dimanche 30 juin 2013

GB: elle veut des enfants avec son prof

Une élève britannique mineure enlevée par son professeur, qui a depuis été condamné à la prison après une cavale en France, a confié qu'elle voulait avoir des enfants avec lui, dans une interview au Sun publiée dimanche.  "Je veux passer le reste de ma vie avec lui et peut-être une fois qu'il sera sorti de prison, nous pourrons nous marier et avoir des enfants ensemble", a affirmé l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans et dont l'identité ne peut pas être révélée pour des raisons légales.

La jeune fille et son ancien professeur en mathématiques, Jeremy Forrest, 30 ans, avaient fui le Royaume-Uni pour la France le 20 septembre, après quelques mois d'une liaison amoureuse clandestine qui commençait à éveiller les soupçons de la police. Ils avaient finalement été arrêtés à Bordeaux (sud-ouest de la France), à l'issue d'une semaine de fuite très médiatisée.
Jeremy Forrest a été condamné, le 21 juin en Angleterre, à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une élève de 15 ans. "Je me sens responsable du fait que Jeremy soit en prison. J'ai commencé cette relation et c'était mon idée qu'on s'enfuie", a déclaré la jeune fille au Sun.

Mais "Jeremy n'est pas un pédophile", a-t-elle ajouté, en référence aux affirmations de l'accusation pendant le procès, selon lesquelles il pouvait être considéré comme un "pédophile".
"Evidemment, Jeremy a franchi une ligne" qu'il n'aurait pas dû franchir, a-t-elle poursuivi. "Si j'étais extérieure à cette histoire, je serais en désaccord avec ce qui s'est produit, a-t-elle assuré. Mais quand on se retrouve dans cette situation, c'est vraiment difficile parce qu'on a des sentiments pour quelqu'un, et même si on essaie de faire de son mieux, on ne peut pas les empêcher."


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/30/97001-20130630FILWWW00062-gb-elle-veut-des-enfants-avec-son-prof.php

vendredi 28 juin 2013

2.500 emplois en moins à La Poste en 2012

Les effectifs de La Poste ont diminué de 1,2% en 2012, soit environ 2.500 postes, selon un document interne, qui montre également que les indicateurs de santé sont restés quasiment stables par rapport à 2011, mais à un niveau toujours assez mauvais. Alors que le bilan social de l'entreprise, dont la maison-mère emploie 243.172 personnes, doit être présenté en conseil d'administration le 4 juillet, La Poste indique dans ce document avoir recruté 5.211 personnes en 2012. Ce chiffre est en ligne avec son plan de recrutement de 15.000 personnes sur la période 2012-2014, revu à la hausse (+5.000) après deux suicides de cadres sur leur lieu de travail début 2012.
Dans le même temps, l'entreprise a enregistré 7.760 départs, dont environ deux sur trois ont été remplacés, le différentiel étant donc de 2.549 postes. Le taux de remplacement n'avait été que de un sur deux en 2011 et de un pour cinq départs en 2010.
 

jeudi 27 juin 2013

Nouveau scandale au Vatican : neuf prélats accusés de pédophilie

Une nouvelle affaire de mœurs vient à nouveau d’éclabousser l’image du Vatican. C’est un véritable scandale qu’a révélé ce jeudi le journal italien Corriere della Sera : neuf prélats de haut rang auraient payé pour s’offrir de jeunes garçons.
Selon le journal italien, le prêtre Patrizio Poggi aurait dénoncé le 8 mars dernier à la police roumaine un vaste réseau de prostitution impliquant des garçons mineurs et des religieux. L’homme aurait cité les noms de 9 prélats qui rencontraient régulièrement des jeunes prostitués à Rome.
D’après le prêtre Patrizio Poggi, « ce service était très bien organisé ». Les prélats faisaient appel à un ancien policier qui recrutait les jeunes garçons près de la gare Termini. « Il travaillait conjointement avec le manager d'une petite agence d'acteurs et de mannequins et un autre homme qui semble être le comptable d'une paroisse. Les rencontres entre les religieux et ces garçons, essentiellement d'Europe de l'Est, avaient lieu dans une église dans la banlieue de Rome » a-t-il expliqué.
Pour les services de ces jeunes prostitués, les prélats n’hésitaient pas à payer jusqu’à 500 euros la passe.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659892-nouveau-scandale-au-vatican-neuf-prelats-accuses-de-pedophilie.html

