dimanche 21 avril 2013

Bayern : vers un scandale financier pour Uli Hoeness ?

Coupe de théâtre au Bayern Munich ! Le président du club bavarois, Uli Hoeness, fait en effet l’objet d’une enquête pour fraude fiscale, lui qui a admis détenir un compte en Suisse.
Le dirigeant le confirme à Focus : « J’ai transmis, par le biais de mon conseiller fiscal, un document à l’administration fiscale en janvier 2013 », lié à « un compte que je détiens en Suisse ».

http://www.footmercato.net/

jeudi 18 avril 2013

Val-d'Oise. Un papa privé de sortie piscine parce qu'il est un homme

Le papa d'une petite fille de 5 ans, scolarisée à l'école maternelle des Plants de Cergy, dans le Val-d'Oise, a été interdit de sortie piscine parce qu'il est un homme.
Les faits se sont déroulés, il y a une dizaine de jours, selon Le Parisien. Le père de famille divorcé devait accompagner la classe de sa fille pour une sortie piscine. Le matin même, l'école l'a appelé pour lui dire de ne pas venir. Une maman avait en effet demandé à la directrice de l'école à ce que l'homme n'est pas accès au vestiaire mixte de la piscine.
Pour le père de famille, qui avait posé sa journée pour cette sortie, cette décision est disciminatoire. "Il est hors de question que les papas s'occupent des petites filles, changent les petites filles", explique-t-il au micro de France 3. "Les papas s'occupent des garçons, les mamans les petites filles", ajoute-t-il. Il souhaite également que l'école "reconnaisse son erreur, qu'elle a pris une décision discriminatoire sur l'idée que les hommes sont des pédophiles".
Par ailleurs, l'association SVP papa et le père de famille vont porter plainte contre l'école pour discrimination.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/12/1604312-val-oise-papa-prive-sortie-piscine-parce-est-homme.html

mardi 16 avril 2013

Ryanair veut supprimer les toilettes

Le PDG de la compagnie low-cost Ryanair, habitué des propositions choc, envisage de faire baisser le coût des billets d'avion en supprimant des toilettes dans les appareils, dans une interview au Républicain Lorrain.

"N'en garder qu'un sur quatre suffit largement, nos trajets étant en moyenne d'un peu plus d'une heure. Cela me permettrait de gagner six sièges.", explique Michael O'Leary, qui envisage également de faire payer l'accès aux toilettes. Pour lui, un avion n'est "ni plus ni moins qu'un bus avec des ailes" et un nombre de toilettes réduit pourrait suffire sur des vols de courte durée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/11/97001-20130411FILWWW00459-ryanair-veut-supprimer-les-toilettes.php

lundi 15 avril 2013

Pickpockets: le musée du Louvre fermé

Le musée du Louvre, l'un des plus grands du monde, a fermé mercredi dernier  en raison d'une grève des employés excédés par des pickpockets qui les dévalisent au même titre que les visiteurs.

Selon la direction, qui a déposé plainte auprès du
Parquet de Paris en décembre 2012 et demandé des renforts policiers pour juguler le problème grandissant des pickpockets, "200 agents ont exercé leur droit de retrait mercredi".

"Les services de justice et de la police sont mobilisés", a déclaré une porte-parole de la direction faisant état de "réunions de travail" afin de mettre en place un dispositif de sécurité adapté.

Selon la déléguée syndicale Christelle Guyader (SUD), "les agents expriment un ras-le-bol. Ils viennent parfois la peur au ventre au travail parce qu'ils se trouvent confrontés à des bandes organisées de pickpockets qui sont de plus en plus agressifs dont des mineurs, qui entrent gratuitement dans le musée et qui même interpellés par la police reviennent quelques jours plus tard".

