuels dans leur enfance et qui étaient ensuite eux-mêmes devenus pédophiles. "Ne me dites pas que ces personnes sont pénalement responsables au même titre que quelqu'un qui choisit de faire cela. Je ne pense pas qu'on puisse estimer qu'une personne mérite d'être punie quand elle a elle-même été blessée", avait-il conclu.
 

vendredi 22 mars 2013

Tombe de Cloclo saccagée: une plainte

La famille de Claude François a annoncé aujourd'hui qu'elle déposait plainte après avoir découvert la tombe du chanteur saccagée, une semaine après les commémorations autour des 35 ans de sa mort, rapporte leparisien.fr. L'artiste repose au cimetière de Dannemois (Essonne), qui se situe près du moulin où il habitait.

Selon leparisien.fr, les pieds des chevalets soutenant des gerbes de fleurs ont été arrachés, des plaques de marbre et des pots de fleurs brisés et les plantes piétinées. La gendarmerie de Milly-la-Forêt, en charge de l’enquête, a pu relever des empreintes ADN sur certains objets jetés et éparpillés


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/17/97001-20130317FILWWW00089-tombe-de-cloclo-saccagee-une-plainte.php

jeudi 21 mars 2013

Hérault. Un couple trouve "une masse gluante dégoûtante" dans du jus d’orange

C’est une découverte peu appétissante qu’a faite un couple à Grabels, dans l’Hérault, mercredi matin. Selon une information du Midi Libre, Nicolas et sa compagne ont trouvé « une masse gluante » ressemblant à une moule dans une brique de jus d’orange.
C’est dans une brique de 2 litres de jus d’orange de la marque Casino que la découverte a eu lieu. Le breuvage n’était pas périmé puisque la date de péremption affichait le 23 août prochain.
« Je ne m'étais aperçu de rien, je n'aurais jamais imaginé ça. La boîte était restée dans le frigo bien fermée et elle est toute pourrie. Ce n’est pas juste quelque chose qui est tombé dedans » a commenté Nicolas. Ce qu’a trouvé cet Héraultais, c’est « une masse visqueuse comme une moule qui gît au fond de la brique, dont les parois sont recouvertes en partie par une sorte de moisissure ».
L’hypermarché Casino des Près-d’Arènes a été contacté suite à la découverte. « Cela peut être dû à une entrée d’air dans la bouteille, au moment du transport. En tout cas, nous pouvons assurer que cela n’arrive jamais, d’habitude. Nos produits sont parfaitement aux normes. C’est la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de problème » s’est expliqué un employé de l’enseigne.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/14/1582288-herault-un-couple-trouve-une-masse-gluante-degoutante-dans-du-jus-d-orange.html

mercredi 20 mars 2013

Pakistan: soldat lapidé pour une relation

Un soldat pakistanais a été lapidé cette semaine pour avoir entretenu une "relation illicite" avec une jeune femme dans une zone tribale conservatrice située à la lisière de l'Afghanistan, ont indiqué aujourd'hui des responsables.

Anwar ud-Din, un soldat âgé d'environ 25 ans, avait été déployé pendant deux ans à Parachinar, principale ville du district tribal de Kurram, puis transféré dans la partie du Cachemire administrée par le Pakistan. Or le jeune homme est retourné récemment dans cette ville pour y rencontrer une jeune femme et ont été aperçus ensemble dimanche dans un cimetière.

Une assemblée tribale a ordonné sa mort par lapidation pour adultère après que le soldat eut confessé avoir rencontré au moins trois fois la jeune femme, a indiqué un chef tribal local requérant l'anonymat.

"La lapidation a eu lieu mardi dans le cimetière de Tori. Entre 40 et 50 ont lancé des pierres sur l'homme jusqu'à sa mort", a ajouté ce responsable, précisant que la dépouille avait été abandonnée à un hôpital local. "C'était une scène horrible à voir. Le corps était vraiment mutilé après avoir été la cible de tous ces projectiles. Il avait des hématomes partout et le visage était méconnaissable", a dit une source hospitalière locale.

Le sort de la jeune femme demeurait incertain aujorud'hui, certaines personnes affirmant qu'elle avait aussi été lapidée même si elle a nié toute relation avec ce soldat.

Dans les sept districts tribaux du nord-ouest du Pakistan, des zones considérées comme un sanctuaire pour les talibans et d'autres groupes liés à al-Qaida, ce sont les conseils locaux - les jirga - qui rendent les décisions de justice en fonction des traditions locales et d'une interprétation rigoriste de la religion musulmane.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/13/97001-20130313FILWWW00323-pakistan-soldat-lapide-pour-une-relation.php

mardi 19 mars 2013

Baisse des prestations familiales: Les pistes du gouvernement

Pourtant la France c'est :"Liberté, égalité, fraternité" où est l'égalité dans cette réforme ?

Baisser les allocations de plus hauts revenus et abaisser le plafond du quotient familial sont les deux idées du gouvernement...
2,2 milliards d’euros, c’est la somme qu’il faudra trouver pour réduire le déficit de la Cnaf (Caisse nationale des allocations familiales). C’est ce qu’estime le rapport du Haut Conseil de la famille, révélé par Les Echos ce lundi. Comment réaliser cette économie sur les prestations familiales d’ici 2016? Le HCF n’a encore rien dévoilé.
Toutefois, le quotidien économique évoque ce mardi les pistes à l’étude. Ces dernières devraient favoriser les moins bien lotis aux dépens de la classe moyenne et des plus aisés qui bénéficient tous deux largement de la politique familiale pour l’heure, à en croire le rapport du HCF.
2,3 milliards d’économies avec un plafond du quotient familial à 1.000 euros
La première piste, dans cette logique, s’appliquerait à diviser par deux les allocations à partir du seuil de la Paje (la prestation d’accueil du jeune enfant). Le plafond de ressources de la Paje se situe pour trois enfants à 50.140 euros par an pour un couple avec un seul revenu, 61.335 pour un couple avec deux revenus. Plafonner les allocations en fonction du revenu éviterait notamment leur fiscalisation. 890.000 ménages sur cinq millions de bénéficiaires verraient ainsi les allocations fondre de moitié, permettant une économie de cinq milliards. Trois quarts d’entre eux se situent dans les 20% des plus hauts revenus.
Autre piste, celle de la réduction universelle du montant des prestations versées, tout en relavant celui des prestations sous conditions, protégeant ainsi les plus modestes.
La seconde piste serait l’abaissement du plafond du quotient familial à 1.500 euros. Il permettrait de rapporter 1 milliard d’euros également. Le document de travail gouvernemental indique qu’en le ramenant à 1.000 euros, le gain serait de 2,3 milliards d’euros, mais une trop large part de la population serait touchée. Le risque noté par le rapport serait que les familles d’un seul enfant soient affectées par ce scénario.
Dernière idée: le quotient familial serait abaissé en fonction des allocations versées. Mais l’effet serait trop important, puisque les économies dégagées seraient de l’ordre de 6,7 milliards d’euros. De quoi voir venir.

http://www.20minutes.fr/economie/1116647-20130312-baisse-prestations-familiales-pistes-gouvernement

lundi 18 mars 2013

Marseille : nouveau scandale dans la police

Nouveau scandale dans la police marseillaise. Cinq mois après le coup de filet contre la BAC Nord lancé par deux juges d'instruction, une nouvelle enquête préliminaire a été ouverte au début de l'année par le parquet de Marseille contre d'autres services de police pour des faits délictueux présumés. Selon nos informations, cette nouvelle affaire aurait été déclenchée sur la base d'un rapport remis au procureur Jacques Dallest. Ce mémoire rédigé par d'anciens policiers de la brigade anti-criminalité raconterait par le menu de nouvelles exactions (extorsions, trafic, vols) commises au sein de la BAC Nord, mais aussi par d'autres services.
C'est la troisième enquête ouverte contre la police marseillaise depuis février 2012. Une information judiciaire avait d'abord été ouverte contre la BAC en octobre 2012 par le parquet de Marseille pour corruption et confiée à deux juges d'instruction. Dans cette affaire, quinze policiers ont été mis en examen, dont sept placés en détention provisoire, puis libérés fin décembre. Fin janvier 2013, tous ces fonctionnaires ont été autorisés à reprendre leur travail. Seules restrictions : pas dans une BAC, en uniforme et en dehors des Bouches-du-Rhône.

Racket

Ceux-ci ont toujours réfuté les accusations, tout en admettant, pour certains, avoir extorqué des doses de stupéfiants à des revendeurs. Pour leurs avocats, cette réintégration est le signe que le dossier a "été gonflé" et qu'il va "finalement accoucher d'une souris".
Pas si sûr. Les deux juges d'instruction travaillent désormais sur d'autres faits délictueux. Certains policiers seraient notamment soupçonnés d'avoir tiré sur des dealers qu'ils auraient rackettés. Les faits s'étaient déroulés à la cité des Lauriers dans le 13e arrondissement. À l'époque, les policiers avaient déclaré avoir agi en état de légitime défense. Les magistrats enquêtent aussi sur d'éventuels braquages commis le dimanche par des policiers. L'affaire d'un règlement de comptes entre dealers des cités des Iris et des Flamands a aussi été rouverte officieusement par les enquêteurs, car le rapport indique que des policiers de la BAC Nord pourraient être à la source du conflit en ayant volé la sacoche d'un "charbonneur" (un vendeur, NDLR).
En marge de ces affaires, une information judiciaire a été rouverte à Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône, sur la mort de Lyes Gouasmia, un trafiquant de drogue, également indicateur de la police, et notamment de la BAC Nord. Une première instruction n'avait pas abouti. Aujourd'hui, des policiers de la BAC sont soupçonnés d'avoir "balancé" à des voyous le nom de cet indic devenu pour eux incontrôlable. Une troisième enquête pour un autre motif est désormais en cours...

http://www.lepoint.fr/societe/

dimanche 17 mars 2013

Trente ans de scandales alimentaires : « La confiance n'est jamais revenue »

 Les consommateurs n'ont pas encore tout vu, estime le journaliste Fabrice Nicolino (1)

L'affaire de la viande de cheval aura-t-elle été utile ?
Fabrice Nicolino. Comme elle s'inscrit dans une suite de scandales qui se sont enchaînés depuis trente ans, la question est de savoir combien il en faudra avant qu'un changement réel intervienne dans les pratiques de cette industrie.