lundi 24 juin 2013

Elle jette son bébé dans les égouts

Cela s’est passé dimanche matin à Alicante, une ville du sud-est de l’Espagne. Des pompiers ont secouru un nourrisson après qu’un voisin ait passé un appel pour prévenir de miaulements répétitifs provenant des descentes d’eaux usées.
Mais il ne s’agissait pas d’un chat coincé, les miaulements étaient en réalité « les pleurs d’un nouveau-né de deux jours […] Les pompiers ont immédiatement procédé au dégagement et au sauvetage de l’enfant qui avait encore son cordon-ombilical », a expliqué une source policière.
Les secouristes n’en n’ont pas cru leurs yeux lorsqu’ils ont découvert ce nourrisson de 2,100 kilos, bloqué dans les égouts d’un immeuble où sa mère l’avait jeté après sa naissance pour se débarrasser de lui, selon la police.

Elle n’avait pas l’argent pour avorter

Le bébé a été transféré dans un hôpital local «dans un état grave, avec une fracture du radius et d'autres blessures, mais sa vie n'est pas en danger», a précisé la police. «L'enfant a pu être coincé près de quarante heures dans le collecteur où débouchent les descentes collectives d'eaux usées de l'immeuble», selon la police.
La mère, âgée de 26 ans, a été immédiatement arrêtée après le sauvetage. La jeune femme était depuis le vendredi 21 juin à l’hôpital général d’Alicante « après avoir affirmé qu'elle avait fait un avortement à son domicile», selon le communiqué.
La jeune femme a reconnu avoir « tenté de se débarrasser du bébé en le jetant» dans l'égout, indiquant « qu'elle ne désirait pas le garder et qu'elle n'avait pas l'argent nécessaire pour avorter», a ajouté la police.
En Chine, il y a un mois, un bébé a été retrouvé dans un conduit d'évacuation d'eau. Les sauveteurs avaient délicatement scié le tuyau pour sauver le bébé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/24/1657097-espagne-elle-jette-son-bebe-dans-les-egouts.html

dimanche 23 juin 2013

Paris:l'expo photo à nouveau vandalisée

Une deuxième série d'actes de vandalisme a été commise dans la nuit de samedi à dimanche sur une exposition photo contre l'homophobie, affichée à l'extérieur d'une mairie parisienne. Trois personnes ont été interpellées en flagrant délit.

"Il y a eu une seconde série d'actes de vandalisme (...) d'autres photos ont été lacérées, recouvertes de tags", a déclaré dimanche à l'AFP Olivier Ciappa, auteur des images exposées sur les grilles du square en face de la mairie du IIIème arrondissement.

Une source policière a indiqué à l'AFP que trois personnes avaient été interpellées en flagrant délit "en train de détacher une affiche", grâce à des caméras de surveillance. Les personnes interpellées ont nié appartenir à un quelconque mouvement homophobe, selon la même source policière.

Le photographe a précisé qu'il n'y avait quasiment plus de tirage indemne, sur une trentaine au total, après les dégradations commises la nuit précédente.

Dans la nuit de vendredi à samedi,
une douzaine de ces portraits grand format en noir et blanc avaient "été détruits, les visages ou les yeux méthodiquement lacérés ou découpés au cutter, avec une violence inouïe", s'était indignée l'association de lutte contre le sida AIDES.

L'exposition d'Olivier Ciappa, intitulée "Les Couples imaginaires", met notamment en scène des personnalités de tous horizons formant des couples homosexuels ou familles homoparentales fictifs. Son vernissage, prévu mercredi, n'est pas remis en cause, a indiqué le photographe, précisant qu'il pourrait se transformer en manifestation de soutien.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/23/97001-20130623FILWWW00103-parisl-expo-photo-a-nouveau-vandalisee.php

mercredi 19 juin 2013

Bac : des professeurs de français invités à gonfler les notes

Les candidats à l'oral du bac français de l'académie d'Orléans Tours auraient-ils plus de chance que les autres de décrocher une bonne note ? Selon le Figaro, les professeurs chargés de faire passer cette épreuve de français - dont les écrits commencent ce mercredi pour les élèves de 1ère - ont été invités à noter sur 24 et non sur 20. "Nous franchissons une limite idéologique inacceptable : il ne nous est plus seulement demandé de faire preuve de bienveillance mais de gonfler les notes de façon officielle afin de faire remonter les scores de l'académie" jugés décevants en 2012 (un point et demi en dessous de la moyenne nationale), déclare au quotidien le syndicat Sud d'Indre-et-Loire.
En 2012, l'académie d'Orléans-Tours s'est classée à la 22e place avec 83,3% de réussite au bac. Une position qui la place dans les derniers rangs avec Amiens, Nancy et Créteil.
Une grille d'évaluation régionale pour "penser positif"
Le Figaro cite une "grille d'évaluation régionale", émanant de l'inspection d'académie, distribuée aux examinateurs et précisant que l'oral de français doit être noté sur 24 points tout en restant officiellement une épreuve sur 20. "Les examinateurs doivent remplir deux fiches de barème : "l'une, officielle sur 20 et la deuxième, officieuse, émanant de l'inspection régionale", explique encore le quotidien.
Fustigés pour leur "attitude de notation négative" durant les épreuves de  2012, les enseignants ont été invités par les inspecteurs à "penser positif" cette année, écrit Le Figaro.
 

mardi 18 juin 2013

Un élève de 3e frappe un enseignant

Les enseignants d'un collège d'Angoulême ont exercé leur droit de retrait hier après-midi et ce matin après l'agression d'un collègue, frappé en plein cours par un élève à qui il tentait de confisquer son téléphone.

La scène s'est produite hier au lycée Jules Verne d'Angoulême, lors d'un cours de sciences de la vie et de la terre (SVT) confirmant une information de La Charente libre.

L'enseignant voulait retirer son téléphone

mobile
à un élève, dont l'âge n'a pas été communiqué. Ce dernier s'est alors énervé, avant de se lever et d'asséner un coup de poing à l'enseignant au niveau de la tempe. Le professeur, sonné par le coup, est tombé à terre mais n'a pas été hospitalisé.

Ses collègues ont immédiatement fait jouer leur droit de retrait et les cours ont été suspendus, a-t-on indiqué. Le directeur académique de la Charente s'est rendu ce matin au collège où il a rencontré les professeurs. Les cours avaient finalement repris dans l'après-midi.

L'élève a quant à lui été exclu à titre conservatoire et devra comparaître prochainement devant une commission de discipline. Les enseignants, qui réclament notamment la nomination d'un Conseiller principal d'éducation, vont déposer un préavis de grève pour lundi.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/18/97001-20130618FILWWW00524-un-eleve-de-3e-frappe-un-enseignant.php

vendredi 14 juin 2013

Armes chimiques en Syrie : Assad réfute les accusations américaines

Sans surprise, le régime syrien a qualifié vendredi de "mensonges" les accusations des Etats-Unis sur un recours par ses troupes à des armes chimiques dans sa guerre contre les rebelles.

Soutenue par la Russie, la Syrie a réfuté vendredi les accusations américaines d'utilisation d'armes chimiques, à l'origine de la décision de Barack Obama de livrer des armes aux rebelles.

"La Maison-Blanche a fait publier un communiqué truffé de mensonges sur le recours aux armes chimiques en Syrie, en se basant sur des informations fabriquées à travers lesquelles elle a tenté de faire assumer au gouvernement syrien la responsabilité d'un tel usage", a indiqué le ministère des Affaires étrangères de
Bachar al-Assad. D'après lui, ces accusations interviennent "après des rapports affirmant que les groupes terroristes armés actifs en Syrie sont en possession d'armes chimiques mortelles et de la technologie nécessaire pour leur fabrication". Damas dénonce donc un "deux poids, deux mesures".

Sur un plan plus diplomatique, la France a jugé peu probable l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne, envisagée par les
Etats-Unis, au-dessus de la Syrie. Le Quai d'Orsay rappelle en effet que cette solution requiert en effet résolution du conseil de sécurité de l'Onu  qui est peu probable en raison de la position russe.
 

jeudi 13 juin 2013

Cahuzac : les révélations des détectives privés engagés par son épouse

Encore un rebondissement dans l’affaire Cahuzac. Selon le témoignage d’un ancien agent du fisc, Rémy Garnier, des détectives privés détenaient dès octobre 2012 une liste de laboratoires ayant alimenté le compte suisse de Jérôme Cahuzac. Autre révélation : les détectives étaient apparemment mandatés par l’épouse de l’ex-ministre du Budget.
Entendu ce mercredi par la Commission d’enquête parlementaire, