vendredi 17 février 2017

Un fourgon d'incendie pris pour cible à Creil

Jeudi 16 février peu après 21h, l’équipage du Fourgon Pompe Tonne (FPT) des sapeurs-pompiers de Creil a... été sollicité pour un feu de plusieurs véhicules, quai d’Aval à Creil.
Une fois cette mission effectuée à 22h, sur la route du retour, le véhicule des sapeurs-pompiers a été pris pour cible par plusieurs individus. Un objet rond a été lancé contre la vitre avant gauche du fourgon, causant un impact important. Par chance pour le conducteur, ces vitres avaient été équipées d’un film anti-agression. Le coffre arrière du véhicule a également été visé.
Ce vendredi matin, conformément à la motion votée le 6 juin 2016, le Service départemental d’incendie et de secours de l’Oise a déposé plainte.
Une fois encore, il est intolérable de s’en prendre à celles et ceux qui, de jour comme de nuit, ont pour mission de secourir les personnes et les biens.
J’exprime une fois encore mon entière solidarité et mon total soutien aux sapeurs-pompiers du département, rappelant qu’ils font preuve au quotidien et en toutes circonstances d’un grand professionnalisme.
Eric de Valroger, Président du Sdis de l’Oise
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jeudi 16 février 2017

Côtes d'Armor: 41 animaux et 2 fillettes trouvés dans un appartement insalubre

C'est une plainte d'une association de protection animale, soupçonnant une maltraitance animale, qui a permis l'intervention des gendarmes lundi et mardi, dans un appartement de Lamballe (Côtes-d'Armor) rapporte aujourd'hui France 3 Bretagne.

Dans le logement, la brigade de Lamballe a découvert une véritable ménagerie : 19 chats, 6 chiens, 8 chiots et 2 rats entassés dans un environnement insalubre. Deux fillettes, âgées de 1 et 5 ans, étaient également au milieu des animaux a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Le père, la mère ainsi que le propriétaire de la ménagerie ont été entendus par les enquêteurs dans le cadre d'une audition libre. Ils seront poursuivis pour privation de soins et d’alimentation envers des mineurs de moins de 15 ans et pour sévices, actes de cruauté et maltraitance envers les animaux.
Les animaux maltraités ont été pris en charge par la SPA de Rennes. Les deux fillettes ont quant à elles été placées dans une famille d'accueil par un juge pour enfants

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 12 février 2017

«Danse avec les stars» vend plus de places que de sièges

Stéphanie et sa fille Kim avaient réservé leurs places au premier rang du Zénith depuis de longs mois. Pour le spectacle vivant de «Danse avec les stars», leur émission de télévision préférée, elles se sont même fait plaisir avec des Carrés d'or à 82 €. C'est donc avec une certaine émotion qu'elles se voyaient déjà assister au show, vendredi soir. Quelle ne fut pas leur surprise d'abord, leur déception ensuite et leur colère enfin, lorsqu'elles se sont aperçues que leurs places étaient occupées.
«On a d'abord dit aux gens qui étaient à notre place que nous avions ces sièges-là et quand ils ont sorti leurs billets, on a vu qu'ils avaient les mêmes numéros que nous», raconte Stéphanie. «Puis très vite, d'autres personnes ont constaté la même chose. Certaines avaient même des places qui n'existaient pas. Un vigile a fini par nous dire qu'on était 150 dans le même cas et qu'on allait nous placer ailleurs ou que sinon on s'en aille. On a été très mal reçues et personne n'est venu s'excuser ou nous expliquer le problème».
Hier matin, le service client de Ticket net qui a vendu les places à Stéphanie et à sa fille n'était pas plus bavard. «Je n'assure qu'une permanence et il n'y aura pas d'information à ce sujet ce week-end», indique la standardiste. «J'ai déjà été contactée par des clients pour ce problème mais je n'ai aucune réponse». La réponse, le producteur Cheyenne Prod qui était hier aux abonnés absents devra certainement la donner très vite. Son Facebook est inondé de messages de spectateurs furieux qui ont connu les mêmes déboires.
En attendant de faire une réclamation, Stéphanie souhaite obtenir le remboursement des places ainsi qu'un préjudice moral.
 

vendredi 10 février 2017

Affaire des Galeries Lafayette : ce qui s'est vraiment passé

Au lendemain de l'émouvant récit d'une jeune femme sur Facebook, racontant que sa maman, atteinte d'un cancer, a été «refoulée» lundi 6 février, à l'entrée des Galeries Lafayette, à Toulouse, «à cause de son bonnet», la réalité sur cette affaire semble tout autre. Selon nos informations et après recoupements de nombreux témoignages du grand magasin du centre-ville, la cliente qui portait une capuche n'a jamais été refoulée de l'enseigne. Elle est entrée et un vigile est venu vers elle pour lui demander, conformément aux consignes de sécurité édictées par le plan Vigipirate, de retirer sa capuche, laissant entrevoir «des cheveux noués», selon de nombreux témoins. Visiblement gênée par ces injonctions, la cliente s'exécute puis déambule dans le magasin avant de répartir sans aucune contrainte exercée à son encontre.
Cette dame, dont on apprendra plus tard par sa fille, via sa page Facebook, qu'elle est atteinte d'un cancer, aurait mal vécu d'être prise à partie par l'agent de sécurité. S'en est suivi, sur les réseaux sociaux, un récit très émouvant de sa fille, s'indignant du comportement des Galeries Lafayette qui, selon elle, aurait refoulé sa maman à l'entrée de l'enseigne. Un récit que les responsables du magasin découvrent eux-mêmes sur internet au beau milieu de réactions indignées virant au lynchage et appelant au boycott. Face à l'énorme émotion suscitée et alors qu'elle n'avait pas encore de retour objectif sur les faits, la direction s'excuse auprès de la jeune fille considérant qu'il est anormal qu'une cliente se sente mal accueillie.
Après des échanges de courriel, la tension retombe vite entre les deux parties préférant jouer la carte de l'apaisement. Mais l'emballement émotionnel provoqué par cette affaire a déstabilisé l'ensemble du personnel. «Je me fais insulter au téléphone, un journaliste australien m'a même demandé des comptes…», précise une standardiste, assaillie de coups fils injurieux. Désireuse de mettre un terme à cette malheureuse histoire et à ses conséquences, la direction du magasin n'a pas souhaité faire de commentaire
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

jeudi 9 février 2017

Un cadavre attend au funérarium depuis 2015

Voilà bientôt un an et demi que la dépouille d'une femme attend au funérarium de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne, rapporte ce soir Le Parisien. Confronté à une situation juridique rare et absurde, le service n’a pas le droit de l’inhumer.
Cette dame est décédée en octobre 2015 à Sucy-en-Brie. Sa fille a signé l’autorisation de transfert vers le funérarium, puis n’a plus donné le moindre signe de vie. Or, ayant signé ces premiers papiers de transfert, elle est considérée responsable légalement des obsèques de sa mère.
La mairie de Sucy-en-Brie, contactée par le funérarium en février 2016, n’est malheureusement pas en mesure de prendre en charge la dame : les municipalités ne peuvent prendre en charge les enterrements des personnes indigentes, c’est-à-dire des personnes qui n’ont pas de famille ou une famille qui n’est pas en mesure de prendre en charge les frais d’obsèques. Dans les mois qui suivent, ce sont la préfecture puis le procureur de Créteil qui sont informés de la situation, mais qui sont eux aussi incapables d’agir.  
La situation devrait donc se prolonger jusqu’à ce que la fille de la défunte se manifeste à nouveau, tandis que le corps patiente dans un casier du funérarium
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 8 février 2017

L'Airbus frôle le crash à Toulouse et se pose à Montpellier où easyJet retient les passagers à bord

Les 180 passagers du vol easyJet 4027, qui devait rallier Paris à Toulouse, dimanche 5 février après-midi, ont bien cru que leur dernière heure était arrivée. Leur vol, qui doit décoller à 15 heures 30 d’Orly, quitte le tarmac de l’aéroport parisien avec 25 minutes de retard. Une minuscule contrariété au regard de la suite du voyage…
Après une heure de vol plutôt agitée en raison des vents violents générés par la tempête Marcel qui a commencé à souffler sur le sud-ouest de la France, le pilote de l’Airbus essaye de poser l’appareil sur le tarmac de Blagnac vers 17 heures. "À quelques mètres du sol, il a remis les gaz à fond pour redécoller, raconte Angel, l’un des passagers. On se serait cru dans le Space Mountain à Eurodisney."
Quelques minutes plus tard, le pilote tente un second atterrissage et, là, les choses se corsent. "Le train d’atterrissage a percuté très brutalement le sol et le pilote a de nouveau remis les gaz", poursuit Angel. L’Airbus a failli se crasher… À bord les passagers sont paniqués. Quelques minutes après cette deuxième tentative traumatisante, le pilote annonce qu’il va aller poser l’appareil à Montpellier, où le vol atterrit à 18 heures 15, soit une heure et quart après avoir tenté de se poser à Toulouse : une heure et quart, qui pour les passagers, est sans aucun doute la plus longue de leur vie.

Après avoir failli mourir, ils sont retenus à bord par EasyJet

Mais malheureusement, leur calvaire est loin d’être terminé. À Montpellier, les passagers… et le pilote sont retenus dans l’avion pendant plus d’une heure. "EasyJet avait donné des ordres au personnel de ne pas nous laisser sortir et intimait le pilote de redécoller immédiatement pour réessayer de se poser à Toulouse", décrit Angel, ulcéré… En faisant pression sur le pilote, la compagnie espère sans doute s’économiser les frais de transport des passagers de Montpellier à Toulouse… Mais le pilote, visiblement plus soucieux de la sécurité de ses passagers que sa direction, refuse de céder, alors que les vents soufflent à plus de 130 km/heures… Vers 20 heures 15, les passagers ont enfin le droit de débarquer à Montpellier.
"EasyJet n’avait rien anticipé, conclut Angel. Pas d’eau, pas d’en-cas et surtout pas de bus pour rejoindre Toulouse. Du coup, avec 3 autres passagers nous avons décidé de partager les frais d’une voiture de location et nous sommes arrivés par nos propres moyens à 22 heures à Blagnac, avec plus de cinq heures de retard, mais au vu du message publié par easyJet (voir ci-dessous), il semblerait que la compagnie aérienne n’ait pas pu coordonner le trajet en bus de Montpellier à Toulouse.
La compagnie laisse en effet tous ses passagers en plan : ils doivent se débrouiller pour louer des voitures à leurs frais et pour rejoindre Toulouse  par la route, en pleine nuit et en pleine tempête : un trajet guère plus rassurant et sécurisé que celui qu’ils viennent de vivre à bord de ce vol de tous les dangers...
Dans un très court communiqué adressé ce soir à La Dépêche, easyJet précise que qu'il n'y a pas eu "de risque d’incident majeur", mais ne répond pas à la question essentielle : à savoir pourquoi elle a sommé le pilote de repartir à Toulouse après qu'il ait atterri dans l'Hérault alors que les conditions météo étaient exécrables. 
La compagnie affirme "qu'aucun moyen de transport n’était disponible pour ramener les passagers à Toulouse" et précise que ces derniers peuvent faire une réclamation à ce sujet. 

http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html