Une centaine d'agents se sont rassemblés devant le ministère de la Culture, leur ministère de tutelle, où une délégation était reçue en milieu de journée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/10/97001-20130410FILWWW00814-pickpockets-le-musee-du-louvre-ferme.php

dimanche 14 avril 2013

Polémique : elles doivent payer pour jouer en Bleu

L'équipe féminine française de Rugby à XIII représentera-t-elle sa nation au Mondial de juillet 2013 ? Prévu de l'autre côté de la Manche, la FFR XIII manque de fonds pour financer le voyage et demande à ses joueuses de mettre la main au porte-monnaie.
Faute de budget, la Fédération Française de Rugby à XIII n'est pas en mesure de financer le voyage de ses joueuses. «Le nouveau bureau a été élu cinq mois après le début de la saison. Le budget était déjà voté et consacrait une trop faible part à cette branche, nous suivons la décision», explique Carlos Zalduendo, actuel président de la FFR XIII. Pour jouer, il a été demandé aux filles une participation à hauteur de cinq cents euros. «Trois cents euros de notre poche, deux cents euros de la tombola que nous avons refusé d'organiser», précise Houïta Ben Choug, membre de l'équipe. Carlos Zalduendo souligne que la Fédération a «prévenu la commission féminine qui recherche des partenariats mais la tâche s'avère compliquée. La pratique du rugby à XIII féminin est récente, et les sponsors réticents dans le contexte présent».
Sans pour autant parler de désengagement, la FFR XIII préfère garder les fonds destinés à la discipline féminine pour développer la pratique sur les prochaines années et relativise en notant que «ce ne serait pas la première fois qu'une équipe représentative d'une nation ne serait pas envoyée à son mondial».

L'incompréhension

Face à cette décision, Hasure, association du quartier toulousain d'Empalot d'où quatre des treize rugbywomen sont issues, essaie de trouver des alternatives. «Nous avons proposé à la Fédération qu'elles obtiennent le statut de sportive de haut niveau pour bénéficier de bourses, sans décrocher de réponse», se désole Stéphane Garros du collectif de quartier.
Christophe Borgel, député de la neuvième circonscription de Haute-Garonne regrette cette décision. «Certaines de ces filles sont résidantes de mon secteur et sont des exemples de réussite sportive constituant un véritable vecteur de développement du sport féminin», explique le député qui a fait appel à Valérie Fourneyron, Ministre des Sports, et Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits de la Femme pour plaider la cause des sportives.
Que ce soit la recherche de fonds ou la réponse des ministères, les joueuses demeurent dans l'expectative. Réponse définitive le 20 avril.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/09/1601244-polemique-elles-doivent-payer-pour-jouer-en-bleu.html

vendredi 12 avril 2013

Tenue de déporté retirée des enchères: les dessous du scandale

Il ne s'attendait pas à une telle polémique. Depuis l'annonce dans les médias, ce vendredi 5 avril, du retrait de la vente aux enchères à Drouot d'un uniforme de déporté dans un camp de concentration nazi, les réactions se multiplient. Rien que sur le site du Figaro , les réactions des internautes sont particulièrement virulentes. Et cela devrait se poursuivre avec les explications sur les coulisses de ce scandale par le commissaire priseur, Olivier Collin du Bocage, qui a répondu à nos questions. «J'ai attendu plus un mois avant de glisser cette tenue de prisonnier politique dans ma prochaine vente d'affiches historiques et politiques, explique le commissaire priseur Olivier Collin du Bocage. L'uniforme est resté dans mon bureau tout ce temps là comme un objet de conscience». Ce sont les neveux et le frère du déporté, aujourd'hui décédé, qui ont décidé de vendre l'uniforme oublié depuis 70 ans dans le placard familial.

«Chacun récupère ses morts»