Son retentissement n'entraîne-t-il pourtant pas une nouvelle prise de conscience ?
Il s'est agi là d'une crise de confiance et non d'un problème sanitaire car la consommation de viande de cheval ne rend pas malade. Si l'affaire, qui, j'ose le dire, est assez mineure, a pris de telles proportions, c'est parce que la confiance n'est jamais revenue. La psychose est due au fait que les consommateurs se demandent si ce scandale n'en cache pas d'autres. Or ils ne sont pas au bout de leurs peines.

http://www.sudouest.fr/2013/03/10/trente-ans-de-scandales-la-confiance-n-est-jamais-revenue-990014-4778.php
Vous pensez à la question des résidus d'antibiotiques ?
Je n'ai aucun plaisir malsain à raconter cela, mais ce problème est en effet bien plus grave que l'affaire du cheval. 50 % des antibiotiques fabriqués dans le monde vont en effet à l'élevage industriel. Un problème de santé publique se pose avec l'apparition du Sarm (NDLR : Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline), qui prolifère dans les élevages industriels et dont il est certain qu'il tue des humains. C'est d'une autre nature que la question de la fraude à la viande de cheval !
Selon vous, l'attitude du gouvernement dans l'affaire de la viande de cheval a-t-elle été appropriée ?
Elle a répondu aux consignes des agences spécialisées dans la gestion de crise : dans un premier temps, ils ont désigné un bouc émissaire afin de détourner l'attention. Au début, les Roumains, puis un trader, enfin l'entreprise Spanghero. Dans un deuxième temps, ils ont montré leurs muscles, en annonçant transparence et multiplication des contrôles. Mais pour contrôler quoi ? La présence dans la viande de résidus d'antibiotiques, mais aussi de neuroleptiques, d'hormones, d'antiparasitaires, ce n'est pas du truandage, c'est légal ! Bien sûr, il ne s'agit pas de quantités extravagantes, mais des études fines montrent que, même à des concentrations infinitésimales, certains de ces produits chimiques ont un effet toxique, délétère, sur les tissus et les organismes des êtres vivants…
Désormais, quelles réactions vous paraissent nécessaires ?
Il ne peut y en avoir, sauf venant de la société, et, à ce propos, je suis très étonné de l'inertie des mouvements de consommateurs. L'industrie de la viande doit être remise à sa place. Elle est allée trop loin, elle a perdu tous les repères moraux, essentiels, élémentaires. Comme la créature de Frankenstein, elle a échappé à ses créateurs. Or on ne peut pas jouer avec l'alimentation comme avec un produit financier. Il ne serait donc pas fou d'envisager une sortie de l'élevage industriel, qu'un nouveau contrat soit passé entre la société et les éleveurs. On mangerait moins de viande mais pour le bénéfice d'une meilleure santé. Cela ne se fera pas en six mois mais il vaut mieux passer quinze ans à en sortir que de continuer jusqu'à la fin des temps et d'aller ainsi de scandale en scandale.
(1) Fabrice Nicolino est notamment l'auteur de « Bidoche » (LLL éditions et chez Babel).

http://www.sudouest.fr/2013/03/10/trente-ans-de-scandales-la-confiance-n-est-jamais-revenue-990014-4778.php

samedi 16 mars 2013

Une photo de DSK pour fêter les femmes sur l'écran du match de Toulon-Biarritz

Une image visible quelques secondes…
Drôle d’humour du côté du stade Mayol. Quelques instants avant le début de la rencontre de Top 14 entre Toulon et Biarritz (50-15) samedi après-midi, une photo de Dominique Strauss-Kahn a fait son apparition durant quelques secondes sur l’écran géant de l’enceinte toulonnaise.
En légende sous l’image montrant l’ancien patron du FMI hilare figurait la phrase «Bonne fête à toutes», au lendemain de la journée des droits de la femme. Une manière assez bizarre de célébrer l’événement dans le Var.

http://www.20minutes.fr/sport/rugby/1115289-20130309-photo-dsk-feter-femmes-ecran-match-toulon-biarritz

vendredi 15 mars 2013

Excédé par le bruit, il tire sur ses voisins

Un policier à la retraite est suspecté d'être l'auteur d'un coup de feu qui a blessé gravement à l'oeil un garçon de 12 ans le 27 février dernier à Chasse-sur-Rhône (Isère), a-t-on appris auprès du parquet de Vienne, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

Excédé par les jeux bruyants d'un groupe de jeunes gens âgés de 12 et 13 ans à proximité de son domicile, l'ancien fonctionnaire de police, âgé de soixante-dix ans, se serait saisi d'une arme et aurait fait feu. Deux adolescents ont été blessés, atteints par des éclats de plomb, dont l'un d'eux plus gravement. Touché à l'oeil, il doit être opéré dans les prochains jours et risque de rester invalide.

