jeudi 31 juillet 2014

Vent de fronde chez les femmes de gendarmes à Sospel

Brisant le tabou du devoir de réserve, les épouses de trois gendarmes dénoncent les conditions de vie « indignes » dans la caserne de Sospel. Et relancent le débat sur l’état des bâtiments
Il serait donc moins glamour d'être gendarme à Sospel qu'à Saint-Tropez ! Pas un scoop. Quand sur le sable de Pampelonne, l'adjudant Cruchot traquait les nudistes, ce sont moisissures et autres stigmates de l'insalubrité que les gendarmes du haut pays mentonnais chassent au quotidien. En fait de gendarmes, ce sont leurs épouses qui s'en chargent... Ou plutôt qui, en ayant ras le képi de vivre dans des logements de fonction qu'elles jugent « indignes », ont mis les pieds dans le plat !
Posant sous les fenêtres du casernement où leurs époux ont été affectés, les trois jeunes femmes ont brisé le tabou du mutisme militaire en rendant public dans les colonnes du « Parisien » leur colère.
La caserne courant d'air
Leur coup de gueule, il est relatif à l'insalubrité des locaux de fonction qui leur ont été attribués. Si le groupement de gendarmerie ne nous a pas autorisés à vérifier leurs dires, les trois « rebelles » détaillent volontiers leur quotidien dans le Parisien. Elles évoquent des conditions de vie indigne. La partie centrale du bâtiment où elles ont élu domicile avec leur gendarme de mari et leurs enfants « menace ruine ». Elle avait même un temps été « abandonnée aux pigeons » et aux quatre vents.
Et ce n'est pas tout. La vétusté aurait aussi un prix que Natacha, Valérie et Emilie font plus que contester. Dans ce bâtiment délabré, la facturation du chauffage serait, selon elles, plus qu'exagéré. Il y a peu de temps encore, les conduits de chauffage central à peine isolés passaient quelques centimètres sous le bitume du casernement de Sospel. Moralité, la chaudière réchauffait tout autant la cour du casernement que les appartements de gendarmes... D'où un différend sur les arriérés de charges qui s'élèverait à 18 000 euros !
Le litige serait toujours pendant entre les trois « rebelles » et la direction générale de la gendarmerie. Qu'en sera-t-il après ce mini « scandale » ? Nul ne le sait.
Dans la gendarmerie où le devoir de réserve est une loi, la montée au créneau des trois jeunes femmes est une petite bombe. D'autant que, sur le fond, nul ne conteste que leurs griefs soient fondés.
En faisant le tour du propriétaire de ce gigantesque bâtiment qui semble baigner dans son jus depuis qu'il fut érigé, à savoir en 1885, il est clair que la gendarmerie de Sospel fait partie des derniers casernements d'un autre âge (photo ci-contre). La façade des logements de fonction tient du « squat » avec ses carreaux cassés, ses volets à persiennes délabrés, ses fenêtres opacifiées par le temps, l'humidité et l'abandon. Il est vrai que ce qui fut un casernement d'une compagnie de chasseurs alpins n'accueille plus que les cinq militaires et leurs familles aujourd'hui.

http://www.nicematin.com/sospel/vent-de-fronde-chez-les-femmes-de-gendarmes-a-sospel.1844985.html

mercredi 30 juillet 2014

P.-O. : malade d’un cancer, la préfecture ordonne son expulsion vers la Chine

M alade du cancer, la préfecture des P.-O. vient pourtant d'ordonner son expulsion vers la Chine. Même si Mme Wu ne souhaite pas rester en France mais aller en Italie, se faire soigner.
L'association La Cimade alerte sur la situation de Mme Wu, une immigrante chinoise de 52 ans, actuellement retenue au Centre de rétention administrative (CRA) de Cornebarrieu, près de Toulouse, dont l'expulsion serait prévue ce jeudi 31 juillet. Elle souffre d'un cancer du colon "très avancé", nécessitant un traitement par chirurgie, radiothérapie, et chimiothérapie. La préfecture des P.-O. vient pourtant d'ordonner son expulsion vers la Chine. Même si Mme Wu ne souhaite pas rester en France mais aller en Italie, se faire soigner
"Mme Wu a quitté la Chine il y a huit ans pour l'Espagne"
Mathilde Bachelet, juriste pour la Cimade au CRA de Cornebarrieu, explique que "Mme Wu a quitté la Chine il y a huit ans pour l'Espagne. L'an dernier, son cancer du colon y a été diagnostiqué, mais son assurance a refusé de financer le traitement. Elle a alors tenté de rejoindre sa fille et son cousin en Italie, qui ont trouvé un médecin pour la traiter. Mais elle s'est faite arrêter le 9 juillet à la frontière du Perthus, entre l'Espagne et la France." Mais Mme Wu ne signale pas son état de santé. Son expulsion est ordonnée le lendemain par le Préfet des P-O, face à sa "situation irrégulière".