L'idée de le mettre aux enchères ne s'est pas imposée d'emblée. «Ils ont d'abord contacté une association de mémoire de la Shoah. Mais elle n'en a pas voulu car le vêtement n'était pas dans le thème, ayant été porté par un prisonnier pour des raisons politiques et non parce qu'il était juif, poursuit le marteau de la maison Delorme & Collin du Bocage. Ne sachant plus comment s'en débarrasser, ils l'ont donné aux enchères. Et ce geste là, de gens si proches du martyrisé m'a touché».
«L'argent de la vente devait être reversé à une association d'anciens combattants. Sans doute aurions nous dû préciser cela dans le catalogue», poursuit Olivier Collin du Bocage, qui avait choisi «une estimation symbolique, 400 euros, pour un objet symbolique. On ne voulait pas tomber dans le voyeurisme ni dans le vénal». Sorti depuis trois mois, en version papier et sur le site de la maison de ventes, le catalogue n'avait jusque là provoqué aucun remous. Pourtant, «plusieurs institutions publiques, qui constituent 80 % de nos acheteurs sur ce type de vente, avaient passé des ordre d'achat sur justement cette pièce historique».
Il aura fallu l'œil de lynx de Ian Brossat, Président du groupe communiste au Conseil de Paris, pour que l'objet fasse polémique, jeudi 4 avril au soir. Que la parole de l'élu soit relayée jusqu'au tollé. Et la tenue de déporté finalement retirée de la vente. «Cette polémique me blesse» affirme le commissaire priseur, qui soudain hausse le ton: «Le déporté dont il s'agit était un maquisard. Un maquisard communiste. Et comme par hasard, c'est un élu communiste qui réagit. C'est encore plus corporatiste. Chacun récupère ses morts». Et de conclure: «Cet objet est une relique, certainement, mais de la guerre, et d'un crime monstrueux».

jeudi 11 avril 2013

Nouveau scandale sanitaire chez Ikea

Le géant suédois de l’ameublement a retiré de la vente ses lasagnes à l’élan surgelées vendues en Europe après la découverte de traces de porc dans ces plats.
Ikea enchaîne les problèmes sanitaires. Après avoir retrouvé du cheval dans ses boulettes de bœuf, des matières fécales dans ses tartes au chocolat, les laboratoires ont découvert des traces de porc dans ses lasagnes surgelées à base d’élan. D’après les résultats d’un laboratoire belge, la viande hachée d’élan qui représente 12% des lasagnes contenait un peu plus d’1% de porc.
Après cette découverte, le géant suédois de l’ameublement n’a pas tardé à réagir. Il a retiré du marché 17.600 plats de lasagnes et a commencé à procéder à ses propres tests. Le groupe précise que ce produit a été uniquement vendu dans les pays européens.
Ikea explique que la contamination provient de la société Dafgaard, qui hachait «de la viande de bœuf et de porc dans la matinée et de la viande d’élan l’après-midi», affirme Josefin Thorell, porte-parole d’Ikea. «Nous avons examiné les procédés à suivre avec Dafgaard de façon à ce que cela ne se reproduise plus. La société dispose désormais d’installations séparées pour les différents types de production» de viande, a-t-elle ajouté.

Un même fournisseur en cause

Cette même société avait en effet fourni les boulettes de viande de bœuf retirées du marché par Ikea parce qu’elles contenaient de la viande de cheval. La chaine de magasins avait ainsi retiré de la vente ses boulettes dans 24 des 26 pays où elle est présente. Peu après, le groupe a été contraint de stopper la commercialisation de ses tartes au chocolat après la découverte de matières fécales. Ikea avait ainsi commercialisé en France un peu plus de 6000 tartes contenant des bactéries coliformes.
Pour éviter de nouveaux scandales, Ikea a récemment annoncé avoir réduit de moitié le nombre de ses fournisseurs qui passent de 15 à 7 pour ses boulettes de viandes. Il a par ailleurs décidé que les tests ADN allaient être systématisés sur tous les produits contenant de la viande hachée.
Reste à savoir si ces mesures seront suffisantes pour regagner la confiance des consommateurs. L’enjeu est de taille pour Ikea puisqu’en 2012, la branche alimentaire d’Ikea a enregistré 4,7% du chiffre d’affaires du groupe, avec des ventes s’élevant à 1,3 milliard d’euros.

http://bourse.lefigaro.fr/

mercredi 10 avril 2013

Polémique de la semaine : Justin Bieber fait scandale avec son singe

Justin Bieber n'a-t-il pas de chance avec ses animaux de compagnie, ou est-il tout simplement négligent ? Après avoir provoqué la polémique en se séparant de son hamster Pac auprès d'une fan, il est désormais visé par la Fédération allemande de protection des animaux. C'est en voulant emmener son singe, un capucin appelé Mally, en Allemagne que Justin Bieber a dû s'en séparer. L'animal n'avait pas effectué les tests nécessaires pour fouler le sol germanique.

"Justin Bieber a emmené son singe en
Allemagne mais n'avait pas les bons papiers avec lui", a expliqué Thomas Meister, porte-parole des douanes de l'aéroport Franz Josef Strauss à Munich, comme le rapporte le magazine People. "Nous avons été obligés de confisquer l'animal". Justin Bieber aurait un mois pour présenter les documents officiels aux autorités germaniques s'il veut récupérer son animal. Sinon ce dernier sera envoyé dans un refuge longue-durée.

De quoi agacer la Fédération allemande de protection des animaux. "De notre point de vue, (Justin Bieber) ne devrait pas pouvoir garder cet animal qui a été importé illégalement", a déclaré à l'
AFP le président de la fédération Thomas Schröder. "Bieber doit assumer sa responsabilité en se posant en modèle pour les adolescents", a-t-il poursuivi, estimant qu'il devrait "user de sa forte influence sur les réseaux Facebook et Twitter pour s'excuser et s'engager davantage à l'avenir en faveur de la cause animale".

Justin Bieber se montre-t-il négligent avec ses animaux ? Mally, âgé de 14 mois, qui lui a été offerte pour son 19e anniversaire, sera-t-elle récupérée à temps ?
The Sun accuse le chanteur : "Bieber abandonne bébé Mally ans une cage", dénonce le tabloïd. "C'est un monstre de transporter un animal à bord d'un jet", explique le vétérinaire autrichien Kurt Grabenwoeger interrogé par le journal. "Ces singes doivent non seulement rester avec leur maman au moins un an, mais ils doivent être entourés par leur famille. Ce sont des êtres vivants, pas des accessoires ou un sac à main", a-t-il déploré.

Justin Bieber serait déjà en train de chercher à récupérer son petit capucin : l'agence du chanteur canadien a pris contact avec le refuge où séjourne actuellement Mally en compagnie de sa peluche préférée. Mais le petit singe serait déjà au plus mal, d'après le patron de l'établissement Karl Joachim. "Il a été arraché à sa mère alors qu'il n'avait que neuf semaines. C'est beaucoup trop tôt. Il est clairement traumatisé. Nous ne pouvons pas lui donner à manger sans son jouet. C'est un parent de remplacement. Il ne cesse d'appeler pour qu'on vienne le voir".


http://people.voila.fr/people/mots-clefs/scandale/

lundi 8 avril 2013

Scandale : Anne Hidalgo toucherait la retraite

Selon Atlantico, la candidate socialiste à la mairie de Paris, Anne Hidalgo, toucherait une pension de retraitée depuis 2011. La république exemplaire, c’est quand au juste ?
Dans un article publié sur son blog et sur Atlantico, Serge Federbusch nous explique qu’il a trouvé une pépite dans le Journal officiel. D’après lui, l’adjointe de Bertrand Delanoë cumulerait ses indemnités d’élue avec une retraite qu’elle aurait prise à l’âge de 53 ans.
Encore une fois, et comme toujours avec les socialistes, à l’image d’un Jérôme Cahuzac luttant contre la fraude fiscale ou d’un Jean-Marc Ayrault dénonçant le départ de Depardieu mais abstenant de tout commentaire sur son ministre, cette information tombe au moment ou François Hollande demande à tous les Français de consentir des sacrifices et d’allonger la durée du travail.
Tous ? Non, une poignée d’irréductibles résistent encore et toujours à la morale politique. Ils se réunissent régulièrement autour de Solferino….
Selon le journal Officiel, « par arrêté du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé en date du 27 janvier 2011, Mme Anne HIDALGO, directrice du travail, est radiée des cadres et admise à faire valoir ses droits à la retraite, à sa demande, à compter du 1er juillet 2011″.
De toute évidence, la retraite d’Hidalgo est parfaitement légale. De là à être morale ?…

http://24heuresactu.com/2013/04/03/scandale-anne-hidalgo-toucherait-la-retraite/

dimanche 7 avril 2013

Un attentat impuni en raison d'une gaffe

Un attentat organisé en mai 1957 à Strasbourg par des agents des services secrets tchécoslovaques et dont avait été victime l'épouse du préfet du Bas-Rhin de l'époque, Mme Henriette Trémeaud, restera impuni à cause d'une gaffe de la justice tchèque, rapporte aujourd'hui la presse tchèque. "C'est une victoire de l'injustice", a souligné Pavel Bret, responsable de l'Office d'investigation et de documentation des crimes du communisme, dans les colonnes du quotidien Dnes. "Nous devons maintenant informer la partie française", a-t-il ajouté.