"S'il devait souffrir d'invalidité, les conséquences pourraient être graves. Cette affaire pourrait être qualifiée de crime", a précisé Matthieu Bourrette, le procureur de la République de Vienne.
Chez le retraité, désigné par l'un des mineurs comme l'auteur du coup de feu, les enquêteurs ont retrouvé plusieurs armes qui sont actuellement en cours d'expertise.

Placé jeudi en garde à vue, le retraité a reconnu être l'auteur du coup de feu, mais il a affirmé "ne pas avoir pointé son arme vers le groupe et avoir uniquement tiré en l'air", indique le parquet de Vienne. Sans antécédents judiciaires, l'homme a été relâché pour permettre à l'enquête de se poursuivre. Il devrait être entendu de nouveau dans les prochains jours, "une fois le résultat de l'opération du jeune homme connu", a précisé Matthieu Bourrette.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/09/97001-20130309FILWWW00328-excede-par-le-bruit-il-tire-sur-ses-voisins.php

jeudi 14 mars 2013

Villeneuve-sur-Lot. Les serrures du Quick changées pendant la nuit, le personnel à la porte

Le gérant ne répond plus. Impossible, hier, de joindre Régis Wyzocki. Et pourtant les personnels du restaurant Quick engagés dans un mouvement social depuis trois semaines auraient eu bien des questions à lui poser. La situation, figée jusqu'à mercredi, vient de connaître un rebondissement à la fois spectaculaire et inquiétant. «Ce matin, à 8 heures, impossible d'ouvrir les portes de l'établissement» explique Sylvain Milhouet, le manager du restaurant, «toutes les serrures ont été changées pendant la nuit.» Et sur la porte vitrée, un laconique «restaurant fermé» accentuait la colère des employés, une quinzaine au total.

Normes sanitaires ?

Dans l'incapacité de joindre une hiérarchie de plus en plus absente, les personnels se contentent d'informations parcellaires, «on imagine que cette fermeture a à voir avec un courrier que l'on doit recevoir et qui explique que le restaurant n'est pas aux normes sanitaires de la chaîne Quick». Une raison qui ajoute une couche supplémentaire de colère, «c'est totalement faux ! Je vous prends à témoin, vous êtes rentrés dans l'établissement ces derniers jours, une équipe de France 3 est venue filmer et tout est en ordre…» ajoute Sylvain Milhouet. Le personnel espérait beaucoup d'une réunion organisée en fin d'après-midi dans le bureau du maire, Patrick Cassany. Le personnel et les délégués CGT devaient, eux, faire constater le changement de serrures par un huissier. Pour le groupe Quick France, joint hier, la situation est claire, «après 3 années d'exploitation difficiles, le Groupe Quick et son franchisé ont pris d'un commun accord la décision de fermer le restaurant de Villeneuve-sur-Lot pour des raisons économiques. Cependant, l'enseigne regrette la maladresse avec laquelle les modalités d'informations sociales ont été faites aux salariés de ce restaurant et invite les parties à renouer le dialogue pour apporter des solutions à la situation actuelle.» Dialoguer ? «Ils ont commencé cette nuit en changeant les serrures» explique Sylvain Milhouet. Patrick Cassany, le maire de Villeneuve, de son côté «condamnait la méthode». Il adressera un courrier aux responsables de Quick pour qu'enfin un dialogue puisse s'instaurer.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/08/1577569-les-serrures-du-quick-changees-pendant-la-nuit.html

mardi 12 mars 2013

Julien Courbet viré de France 2

Les relations entre l'animateur et la chaine n'étaient pas au beau fixe, elles sont désormais rompues. Alors que Julien Courbet avait annoncé sur twitter la fin de son émission «Seriez-vous un bon expert ?» diffusée chaque après midi à 17h15, le programme de divertissement «Oh les filles ! Le grand jeu», qu'il présentait va également être arrêté. Et l'animateur ne réapparaîtra pas sur la chaine ni cet été ni à la rentrée car il a été écarté par la chaine, affirme le Parisien-Aujourd'hui en France. L’animateur-star âgé de 48 ans, ex-présentateur vedette de TF 1 sera resté quatre ans et demi sur France Télévisions.

Philippe Vilamitjana, directeur de l’antenne et des programmes de France 2, explique au Parisien-Aujourd'hui en France que «le jeu quotidien décroche une part d’audience de 9,7% depuis janvier alors que l’animateur s’est engagé par contrat à 10%». Mais le directeur des programmes déplore surtout qu’auprès «de la ménagère de moins de 50 ans - cible précieuse pour la pub - le programme soit le moins performant en journée. Notre budget est limité, le jeu doit donc être arrêté. La série allemande le Tourbillon de l’amour le remplacera».


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/03/07/97002-20130307FILWWW00369-julien-courbet-vire-de-france-2.php

lundi 11 mars 2013

Un scandale provoque la démission du ministre belge des finances

Un coup de tonnerre a retenti, mardi 5 mars dans le ciel politique belge : Steven Vanackere, vice-premier ministre chrétien démocrate et ministre des finances a organisé une conférence de presse pour annoncer sa démission. Le chef de file du parti CD&V était cité dans un scandale financier lié à la banque Belfius, mais cette démission constitue une surprise. Il a demandé au président de sa formation, Wouter Beke, de le remplacer.