La reconduite de Mme Wu en Chine est décidée

Conduite au CRA de Cornebarrieu, le médecin y constate la gravité et la dégradation de son état de santé. Le CRA n'étant pas équipé pour traiter le cancer, Mme Wu ne recevrait actuellement aucun traitement, mais uniquement "de puissants anti-douleurs". Le médecin du centre saisit alors le médecin de l'agence régionale de santé (ARS), qui émet un avis indicatif transmis au Préfet, pour qu'il statue sur l'expulsion d'un étranger. La reconduite de Mme Wu en Chine est décidée, "son affection peut être soignée dans son pays d'origine", précise la préfecture des P-O, qui justifie en partie sa décision par la présence de son mari et de son fils en Chine, alors que, selon la Cimade, Mme Wu "est séparée depuis son départ de Chine et n'a plus de contacts avec eux".
Un recours devant le tribunal administratif de Toulouse confirme cette expulsion, tout comme les ministères de la Santé et l'Intérieur. Mme Wu attend aujourd'hui la réponse du Défenseur des droits et du Contrôleur général des lieux de privation de liberté. Mais la Cimade déplore avoir fait le tour de toutes les solutions envisageables...

http://www.midilibre.fr//2014/07/29/malade-d-un-cancer-elle-doit-etre-expulsee,1031508.php

mardi 29 juillet 2014

Strasbourg: il pillait le tronc de la cathédrale

Selon le quotidien les Dernières nouvelles d'Alsace, un SDF de 35 ans a écopé hier d'une peine de un an de prison dont 8 mois avec sursis pour avoir à plusieurs reprises volé l'argent dans le tronc de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg.

Interpellé vendredi après un vol d'un montant de 17 euros et 20 centimes, il a avoué « une dizaine » de vols dans les troncs de Notre-Dame au cours des quinze jours écoulés. L'homme avait déjà été condamné 22 fois dans le passé. Parmi toutes les mentions qui figurent au casier judiciaire du prévenu, dix-huit concernaient des faits de vol. 


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/29/97001-20140729FILWWW00089-strasbourg-il-pille-le-tronc-de-la-cathedrale.php

lundi 28 juillet 2014

Japon: une ado décapite une camarade de classe

Selon Le Parisien citant l'agence des médais japonais, une japonaise de 15 ans a été arrêtée hier, soupçonné d'avoir tué et dépecé une camarade de classe.

Les faits se sont déroulés dans la ville de de Sasebo dans la préfecture de Nagasaki (ouest du Japon). Selon l'agence de presse Kyodo, la jeune fille, dont le nom n'a pas été dévoilé, aurait avoué avoir frappé à plusieurs reprises sa camarade à la tête avec un objet contondant, puis de l'avoir étranglée. Elle aurait ensuite décapité sa victime et coupé sa main gauche.

Les raisons de ce meurtre n'ont pour le moment pas été évoquées par les autorités japonaises.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/28/97001-20140728FILWWW00079-japon-une-ado-decapite-une-camarade-de-classe.php

dimanche 27 juillet 2014

Scandale de la vache folle : les victimes privées de procès

En avril 2014, le Parquet de Paris avait requis un non-lieu général dans l'affaire de la vache folle. D'après ces magistrats, « aucun lien objectif et irréfutable ne pouvait être établi entre les éléments en cause et les décès. » Une décision "pas étonnante", selon la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, spécialiste des questions de santé publique qui a instruit des scandales comme celui du sang contaminé, mais aussi celui de la vache folle. « Il est tellement difficile d’établir un lien de causalité entre telle victime de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) et la consommation d’une viande en particulier », expliquait-elle récemment à la rédaction de pourquoidocteur. Quoi qu'il en soit, du côté des familles des victimes, c'était évidemment la douche froide. Et ce vendredi, c'est une nouvelle déconvenue qu'ont dû subir ces victimes.

Aucune preuve que les produits vendus contenaient des protéines animales
En effet, dix-sept ans après le début de l'enquête, les juges d'instruction du pôle santé publique à Paris ont rendu un non-lieu général dans l'affaire de la vache folle, a révélé Europe1 vendredi. Lancée en 1997, l'enquête française portait sur l'importation de bovins et de farines animales britanniques, et leurs conséquences sur la propagation de l'ESB et de sa variante humaine, la maladie mortelle de Creutzfeldt-Jakob.
Quatre personnes, des responsables d'usine de fabrication d'aliments pour bétail, avaient été mises en examen dans le dossier, certaines pour tromperie ou falsification. Une des quatre est depuis décédée.
Pour justifier cette décision, les juges ont expliqué qu'il n'avait d'une part pas été démontré que les produits vendus par ces usines contenaient des protéines animales. D'autre part, qu'aucune volonté de contourner les législations n'avait pu être caractérisée chez les personnes mises en examen.

27 Français sont morts de la maladie de la vache folle
Pour rappel, la maladie de la vache folle a provoqué dans les années 90 la mort de 26 personnes et de milliers de bovins en France. 
Un 27e patient décédé de cette variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob avait même été répertorié en France en 2012.
Une crise de la vache folle qui avait plombé l'industrie de la viande et généré la panique chez les consommateurs. Devant le nombre important de contaminations par l'ESB en Grande-Bretagne, la France avait en effet décidé unilatéralement en mars 1996 de suspendre l'importation de viandes bovines britanniques, décision entérinée quelques jours plus tard à l'échelon communautaire par la Commission européenne. Cet embargo français a été levé en septembre 2002.


http://www.pourquoidocteur.fr/Question-d-actu

vendredi 25 juillet 2014

Des morceaux de verre dans du saucisson commercialisé à Antibes

Des morceaux de verre ont été détectés dans des saucissons notamment commercialisés à Antibes, indique le ministère de la Santé.
Ces produits ont tous été rappelés par la société "Salaisons du Mâconnais". Il s'agit de "Spécialité de saucisson sec" commercialisées par deux marques différentes.
Ces produits ont été commercialisés entre le 12/06/2014 et le 22/07/2014. Les magasins concernés signalent ce rappel via une affichette. L’ensemble des lots a été retiré de la commercialisation mais certains avaient déjà été commercialisés avant la mesure de retrait. 
En raison du risque d’ingestion de morceaux de verre, par précaution il est donc recommandé aux personnes qui détiendraient des produits appartenant aux lots décrits ci-dessus de ne pas les consommer et de les détruire, ou de se les faire rembourser. 
Il s'agit des références suivantes:
- Spécialité de saucisson sec 200 g de marque "Plaisir des ducs" 
Numéros de lots: 4139006001, 4139006002, 4139006003, 4139006004, 4139006007, 4139006009.
Date limite d’utilisation (DLUO) : 09/09/2014, 14/09/2014, 22/09/2014
Commercialisés dans 7 magasins en France, dont Carrefour Antibes.
- Spécialité de Saucisson sec 200 g de marque Saint-Azay marque repère
Numéros de lots : 4139006005, 4139006006, 4139006008
Date limite d’utilisation (DLUO) : 10/09/2014, 11/09/2014, 14/09/2014
Commercialisés dans les magasins de l’enseigne E. Leclerc. 