Mme Trémeaud a été tuée le 17 mai 1957 par l'explosion d'un engin puissant, dissimulé dans une boîte à cigares, posté quatre jours plus tôt à Paris par un agent secret de la Statni Bezpecnost (StB), police d'Etat communiste tchécoslovaque. Commandé très probablement par le KGB soviétique, l'attentat visait le mari de la victime, le préfet du Bas-Rhin, André Trémeaud.

Le dernier membre présumé du commando meurtrier toujours en vie, identifié par le journal Dnes comme Stanislav Tomes, échappera toutefois à la punition car le tribunal a arrêté l'an dernier la procédure pénale qui traînait depuis 1996. Le parquet n'a pas fait appel de cette décision, "pour des raisons peu claires", selon le journal. "Un complot grandiose ou une erreur grandiose ?", s'interroge Dnes selon lequel la juge, membre du parti communiste avant 1989, a arrêté la procédure pénale en raison de l'état de santé de Stanislav Tomes, âgé de 86 ans. Le même journal rappelle cependant que la validité du permis de conduire de Tomes a été régulièrement prorogé par un médecin jusqu'à l'an dernier. Le second accusé, Milan Michel, est mort en 2010.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/02/97001-20130402FILWWW00116-un-attentat-impuni-en-raison-d-une-gaffe.php

samedi 6 avril 2013

Val-de-Marne : les pompes funèbres n’ont pas attendu la famille à l’enterrement

Un corps, un cercueil mais pas de famille à l’enterrement. Il y a quelques semaines, un homme de 64 ans, originaire de Villeneuve-Saint-Georges, a été inhumé sans la présence de sa famille. Une histoire à peine croyable qui a provoqué l’ire des proches. « C’est scandaleux, on a l’impression qu’il a été enterré comme un chien », s’insurge Françoise, 66 ans, une belle-sœur du défunt.Dans le collimateur de cette famille, originaire d’un petit village de la Somme, une entreprise de pompes funèbres de Villeneuve-Saint-Georges. Cercueil à 1870 €, ouverture du caveau à 895 €, corbillard à 555 € ou encore équipe de porteurs à 570 €, la famille avait pourtant tout prévu et organisé des funérailles pour la somme rondelette de 6214,50 €. La date et l’heure de l’enterrement étaient même arrêtées, le 12 mars 2013, à 9h30. Mais la veille au soir, le frère du défunt, 70 ans, ancien chef cuisinier dans la restauration collective, appelle l’entreprise, les Pompes funèbres générales. « Il y avait un risque de neige et de verglas, la vigilance orange était déclenchée, détaille Françoise, son épouse, ancienne secrétaire notariale. Nous avons prévenu qu’on ne pourrait pas venir. On nous a répondu qu’on allait nous recontacter. On attend toujours leur appel. » Le matin des obsèques, quelques heures avant l’enterrement, nouveau coup de fil de la famille qui confirme qu’elle ne pourra pas se déplacer et demande un report. Les 123 km qui la séparent de Villeneuve-Saint-Georges sont impraticables. Plusieurs dizaines de centimètres de neige sont tombés sur le nord de la et des congères se sont formées. Mais, trop tard : les obsèques sont maintenues. Quatre ou cinq amis seulement assistent à l’enterrement au cimetière de Saint-Chéron (Essonne), où se trouve le caveau familial. « Aucun membre de sa famille, ni son frère ni ses neveux, n’y était, énumère Françoise. On avait choisi son costume et préparé de la musique pour la cérémonie. »
Contacté, un porte-parole des Pompes funèbres générales estime qu’il s’agit d’un malentendu : « Nous n’avions pas compris qu’il fallait reporter les funérailles. » La société rappelle aussi qu’il y a un délai légal de six jours à respecter pour enterrer une personne, même si une dérogation préfectorale est toujours possible. « Il ne faut pas croire que nous sommes insensibles. Nous avons conscience du caractère exemplaire que nous devons avoir, insiste le porte-parole. Nous ne pouvons pas refaire les obsèques Mais nous cherchons une solution. »
Si, pour le moment, l’argent des funérailles n’a pas été encaissé à cause d’une erreur d’écriture sur le chèque, rien n’a été proposé à la famille. « Nous demandons au minimum un geste commercial, confie Françoise. Il y a un préjudice moral. Nous avons payé un certain nombre de prestations. Nous ne savons pas si elles ont été effectuées. Enfin, nous voulons surtout des excuses. C’est incroyable, on les attend toujours. » Selon la famille, aucune démarche n’a été entreprise par les Pompes funèbres générales entre le 12 mars, jour des obsèques, et le 27 mars. Quinze jours de silence finalement interrompus mercredi par un coup de fil. « On nous a dit qu’il y avait un problème avec le chèque et qu’il fallait en renvoyer un, confie Françoise. On nous a demandé ce qu’on voulait et on nous a promis de répondre à notre lettre de réclamation envoyée le 12 mars. »
Parallèlement, les proches ont écrit au préfet du Val-de-Marne mais aussi au maire de Villeneuve-Saint-Georges pour les informer. « On ne pouvait pas se déplacer, c’était un cas de force majeure, répète inlassablement Françoise. Ils ne nous ont pas écoutés. Mon beau-frère a été enterré sans sa famille. On n’a pas pu le voir une dernière fois et lui dire au revoir. »