Diverses révélations ont été apportées au cours des dernières semaines concernant les liens entre l'ACW, le Mouvement ouvrier chrétien flamand, l'un des " piliers " du courant chrétien-démocrate belge, et la banque, créée après l'éclatement de l'établissement franco-belge de financement des collectivités publiques Dexia. L'Etat belge est le principal actionnaire de Belfius.
C'est l'Alliance néo-flamande (NVA), le parti indépendantiste de Bart De Wever, qui a lancé l'offensive, rapidement relayé par divers médias néerlandophones. L'ACW aurait été rétribué pour apporter des clients à la banque et lui aurait prêté 70 millions d'euros à un taux d'intérêt très élevé de 7,75 %. Belfius aurait également payé 40 millions d'euros à l'ACW pour que le mouvement contribué à préserver la "bonne image" de la banque. Et les milieux chrétiens démocrates, dont le pan syndical réclame régulièrement une plus grande justice fiscale, auraient également éludé une partie de l'impôt à l'aide de montages sophistiqués.
"ACCORDS COMMERCIAUX"
M. Vanackere a déclaré mardi que les attaques dont ils faisaient l'objet avaient " dépassé [sa] capacité de résistance ". " Cela devait s'arrêter ", a-t-il expliqué, continuant à soutenir qu'il ignorait les accords passés entre la banque et l'ACW, un courant dont il est proche. Entendus récemment par les députés, des dirigeants de Belfius avaient exonéré le ministre, en indiquant qu'il n'était pas au courant des contrats conclus. Ils avaient évoqué des simples " accords commerciaux ". Pour divers observateurs, l'affaire pose toutefois la question de l'affectation d'argent public à une structure politico-syndicale.
Les partenaires gouvernementaux du ministre convenaient depuis quelques jours que sa communication était défaillante et une proposition circulait même, visant à confier la tutelle sur le dossier Belfius à l'un de ses collègues. Il avait, début mars, nié connaître un administrateur de Belfius. Pour finalement concéder que cet expert financier suivait, comme consultant extérieur, les dossiers liés à la banque Dexia et ses avatars au sein même de son cabinet... Un fait qui, ajouté à d'autres, faisait douter de la bonne foi, ou de la compétence, du ministre.
La commission des finances de la chambre des députés devait débattre, mardi, de la création d'une commission d'enquête, réclamée entre autres par la NVA. Les partenaires flamands de M. Vanackere au sein de la majorité fédéral (l'Open VLD, libéral et le Sp.a, socialiste) se montraient plus prudents, sans cacher leur agacement à l'égard de l'évolution de ce dossier.
La démission du chef de fil des chrétiens démocrates flamands va indéniablement affaiblir le gouvernement dirigé par le socialiste wallon Elio Di Rupo. Celui-ci doit se lancer très prochainement dans une nouvelle opération d'assainissement budgétaire et s'expose à des sanctions européennes s'il ne corrige pas rapidement la trajectoire de son endettement. Celui-ci pourrait être aggravé si l'Etat belge devait intégrer dans sa dette le montant des garanties apportées à la banque résiduelle (" bad bank ") Dexia, comme l'estiment des experts européens. Le gouvernement belge tente, en ce moment, de contester cette procédure.

http://www.lemonde.fr/europe/

dimanche 10 mars 2013

Du porc ou pas de viande : polémique dans une cantine de Gironde

Depuis le 1er mars, une cantine d'une petite commune de Gironde ne propose plus d'alternative aux enfants qui ne mangent pas de porc. Une mesure d'économie, explique la ville.
C'est du porc ou pas de viande. Depuis le 1er mars, la cantine scolaire d'Arveyres, en Gironde, ne propose plus de viande de substitution pour les élèves ne mangeant pas de cochon. Cette mesure est révélée par la radio France Bleu Gironde.

Pour expliquer cette décision, la mairie avance l'argument économique. Et de parler de lutte contre le gaspillage. La commune se veut toutefois rassurante, les 28 enfants concernés -sur un total de 180- auront suffisamment de quoi manger puisqu'il y aura des lentilles et de la salade les jours où le porc sera au menu. Bref, les enfants auront leurs protéines.

Interrogés par la radio, les parents disent ne pas comprendre la mesure. "On ne demande absolument pas du halal ou du kasher. On demande uniquement un repas de substitution protéiné", explique ainsi une maman.
 

samedi 9 mars 2013

Limoux. Il trouve un morceau de verre dans le cookie qu'il mangeait

Dans la tourmente des scandales alimentaires, un lecteur de nos amis vient apporter sa contribution, dont il se serait sans doute passé. Il ne s'agit pas de filière frauduleuse ou de produit avarié, mais de la présence d'un intrus qui aurait pu avoir de sacrées conséquences. Écoutez plutôt. Cet ami friand de petits-beurres a pour habitude de se servir auprès d'une marque célébrissime qui propose toute une gamme de biscuits. Dont les fameux petits-beurres. Et des cookies qui n'en sont pas moins sensationnels. Vous savez ce que c'est, quand on commence à en manger on ne s'arrête plus, et la descente devient infernale.
Au cinquième ou sixième biscuit, «j'ai été pris d'une sensation bizarre dans la bouche», raconte-t-il. En lieu et place d'une pépite de chocolat se logeait un morceau de verre de la taille de l'ongle du petit doigt. «Par chance, poursuit-il, j'ai bien réagi, en crachant aussitôt. J'avais des éclats dans la bouche et j'ai dû me rincer plusieurs fois, pour tout éliminer. Cela dit, je n'ai pas été blessé».
Et de s'interroger si cette mauvaise rencontre était arrivée à des enfants. «Un gamin n'aurait peut-être pas compris si rapidement remarque-t-il, et aurait pu se blesser, peut-être grièvement si le morceau de verre avait été ingéré». L'échantillon coupable a été adressé à la direction.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/04/1574178-limoux-il-trouve-un-morceau-de-verre-dans-le-cookie-qu-il-mangeait.html

vendredi 8 mars 2013

Nouveau scandale : de la viande avariée de bœuf vendue aux restaurants

Licencié en 2008, l'ancien directeur qualité d'une société de découpe de viande bovine, Castel Viandes, basée en Loire-Atlantique, dénonce la vente de steaks avariés à des clients, notamment aux restaurants Flunch. Une enquête est en cours.
Et un scandale de plus dans nos assiettes qui décidément en débordent ! Après la tromperie de la viande de cheval vendue à la place du bœuf surgelé, la justice enquête sur une nouvelle affaire qui concerne cette fois de la viande de bœuf avariée vendue notamment aux restaurants Flunch. C'est un ancien cadre de Castel Viandes, une société spécialisée dans la découpe de viande bovine, basée à Châteaubriant (Loire-Atlantique), qui en a fait la révélation, a indiqué hier le parquet de Nantes. Flunch a pour sa part, annoncé hier avoir suspendu «par précaution» ses approvisionnements en provenance de Castel Viandes.
«Une enquête préliminaire a été ouverte mi-février pour escroquerie et tromperie à la suite d'éléments fournis à la gendarmerie, notamment par un ancien cadre, et corroborés par une enquête des services vétérinaires», a déclaré Fabienne Bonnet, procureur adjoint. «Une perquisition a eu lieu et l'exploitation des pièces saisies est en cours», a-t-elle ajouté.
La justice soupçonne ce groupe familial, créé en 1963, de pratiques appelées remballe et d'avoir vendu de la viande avariée à des clients, notamment à des restaurants Flunch.
À l'origine de l'enquête, un ancien cadre de Castel Viandes licencié en 2008. Ce directeur qualité de la société découvre le 1er décembre 2008 que, le samedi précédent, des employées ont été affectées à une opération de vente de steaks avariés. «J'avais ordonné à l'époque que cette viande soit détruite», explique Pierre H., l'ancien directeur qualité, «Mais j'ai découvert que, dans mon dos, on avait tenté de la commercialiser». Et quand il conteste ces pratiques, il est immédiatement licencié. Pierre H. ne portera pas plainte cependant, par crainte de représailles, dit-il. L'ancien cadre se décidera finalement à saisir les services vétérinaires nationaux fin 2012, et l'enquête sera déclenchée.
«Tout est faux, c'est une dénonciation calomnieuse d'un employé licencié», a rétorqué Véronique Viol-Lévesques, directrice générale du groupe qui a annoncé avoir porté plainte contre lui.
Le 12 février dernier, une perquisition a eu lieu chez Castel Viandes : 67 gendarmes ont été mobilisés, pilotés par l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclasep) et la brigade nationale vétérinaire. Une quantité impressionnante de documents a été saisie. Ils doivent désormais être analysés. Mais, selon la procureur, il faudra sans doute compter «plusieurs semaines» avant d'en connaître les résultats.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/02/1573311-nouveau-scandale-de-la-viande-avariee-de-b-uf-vendue-aux-restaurants.html

jeudi 7 mars 2013

Elle découvre son dossier médical sur le net

En tapant son nom sur Google, le 11 février dernier, une mère de famille marseillaise a eu la surprise de voir apparaître son dossier médical, rapporte La Provence. En cliquant sur ce lien qui n'était pas sécurisé, elle découvre des informations confidentielles sur la naissance de son fils, accolé à son nom et à son numéro d'assuré social.
Prévenu par la gendarmerie, l'un des directeurs de l'hôpital promet "une enquête interne pour savoir s'il y a des fuites ou un piratage interne", selon le quotidien. Il finit par découvrir les raisons de cette "mise à nu" de ce dossier sur les enfants prématurés. "Les médecins qui ont mené cette étude l'ont fait héberger à l'extérieur de l'hôpital par un site qui n'avait pas pris toutes les précautions pour en garantir la confidentialité. Depuis, l'erreur a été rectifiée. Aujourd'hui, le fichier est chez nous et inaccessible. On est désolé de ce qu'il s'est passé", précise-t-il dans La Provence.
 