Pour toute question relative à cette non conformité, vous pouvez contacter le Service Clients par mail à consommateurs@maconnais.fr


http://www.nicematin.com/antibes/des-morceaux-de-verre-dans-du-saucisson-commercialise-a-antibes.1837604.html

jeudi 24 juillet 2014

Panne d'ampleur nationale sur le réseau SFR

Le réseau mobile de SFR est victime depuis 8h45 ce matin d'une vaste panne touchant de nombreux clients à travers le pays. Impossible pour eux d'appeler et de recevoir des coups de téléphone, d'envoyer des SMS et d'utiliser leur connexion à Internet.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/07/24/97002-20140724FILWWW00106-panne-d-ampleur-nationale-sur-le-reseau-sfr.php

mercredi 23 juillet 2014

Le bébé abandonné est mort asphyxié

Selon Le Dauphiné, le bébé de 1 an oublié dans la voiture par sa mère à Courthézon (Vaucluse, PACA) est mort à la suite d'une « défaillance cardio respiratoire » à cause d'un manque d'air.

Le Procureur de la République a précisé que la mère de l'enfant, laissé 45 minutes dans une voiture garée en plein soleil par 35 °C, était bien sous l'emprise de l'alcool. Son taux d'alcoolémie a été établi à 0,93 g/l de sang. Les militaires devraient l'entendre dans les jours qui viennent et une enquête a été ouverte pour homicide involontaire par négligence.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/23/97001-20140723FILWWW00049-le-bebe-abandonne-est-mort-asphyxie.php

mardi 22 juillet 2014

Réforme territoriale : Bruno Le Roux (PS) regrette les déclarations de Martine Aubry

Pour le président du groupe PS à l’Assemblée nationale, les critiques de la maire de Lille ne constituent pas la meilleure façon de travailler…
Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, a dit regretter les propos de Martine Aubry, qui ne sont «pas la bonne façon de travailler», après les critiques de la maire de Lille sur la réforme territoriale et le quinquennat Hollande.
«Je regrette des propos qui, sur un dossier comme celui-ci, donnent lieu à deux heures de conférence de presse avec ces propos sur les deux premières années (du quinquennat, NDLR). Cela ne me semble pas véritablement la bonne façon de travailler», a-t-il réagi ce mardi sur RTL.
Martine Aubry a tenu vendredi une conférence de presse pour dénoncer la fusion de sa région Nord-Pas-de-Calais avec la Picardie, décidée à l’Assemblée nationale. «Il n’est pas trop tard pour réussir le quinquennat», a notamment lancé la concurrente malheureuse de François Hollande lors de la primaire socialiste de 2011.

La nouvelle carte territoriale «réunit une majorité plus large»

S’agissant de la carte territoriale, «il y avait la carte du président, il y a aujourd’hui la carte du parlement. Quelle est la différence? La carte du Parlement a été travaillée plus longtemps, c’est normal car il y a eu un temps parlementaire et elle réunit, je le pense, une majorité plus large», a estimé Bruno Le Roux.
«Je pense qu’elle a tort» s’agissant de son appréciation du quinquennat, a poursuivi le président du groupe PS à l’Assemblée nationale. «La mobilisation ne peut pas être une mobilisation pour mettre en cause ce que nous faisons depuis deux ans car c’est la politique qui doit permettre à la France de réussir. Chacun devrait dans le moment présent apporter toute son énergie à passer le cap qui permet aujourd’hui d’engranger des résultats."

Cambadélis: «on doit faire en sorte que les députés socialistes se rassemblent»

Interrogé sur i > TELE, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a pour sa part déclaré: «j’étais favorable à sa position mais les députés socialistes ont estimé qu’il fallait faire autrement. Ils ont voté, il y a eu un vote à l’intérieur du groupe.»

http://www.20minutes.fr/politique/1420919-reforme-territoriale-bruno-le-roux-ps-regrette-les-declarations-de-martine-aubry

lundi 21 juillet 2014

Paris : ce très cher chantier des Halles

La facture s'annonce plus salée que prévu. Le gigantesque chantier des Halles, au coeur de Paris, devrait finalement coûter plus d'un milliard d'euros, taxes comprises, d'après Le Parisien. Le quotidien estime que le surcoût pour ce chantier lancé en 2001 par l'équipe de Bertrand Delanoë devrait s'élever à 14,4%.
Une "dépollution d'ampleur". La "remise aux normes des voiries souterraines" a par exemple coûté 69% de plus que prévu et celle du jardin 48%. La Canopée, un vaste toit de verre au-dessus des Halles, coûte 35% plus cher que prévu. Jean-Louis Missika, l'adjoint apparenté PS chargé de l'urbanisme à la mairie de Paris, explique notamment que les voiries souterraines étaient "encrassées par le plomb des carburants" et qu'elles ont donc "nécessité une dépollution d'ampleur". Pour la Canopée, il indique en outre qu'"il a été décidé, et c'était plus sage, d'installer les pièces de verre les plus lourdes en dehors des heures d'ouverture", ce qui a multiplié les heures de nuit.
Le chantier de la Philharmonie. Le quotidien pointe aussi un autre "gouffre" : celui du chantier de la Philharmonie de Paris, dans le parc de la Villette, dans le 19e arrondissement. Dessiné par l'architecte Jean Nouvel, le bâtiment, qui doit ouvrir ses portes en janvier, va coûter trois fois plus cher que prévu initialement, puisqu'il est passé de 118 millions d'euros estimés en 2006 à 381 millions aujourd'hui.
 