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/bobigny-nouvel-incendie-dans-le-camp-rom-des-coquetiers-31-03-2013-2685693.php

vendredi 5 avril 2013

Scandale autour d'un lait en poudre importé de Suisse et trafiqué en Chine

Un haut responsable d'une société chinoise partenaire du groupe agroalimentaire suisse Hero a été arrêté sous l'accusation d'avoir altéré du lait en poudre pour bébés, a rapporté jeudi la télévision nationale chinoise CCTV. Les enquêteurs ont établi que cette société, Xile Lier, mélangeait du lait en poudre importé avec du lait périmé, changeait la date de péremption sur les boîtes et faisait passer du lait pour des enfants plus âgés, moins cher, pour du lait destiné à des nourrissons, qui est plus onéreux, a précisé CCTV. Les scandales alimentaires sont légion en Chine, mais la question du lait pour bébés est particulièrement sensible depuis le scandale en 2008 de la mélamine, une substance mimant la présence de protéines dans le lait qui avait provoqué la mort d'au moins six petits enfants et provoqué des maladies chroniques chez 300 000 autres. LA DEMANDE EXPLOSE Les autorités de la ville de Suzhou (est), où Xile Lier est basée, ont déclaré que la production de lait en poudre de cette société était à l'arrêt depuis novembre. Mais ses produits, vendus sous le label Hero Nutradefence, sont restés sur les rayons des magasins en Chine. Depuis le scandale de la mélamine, la demande pour le lait en poudre pour bébés importé a explosé en Chine, provoquant même une pénurie à Hongkong qui a dû limiter la quantité de boîtes que les voyageurs sont autorisés à sortir du territoire. Le groupe Hero, dont le siège est situé à Lenzburg, dans le canton suisse d'Aargau, a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de 1,43 milliard de francs suisses (1,17 milliard d'euros).

http://www.lemonde.fr/sante/

mardi 2 avril 2013

Il découvre une aiguille de seringue dans son carpaccio

En mangeant un carpaccio de bœuf de la marque Bigard, cet habitant du Vaucluse a eu, lundi soir, la désagréable surprise de découvrir un morceau d’aiguille de seringue d’environ 2,5 cm.
Comme le relate Le Dauphiné Libéré, l’homme a d’abord ingurgité le morceau d’aiguille avant de le recracher croyant alors qu'il s'agissait d'un os.
Découvrant la nature de ce corps étranger, il a pris contact avec le service consommateur de Bigard et s’est tourné également vers l’enseigne dans laquelle il avait acheté son carpaccio. Du côté du fabricant, on affirme que ce morceau d’aiguille provient des seringues utilisées pour soigner le bétail dans les exploitations agricoles.
Ce consommateur, scandalisé, a pris rendez-vous chez son médecin pour effectuer un bilan de santé.

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/03/29/il-decouvre-une-aiguille-de-seringue-dans-son-carpaccio