mercredi 6 mars 2013

Aubervilliers. Le restaurant préparait du ragoût de chenilles

Riches en protéines, les insectes sont actuellement à la mode dans nos assiettes, à condition toutefois de pouvoir tracer le produit. Un restaurant illégal d'Aubervillers, où les enquêteurs ont découvert "une marmite de chenilles en train de bouillir", a été fermé mardi soir, a indiqué la préfecture de Seine-Saint-Denis.
Cette épicerie africaine, qui disposait d'une licence pour la vente de boissons et de plats à emporter mais servait à manger, a été contrôlé mardi soir dans le cadre d'une opération de routine qui impliquait notamment les douanes, les impôts, l'Urssaf et la Direction départementale de protection des populations. "Trois cents kilos de viande du restaurant ont été jetés", a précisé la préfecture, selon laquelle il manquait des certificats de traçabilité des services vétérinaires pour cette viande "congelée", notamment de la viande de chèvre.
"Une grosse marmite avec des chenilles était en train de bouillir quand on est arrivés", a décrit cette source, soulignant là aussi "un problème de traçabilité" pour les services vétérinaires. La patronne de l'établissement a été placée en garde à vue pour travail dissimulé, emploi d'un étranger sans titre de travail et aide au séjour d'un étranger en situation irrégulière. L'employé, lui, a été placé en rétention administrative. L'épicerie a été fermée pour raisons d'hygiène.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/28/1571880-aubervilliers-le-restaurant-faisait-du-ragout-de-chenilles.html

mardi 5 mars 2013

Mise en garde contre un médicament utilisé pour déclencher l'accouchement

L'Agence du médicament a mis en garde, lundi, contre les dangers potentiels d'utiliser le Cyotec, médicament anti-ulcéreux, pour déclencher un accouchement, évoquant des risques de rupture de l'utérus, d'hémorragies ou d'anomalies du rythme cardiaque du foetus.
C'est son utilisation hors cadre de son autorisation de mise sur le marché qui est pointée du doigt. L'Agence du médicament (ANSM) a mis en garde lundi contre les dangers potentiels d'utiliser, le Cytotec, un médicament anti-ulcéreux pour déclencher un accouchement. "Dans le déclenchement de l'accouchement à partir de 37 semaines d'aménorrhée (absence de règles), le recours à des spécialités non autorisées, quelle que soit la voie d'administration, fait courir des risques graves à la mère et à l'enfant", souligne l'ANSM. En effet, "des effets indésirables graves ont été rapportés avec une utilisation de Cytotec dans le déclenchement du travail comme la survenue de rupture utérine, d'hémorragies ou d'anomalies du rythme cardiaque fatal".
Le Cytotec (nom de la molécule : misoprostol), qui a obtenu en France une AMM en 1986, est actuellement indiqué dans le traitement de l'ulcère gastrique ou duodénal évolutif, des lésions gastro-duodénales induites par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou à titre préventif des lésions gastriques et duodénales et des complications graves induites par les AINS (comme par exemple l'ibuprofène).
L'ANSM indique avoir "pris connaissance d'un usage hors AMM du Cytotec (du laboratoire Pfizer Holding France) en obstétrique pour déclencher l'accouchement (...)" et insiste sur le fait que cette utilisation "hors AMM peut entraîner des effets indésirables graves pour la mère et l'enfant." Cette mise en garde s'applique également au Gymiso (laboratoire Linepharma France) qui contient la même molécule que le Cytotec et qui ne doit pas être utilisé dans le déclenchement artificiel du travail.
 

lundi 4 mars 2013

Scandale au Mali : les djihadistes détenaient des armes provenant de la gendarmerie sénégalaise

Ce dimanche, lors d’une présentation à la presse d’armements saisis aux islamistes armés, le colonel Laurent Mariko, commandant de la zone de Gao a fait paraitre des armes appartenant à la gendarmerie sénégalaise et à des pays limitrophes du Mali. C’est après la reprise de la principale ville du nord du Mali occupée depuis dix mois par les islamistes que le colonel Mariko indique à la presse que ces armes récupérées par les forces spéciales maliennes , l’armée française ou encore par des groupes de « jeunes patriotes », proviennent de stocks de l’armée malienne, mais aussi de la gendarmerie sénégalaise ou d’autres pays limitrophes ».

Par ailleurs, au milieu du stock d’armes exposé par le commandant de la zone de Gao, l’Agence Française de Presse (AFP) note un panier de roquettes de fabrication russe, à monter sur hélicoptère, mais aussi des autocollants du drapeau des Emirats arabes unis, présentés par erreur à la presse comme « libyens ».

http://www.dakaractu.com/Texto_r1.html

dimanche 3 mars 2013

Scandale aux USA: le thon souvent remplacé par un poisson... qui provoque d'incontrôlables diarrhées explosives!

En pleine crise de la viande de cheval en Europe sort une étude sur la fraude aux poissons aux USA. Une étude accablante qui montre, en outre, que le thon blanc est presque toujours remplacé par de l’escolar, un poisson qui peut provoquer des diarrhées si sévères que le Japon et l’Italie en ont interdit la vente.
Les poissons sont fréquemment vendus dans les magasins d'alimentation et les restaurants aux Etats-Unis avec un étiquetage erroné, selon une étude étendue menée par l'ONG américaine Oceana publiée jeudi. Une analyse ADN de 1.215 échantillons de poisson collectés dans 674 points de vente dans 21 Etats a révélé que 33% avaient un mauvais étiquetage selon la charte des espèces établie par l'Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA).

Attention aux sushis américains

Alors que 44% de tous les lieux de vente visités par les enquêteurs de cette organisation vendaient des poissons mal étiquetés, les restaurants de sushi avaient le taux d'erreurs le plus élevé sur leur carte (74%), suivi par d'autres restaurants (38%) et les magasins d'alimentation (18%).

> LES CONCLUSIONS DE L’ETUDE (EN ANGLAIS)




Presqu’impossible de trouver du vrai rouget!
Les poissons les plus péchés, le thon et le rouget, sont aussi les plus mal étiquetés partout aux Etats-Unis: ainsi, seulement sept des 120 rougets collectés dans l'ensemble du pays pour une analyse ADN étaient vraiment du rouget, révèle l'étude. Entre un cinquième et un tiers des morues, des flétans et des bars chiliens avaient un étiquetage erroné, précisent aussi les chercheurs.

Les dangers de l’escolar, alias le poisson laxatif
Quelque 84% des échantillons de thon blanc prélevés pour cette enquête était en fait de l'escolar, une espèce de poisson pouvant provoquer de graves troubles digestifs. En réalité, l’escolar ne parvient pas à métaboliser une toxine grasse qu’il consomme en grande quantité. Elle se stocke donc dans sa chair, ce qui lui donne son bon goût et sa consistance huileuse. Mais cette huile est en fait proche du ricin ou des huiles minérales, impropres à la consommation. Quelques grammes et les symptômes seront légers, un gros steak entier, et les diarrhées seront explosives, huileuses, de couleur orange et, encore plus désagréable, difficiles à contrôler. D'où son surnom de « poisson laxatif ». Pour cette raison, le Japon et l’Italie en ont interdit l’importation et la vente, alors qu’au Canada, en Suède et au Danemark, des étiquettes d’avertissements préviennent les consommateurs « qui font confiance à leur anus », comme le dit le désormais célèbre proverbe africain…

http://www.rtl.be/info/monde/international

samedi 2 mars 2013

Viande de cheval : le scandale continue…

Un boucher-charcutier de Carinthie, région du sud de l'Autriche, a avoué à la police avoir utilisé de la viande de cheval non déclarée dans deux de ses spécialités de saucisses, pour en améliorer le goût, a déclaré hier son avocat.
L'entrepreneur Josef Freitag, a commencé à utiliser de la viande de cheval il y a un an et demi et «Le chiffre d'affaires a augmenté de 30 % car les saucisses étaient bien meilleures», selon son conseil.
En Italie, à présent, de la viande de cheval a été trouvée pour la première fois dans une confection de lasagnes à la bolognaise, fabriquée par l'entreprise Primia, dans la région de Bologne (centre), a également annoncé hier l'agence Ansa. Il s'agit du premier test positif dans la péninsule. Le produit a été retiré de la vente, tandis que six tonnes de viande hachée et 2 400 confections de «lasagnes à la bolognaise» ont été mises sous séquestre.
Ces produits étaient fabriqués à San Giovanni in Persiceto, dans la région de Bologne, dont les lasagnes sont une des spécialités culinaires. Par ailleurs, trois des six carcasses de cheval envoyées du Royaume Uni vers la France et qui contenaient des traces de phénylbutazone ont été écoulées sur le marché de la viande et sont «probablement» entrées dans la chaîne alimentaire, a indiqué ce samedi le ministère de l'Agriculture.
«Sur ces carcasses, il y avait des traces extrêmement faibles de phénylbutazone. Il n'y a pas de risque pour la santé», a déclaré le ministre, Stéphane Le Foll, interrogé en marge de l'inauguration du Salon de l'agriculture à Paris et l'affaire n'a aucun lien avec le scandale de la viande de cheval camouflée en «bœuf». La phénylbutazone est un anti-douleur fréquemment prescrit pour les chevaux mais proscrit dans l'alimentation humaine.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/24/1568634-viande-de-cheval-le-scandale-continue.html

vendredi 1 mars 2013

Pôle emploi dépense 75.000 € pour ses vœux

Pôle emploi a organisé en janvier une cérémonie de vœux au Palais des Congrès de Montreuil (Seine-Saint-Denis) conviant 900 de ses cadres et dépensant 75.000 euros, selon des informations du site Médiapart vendredi. Interrogé, Pôle emploi n'a pas souhaité commenter cette information, sans la démentir.
Selon des détails donnés par Médiapart, le cocktail a coûté 53.773 euros nets, soit 60 euros par personne. Pôle emploi avait également réservé des cars pour le transport des "Parisiens". Depuis sa création en 2008, l'opérateur public organise tous les ans une cérémonie de vœux à destination de son personnel de la direction générale. Son directeur général, Jean Bassères, a prononcé un discours portant notamment sur le plan stratégique 2015 de l'opérateur .
"C'est un moment convivial pour remonter le moral des troupes et parler des objectifs", a indiqué un cadre. "Si cette information est vraie, si 75.000 euros ont été dépensés pour une fête, c'est indécent, au moment où on demande des efforts très importants au personnel en matière budgétaire", a commenté auprès de l'AFP, Philippe Sabater, délégué du syndicat SNU (FSU) à Pôle emploi.