dimanche 20 juillet 2014

Convoqué au tribunal de Nice, il vole le portefeuille d'un magistrat

Un Niçois de 23 ans a été déféré au parquet de Nice ce samedi. Il est soupçonné d'avoir subtilisé le portefeuille d'une magistrate, juge pour enfants, le 3 juillet dernier.
L'individu a profité de l'absence de la juge pour pénétrer dans son bureau au Palais Rusca qui abrite le tribunal d'instance.
Les policiers du groupe d'appui judiciaire (GAJ) ont retrouvé chez le voleur présumé quelques grammes de résines de cannabis et un ordinateur volé à des Danois sur la Promenade.
Le portefeuille de la magistrate avait été retrouvé dans une boîte aux lettres mais sans l'argent liquide.

http://www.nicematin.com/nice/convoque-au-tribunal-de-nice-il-vole-le-portefeuille-dun-magistrat.1830102.html

samedi 19 juillet 2014

Un millier de supporters lensois dans la rue pour le maintien du club en Ligue 1

Le club artésien ne présente pas de garanties financières suffisantes...
Un millier de supporters Sang et Or a manifesté dans les rues de Lens samedi matin contre le maintien du club en Ligue 2 au son de «On veut la Ligue 1!», a constaté un correspondant de l'AFP.
Plus de 12.000 personnes avaient répondu à l'invitation lancée via le réseau social Facebook, mais seule une poignée d'entre eux s'est finalement déplacée.
«Il y a moins de monde que prévu, mais le principal est de se faire entendre», souligne Guillaume Kaznowski, l'organisateur de l'événement. «Avec les vacances, ce n'était pas facile de mobiliser tout le monde. Finalement, on a réussi notre pari, celui de faire entendre la voix des supporters», a-t-il ajouté.

«La situation est urgente»

Le cortège est parti à 11h du stade Bollaert pour rejoindre l'hôtel de ville de Lens sur fond de chants à la gloire des Sang et Or.
Si Guillaume Kaznowski espérait pouvoir s'entretenir avec le président Gervais Martel, ce dernier a décliné l'invitation.
«Je lui ai demandé de venir s'exprimer devant les supporters, mais il m'a répondu qu'il était en train de travailler sur le dossier de la CNOSF», a expliqué l'organisateur.
«J'espère qu'on aura des réponses assez rapidement parce que la situation est urgente, et on ne sait rien», a-t-il regretté.

Il manque dix millions d'euros

Mardi, la DNCG avait décidé en appel de maintenir sa décision de première instance d'interdire au RC Lens, promu sportivement, de monter en L1 en raison de garanties financières insuffisantes.
En effet, le versement attendu de 10 millions d'euros de la part de l'actionnaire majoritaire azerbaïdjanais Hafiz Mammadov n'était pas arrivé sur le compte du club.
Gervais Martel, qui a fait appel auprès du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), instance qui devrait recevoir rapidement le club, a toutefois assuré mardi soir être «extrêmement confiant» et «avoir toutes les cartes en mains pour que Lens joue en L1».

http://www.20minutes.fr/sport/1420159-les-supporters-lensois-dans-la-rue-pour-le-maintien-du-club-en-ligue-1

vendredi 18 juillet 2014

Accident/train: le système de signalisation était en maintenance

Le système de signalisation sur la voie où s'est produit la collision entre deux trains à proximité de Pau jeudi, faisant 40 blessés dont 4 graves, était en maintenance, a annoncé le secrétaire d'Etat aux transports Frédéric Cuvillier, en annonçant des révisions "dans tout le réseau".

"Il faut savoir que le système de signalisation était en maintenance. Y a-t-il un lien de causalité entre la maintenance et l'accident, rien ne permet de l'affirmer, ni de l'exclure", a-t-il déclaré à la presse sur place en précisant que "les systèmes de signalisation qui sont en maintenance doivent être vérifiés".


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/07/18/97002-20140718FILWWW00007-accidenttrain-le-systeme-de-signalisation-etait-en-maintenance.php

jeudi 17 juillet 2014

Une élue de Bobigny menacée de mort

Une élue de la ville de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a récemment porté plainte pour "menaces de mort" et "séquestration" contre plusieurs de ses collègues.

L'élue, adjointe à la petite enfance, assure avoir été séquestrée dans un bureau et menacée de mort par quatre membres de l'équipe municipale du nouveau maire UDI Stéphane De Paoli, a relaté une source policière, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.

Un tract anonyme sur l'épouse d'un membre du "gang des barbares"

Les personnes mises en cause, parmi lesquelles le premier adjoint du maire, ont été convoquées au commissariat de Bobigny mercredi et confrontées à la plaignante, a ajouté cette source. "Ils la soupçonnaient d'avoir distribué un tract et ils lui ont mis la pression", a-t-elle dit.

Fin juin, un tract anonyme avait été diffusé dans des boîtes aux lettres de la ville. Il accusait la mairie d'avoir recruté comme chargée de mission une jeune femme condamnée pour violences et par ailleurs épouse d'un membre du
"gang des barbares", actuellement incarcéré pour son implication aux côtés de Youssouf Fofana dans la mort d'Ilan Halimi.

"Si tu as la moindre info, crache-la" - un membre du cabinet du maire

Accusée d'être à l'origine de ce tract, l'élue a été reçue début juillet dans un bureau de la mairie. Selon Marianne, qui diffuse sur son site des extraits de la conversation enregistrés par la plaignante à l'insu de ses interlocuteurs, elle a alors fait l'objet d'intimidations.

"Tu es rentrée sur un terrain qui est dangereux pour toi", assure, sur ces enregistrements, un homme présenté comme un membre du cabinet du maire. "Si tu as la moindre info, crache-la (...) Parce que c'est aussi dangereux pour tes miches", ajoute, selon l'hebdomadaire, le premier adjoint de la ville.

Contactée par l'AFP, la mairie de Bobigny n'a pas souhaité réagir à ces accusations. Le secrétariat des élus a pour sa part assuré que l'adjointe à la petite enfance était "en congés", refusant de préciser si elle occupait encore ses fonctions.

Stéphane De Paoli, adoubé par l'UDI, mené dans le 93 par le député-maire de la commune voisine de Drancy Jean-Christophe Lagarde, avait créé la surprise aux municipales en remportant 54% des voix devant la candidate sortante communiste Catherine Peyge. Le PCF dominait la ville depuis sa création en 1920. La fin de campagne avait été marquée par un climat tendu entre partisans de Stéphane De Paoli et militants communistes, sur fond d'accusations de clientélisme et d'instrumentalisation du vote dans les cités.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/17/97001-20140717FILWWW00157-une-elue-de-bobigny-menacee-de-mort.php

mercredi 16 juillet 2014

Un bébé oublié à la crèche après sa fermeture

Un bébé de neuf mois a été oublié pendant environ une heure trente mardi soir dans une crèche de Strasbourg après sa fermeture, a indiqué ce mercredi la direction de l'établissement, confirmant une information de RMC-Info.
Alertés par la mère, qui a trouvé porte close devant l'établissement en venant récupérer sa fille, les pompiers et la police ont forcé une porte et trouvé l'enfant réveillé dans son lit à barreaux. L'intervention des secours a eu lieu aux alentours de 20 heures, tandis que l'établissement a fermé ses portes à 18h30, l'horaire habituel, a expliqué Muriel Litvinenko, directrice générale de l'association à but non lucratif ASBR, qui gère l'établissement. "Les procédures ont été respectées, mais il y a eu une erreur humaine d'une encadrante", a admis Muriel Litvinenko. "Elle n'est pas allée jusqu'au fond du dortoir pour vérifier que tous les lits étaient vides avant de fermer la crèche".
La mère était passée une première fois à la crèche dans l'après-midi, mais son enfant dormait et elle avait décidé en accord avec une autre membre du personnel de repasser plus tard, demandant à être rappelée au réveil de l'enfant. Mais personne ne l'a rappelée et "la maman a oublié l'heure de fermeture", a indiqué la direction, "sans chercher à minimiser la responsabilité" de la crèche. "L'enfant allait bien et a pu repartir avec sa mère, après avoir été examiné par un médecin", a ajouté Muril Litvinenko.
"C'est scandaleux", s'est indignée de son côté la mère au micro de RMC-Info, estimant que sa fille était restée seule "deux heures à peu près". "Quand la directrice est arrivée, elle m'a dit qu'elle n'avait pas les mots pour s'excuser", a-t-elle poursuivi. "Je lui ai répondu que j'étais désolée, mais que j'allais devoir déposer une plainte et que ma fille ne reviendra plus là-bas". L'établissement en question, inauguré en avril dernier, est une crèche bilingue franco-allemande, d'un capacité d'accueil de 60 enfants.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/16/1919573-un-bebe-oublie-a-la-creche-apres-sa-fermeture.html

mardi 15 juillet 2014

Le montant des fraudes à la CB en hausse

Le taux de fraude sur les paiements par carte bancaire est resté stable en 2013, par rapport à 2012, mais le montant total des sommes concernées a augmenté, selon un rapport publié mardi.

L'an passé, le taux de fraude s'est maintenu à 0,080% du montant des transactions effectuées, soit 469,9 millions d'euros, contre 450,7 millions en 2012, indique l'Observatoire de la sécurité des cartes de paiement. "La fraude sur les transactions par carte reste bien maîtrisée", s'est félicité le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, également président de cet observatoire, lors d'une conférence de presse.

En 2013, le montant des fraudes s'est réparti presque équitablement entre les transactions nationales (238,6 millions d'euros) et internationales (231,3 millions).

En France, la fraude liée aux paiements sur internet a poursuivi sa baisse entamée en 2012. Si le montant des transactions concernées a grimpé (125 millions d'euros contre 109,4 millions), le taux de fraude a pour sa part nettement reculé pour atteindre 0,229%, soit une baisse de 0,061 point de pourcentage


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/07/15/97002-20140715FILWWW00125-le-montant-des-fraudes-a-la-cb-en-hausse.php

dimanche 13 juillet 2014

Rivesaltes : expulsés de la gare après toute une vie de cheminot

Locataire et acquéreur de la maison de l'ancien chef de gare, son dernier poste à la SNCF avant la retraite, Ange est mis en demeure de quitter les lieux. Motif Invoqué ? Des travaux risqueraient l'effondrement du quai.
Que c'est triste un train qui siffle dans le soir… Michèle écrase une larme. Richard Anthony et sa chanson triste n'y sont pour rien. Femme de cheminot, elle rythme son quotidien au tempo du rail où son mari a réalisé l'entier de sa carrière. Toute une vie à la SNCF pour finir, "poussé dehors", comme il dit, Ange. Retour sur 2012. Auparavant chef de poste en gare de Rivesaltes, un emploi supprimé, Ange Garcia est muté "dans les bureaux", à Perpignan. "J'avais démarré en 1976 et avec les nouvelles technologies et tout le reste, ils ne savaient plus que faire de moi. Alors, je suis parti. A 56 ans", regrette-t-il aujourd'hui.

La retraite se transforme en cauchemar. Locataire depuis 1999 de la petite maison bâtie dans les années 1910 sur le quai de la cité de Joffre et du Babau, le couple reçoit un courrier du bailleur. Une filiale de la SNCF en charge du logement des salariés. Celle-là même qui leur avait remis les clés du pavillon, treize ans plus tôt. "C'était une habitation délabrée. Il n'y avait pas de chauffage ni de volets, rien, on a tout refait", rappelle Ange. La lettre leur annonce qu'en raison de sa cessation d'activité, le bail devient caduc.
Or, "en 2011, on avait adressé une demande d'achat au gestionnaire du patrimoine immobilier de la SNCF à Limoges et la transaction était en bonne voie", explique le sexagénaire. Qui en oublie presque l'injonction. Dans la foulée, d'ailleurs, France Domaine, organisme dédié aux ventes de l'Etat, expertise les lieux et fixe un prix. De l'ordre de 40 000 €. "On était heureux. On allait pouvoir continuer à vivre avec les trains", enchaîne Michèle.
  • Ni à vendre ni à louer
Echanges de mails, visite d'une responsable de Limoges, les mois s'écoulent jusqu'en décembre 2013. "Ils nous ont laissé poireauter pour ensuite nous briser. C'est dégueulasse", reprend Ange, exhibant le document en cause. Il mentionne le rejet de la cession. Motif ? "Notre demeure était, paraît-il, classée emplacement réservé dans le cadre du projet de la nouvelle ligne ferroviaire".
Les époux Garcia filent vérifier à la mairie de Rivesaltes. "On nous a répondu que c'était faux". Ils relancent donc la direction de Limoges qui rejette la deuxième requête. Cette fois, la raison invoquée diffère. "C'était par peur de travaux. Si on en faisait dans le jardin, on risquait de faire écrouler le quai…". L'affaire se corse. Ange Garcia tente une autre option. Continuer à louer. 520 € mensuel. Il ne peut pas payer davantage avec une retraite à 5 000 € par trimestre plus un petit job d'appoint dégoté dans le transport scolaire. La SNCF oppose un troisième non catégorique. Une mise en demeure à l'appui. Avoir quitté le domicile au 30 septembre 2014.
  • A la rue à 60 ans
"Ils veulent faire comme dans les autres gares. Nous expulser pour murer la maison et la laisser à l'abandon, squattée. Leur immobilier, ils appellent ça des biens inutiles", dénonce l'ancien employé, bras ballants. Soutenu par Michèle, il a écrit au PDG de la SNCF, au président de la République, aux syndicats des cheminots. En vain. "Dans 2 mois, on sera chassé. A la rue. Mais je crois qu'on ne partira pas, quitte à faire une connerie. On n'a plus rien à perdre", menace le couple.
 http://www.lindependant.fr/2014/07/13/expulse-de-la-gare-apres-toute-une-vie-de-cheminot,1906938.php

jeudi 10 juillet 2014

Un lunetier français voit les nouvelles lunettes de François Hollande d’un mauvais œil

Mécontent de la nouvelle paire de lunettes danoise du chef de l’Etat, il a envoyé une monture 100% made in France à l’Elysée…
Il a longtemps hésité avant de porter sa paire de nouvelles lunettes. François Hollande aurait dû patienter encore un peu. Raillées par les réseaux sociaux, les nouvelles lunettes du chef de l’Etat ont aussi provoqué la colère des dirigeants d’un fabricant français, installés en Loire-Atlantique. Déçus de voir le chef de l’Etat porter une paire de lunettes danoise, ils viennent de lui envoyer une monture 100 % made in France de leur catalogue accompagnée d’une lettre à l’Elysée.
>> Interview: «Il n’en fait qu’à sa tête!»
«Vous êtes, Monsieur le président, un vecteur d’image important à travers le monde et votre choix de monture peut laisser penser qu’aucune entreprise française n’a pu satisfaire vos exigences», écrivent Ludovic Brochard et Maxime Rolandeau, co-gérants de la société Roussilhe, dont le siège social est situé à Treillères au nord de Nantes.

Label «Origine France Garantie»

«C’est pourquoi nous vous envoyons un de nos modèles qui reste dans votre nouveau style, mais de fabrication 100 % française», ajoutent-ils, soulignant que leur entreprise est l’une des rares «à bénéficier du Label ‘’Origine France Garantie’’».
>> Diaporama: Lunettes et politique font la paire
«En portant nos lunettes, vous pourriez devenir l’ambassadeur de la lunetterie française et témoigner du dynamisme de notre filière dans l’Hexagone mais aussi à l’étranger: véritable coup de pouce pour une PME comme la nôtre et vraie reconnaissance pour ce savoir-faire français», plaident-ils encore.

http://www.20minutes.fr/politique/1416839-un-lunettier-francais-voit-les-nouvelles-lunettes-de-francois-hollande-d-un-mauvais-œil

mercredi 9 juillet 2014

Jean-François Copé fait rémunérer sa femme par l’Assemblée nationale

Son poste est très flou, selon Mediapart...
A l’Assemblée nationale, Jean-François Copé est député et sa femme Nadia est sa salariée. Selon les informations de Mediapart, l’ancien président de l’UMP embauche son épouse et la rémunère avec son enveloppe parlementaire. Rien d’illégal dans cette pratique: chaque élu peut recruter qui il souhaite et payer son équipe jusqu’à 9.504 euros par mois. Seule contrainte: le salaire des époux-ses de parlementaires est plafonné à 50 % de cette somme, soit environ 4.750 euros mensuels – une somme que ne dépasse pas Nadia Copé à l’heure actuelle, d’après le site d’investigation.
Mais le poste de la femme de Jean-François Copé est très flou. Elle qui est généralement présentée comme «psychologue pour enfants» occuperait auprès de son époux un «rôle de conseil», selon l’entourage du député-maire de Meaux. «C’est même sa première conseillère» et «elle tient parfois des permanences à Meaux», souligne-t-on.

«Nadia est très présente dans ma vie politique»

Jean-François et Nadia Copé «assument», assure-t-on. Pourtant, quand en février 2013 Paris-Match demandait à l’ancien président de l’UMP «Quelle place votre femme occupe-t-elle auprès de vous?», il ne faisait guère mention de ce travail et répondait «Nadia est très présente dans ma vie politique. Certains cloisonnent vies professionnelle et privée, c’est mon cas». Ajoutant toutefois être «très heureux qu’elle (le) suive». «Elle est devenue militante. Elle me soutient», disait-il.
Cette révélation intervient alors que l’audit réalisé par l’UMP a montré que le parti aurait payé pour 24.000 euros de billets d’avion à Nadia Copé. Une dépense encore une fois «assumée» par l’ex-patron de la formation.

http://www.20minutes.fr/politique/1416603-jean-francois-cope-fait-remunerer-sa-femme-par-l-assemblee-nationale

mardi 8 juillet 2014

Saint-Denis : une diplomate arrêtée pour conduite en état d’ivresse

Samedi soir, les policiers ont eu une petite surprise lors d’un banal contrôle routier près du stade de , à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). La conductrice, ivre, a sorti son passeport diplomatique camerounais. Mais comme elle ne disposait pas de l’immunité et que son alcootest était «extrêmement positif», d’après une source proche du dossier, les forces de l’ordre ont décidé de placer la fêtarde en garde à vue. 
L’un des passagers du véhicule a tenté d’intervenir. Il s’agissait d’un des fils d’Omar Bongo, l’ancien de la République gabonaise, décédé en 2009. Frère de l’actuel Président Ali Bongo Ondimba, celui-ci a brandi son passeport diplomatique gabonais, document qui lui garantit l’immunité, afin de «tenter d’arranger les choses». En vain.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/saint-denis-une-diplomate-arretee-pour-conduite-en-etat-d-ivresse-08-07-2014-3986651.php


lundi 7 juillet 2014

Quand la compagne de Samir Nasri se moque des Bleus

Si il y en a une qui se réjouit de la défaite de l'équipe de France de football en quarts de finale du Mondial, c'est bien Anara Atanes. La petite amie de Samir Nasri n'a pas perdu l'occasion de donner son avis sur le score de 1-0 infligé par l'Allemagne aux Bleus...

Nasri vs Valbuena

"Oooooops! Et c'est pourquoi vous avez besoin de vos joueurs de rang mondial", a-t-elle tweeté moqueusement. Un internaute s'est empressé de la démentir, estimant que les Bleus sont parvenus jusqu'en quarts de finale justement grâce à l'absence de Samir Nasri et que Mathieu Valbuena est de toute façon bien meilleur joueur. Pas de quoi décontenancer Anara qui a aussitôt rétorqué : "Valbuena joue à Marseille, alors que Samir est à Manchester City, qui a gagné la Coupe de la Ligue. Jusqu'où est allée Marseille cette année?"

Une autre polémique

Le mannequin Anara Atanes s'était déjà fait remarquer en postant un tweet insultant sur le choix de Didier Deschamps de ne pas sélectionner son petit ami pour le Mondial : "Fuck France and fuck Deschamps ! What a shit manager !" Elle s'était ensuite excusée pour ses propos.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=29000&WS=291720_2501986&WA=5560

dimanche 6 juillet 2014

L'épouse de Copé aurait voyagé aux frais de l'UMP

Les résultats de l'audit confié à un cabinet indépendant à la suite des révélations de "l'affaire Bygmalion" - qui porte sur des surfacturations présumées de l'ordre de 11 à 17 millions d'euros - seront connus mardi.
L'UMP accuserait une dette "proche de 80" millions d'euros, et certaines dépenses ont attiré l'attention des auditeurs, révèle le JDD. Ils ont notamment épluché les frais de l'ex-président du parti Jean-François Copé. L'année dernière, ce dernier aurait dépensé 27.000 euros de billets d'avion et sa femme aurait également bénéficié de 24.000 euros de billets réglés par l'UMP.

Par ailleurs, toujours selon le JDD, la dette de l'UMP se serait alourdie pendant la dernière campagne présidentielle. L'UMP aurait ainsi négocier en urgence un prêt de 55 millions d'euros auprès de la Société générale


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/06/97001-20140706FILWWW00053-l-epouse-de-cope-aurait-voyage-aux-frais-de-l-ump.php

vendredi 4 juillet 2014

Var : une Toulonnaise déclarée morte par erreur

Jusqu'à preuve du contraire, Yvette est toujours vivante. Elle était pourtant déclarée décédée depuis le 8 mai, comme le raconte le quotidien Var Matin. Cette Toulonnaise de 80 ans a appris la drôle de nouvelle par le biais de sa cardiologue.
  Les formulaires de remboursement envoyés à la Sécurité sociale suite à une visite d'Yvette lui étaient revenus. Depuis, sa patiente se bat pour faire reconnaître qu’elle est toujours en vie et percevoir à nouveau ses pensions de retraite

Yvette a vécu cette mésaventure il y a plus d'un mois déjà et ne s'en remet pas : «J'ai eu un choc. J'ai d'abord pensé que c'était une blague.»  L'octogénaire n'a reçu aucune explication sur cette fâcheuse erreur administrative à la CPAM ni au commissariat de police. Ce raté n'est pourtant pas sans conséquence car elle ne perçoit plus sa pension.

La faute à un homonyme...

Yvette doit encore attendre car le «certificat de vie» remis le service d'état-civil de la mairie ne suffit pas. L'administration lui réclame en plus un extrait de naissance pour prouver qu'elle est toujours vivante.« Et comme je suis née au Maroc, ça dépend du service des étrangers, à Nantes, explique la vieille dame, dépitée, qui précise :« J'ai écrit en recommandé, mais j'attends toujours. »

Pour accélérer la procédure, le personnel du service d'état civil de la mairie de Toulon a contacté lui-même le service des étrangers à Nantes. C'est ainsi qu'un coin du voile a été levé : les
ont ainsi appris qu'un homonyme, né la même année qu'Yvette mais en Algérie, est décédé en février à . Et c'est sans doute ce décès qui aura créé la confusion dans les services de Loire-Atlantique.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/var-une-toulonnaise-declaree-morte-par-erreur-04-07-2014-3976809.php

jeudi 3 juillet 2014

Sécurité routière : François Hollande et Manuel Valls ne donnent pas l'exemple

Les affaires de l'Etat n'attendent pas ! Peut-être, mais au delà des beaux discours sur la et du respect des règles du code de la route, François Hollande, Manuel Valls ou encore Bernard Cazeneuve sont très loin de donner l'exemple
Seule exception, au volant de sa voiture électrique ! Durant deux mois, les journalistes d'Auto Plus, qui ont l'habitude de ce type d'enquête, ont filé nos dirigeants. Dans leurs conclusions dévoîlées ce jeudi, ils mettent en lumière trois catégories : les fous du volant, ceux qui ont parfois le pied lourd et celle qui roule pépère. En matière de déplacements en voiture, on est loin de la rigueur imposée par Jean-Marc Ayrault.

La palme revient probablement à son successeur Manuel Valls. «Oubliée la conduite modérée de l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault, explique le journal automobile. Le nouveau «boss» attaque le bitume à la hussarde.» Avec son escorte souvent constituée de deux motards, trois monospaces et une ou deux voitures banalisées à l'arrière, le Premier ministre est «jamais à l'arrêt» et multplie «les voies prises à contresens, les feux rouges brûlés». Idem pour les excès de vitesse. Le convoi dépasse souvent de 20 km/h les limites autorisées en ville. Son record ? Le 16 mai vers 21h45, au retour de Normandie, Manuel Valls a été surpris à 160 km/h sous un tunnel limité à 90 km/h... En principe, c'est un retrait immédiat de permis et une perte de six points... Dans la même catégorie, on trouve Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, qui pourtant se veut très strict sur le principe du respect du code de la route.

 
 


Sur la route, François Hollande est un automobiliste presque «normal» dans sa DS5 Citroën. «En général, sa berline marque l'arrêt aux feux rouges et n'esquive pas les files de véhicules qui la précèdent à coups de gyrophare», reprend Auto Plus. Lors de son périple à Tulle, le 25 mai, pour voter aux élections européennes, le convoi a globalement roulé sur autoroute à 130 km/h même si le GPS d'Autoplus a relevé une pointe à plus de 160 km/h, pas de ralentissement sous la pluie ni dans les zones limitées à 110km/h... Même chose pour Arnaud Montebourg. En général, le convoi du ministre de l'Economie roule correctement. Mais en cas d'urgence, son chauffeur n'hésite pas à avoir le pied lourd et à griller les feux rouge.

Seurle Ségolène Royal, la ministre de l'environnement, a adopté «l'éco conduite» au volant de sa Renault Electrique. Respect des feux rouges, des vitesses... un modèle. 

http://www.leparisien.fr/automobile/securite-routiere/securite-routiere-francois-hollande-et-manuel-valls-ne-donnent-pas-l-exemple-03-07-2014-3974163.php

mardi 1 juillet 2014

Dordogne : l'employée communale envoyait des lettres d'amour à un enfant de 9 ans

Une employée communale de Bassillac, âgée d'une trentaine d'années, a été mise à pied après avoir envoyé des lettres d'amour à un enfant de 9 ans, dans lesquelles elle l'invitait notamment à fuguer, selon le quotidien Sud-Ouest.

23. C'est le nombre de lettres d'amour adressées par une employée communale de Bassillac, en Dordogne, à un garçon de neuf scolarisé dans l'école pour laquelle elle travaillait, avant que cette relation ne soit découverte par les parents de l'enfant, rapporte le quotidien Sud-Ouest.
Une découverte d'autant plus surprenante pour eux que ces messages doux ressemblaient fortement à des écrits d'enfants. Des échanges écrits qui ont duré des mois entre le jeune garçon et l'employée communale, avant de se transformer en rencontre  près de la maison familiale.
Aucun trouble psychologique
Dès lors, les parents ont immédiatement porté plainte auprès de la gendarmerie, sans grand succès. Un examen psychiatrique a en effet conclu que l'employée communale n'avait pas de troubles psychologiques. Celle-ci n'a reçu qu'un simple rappel à la loi et a été mise à pied par la mairie.
Une décision insuffisante selon les parents de l'enfant, qui ont fait appel à une avocate et attendent qu'une suite soit donnée au dossier.  La famille a également décidé de déménager, par crainte que leur garçon "puisse voir cette femme", précise Sud-Ouest.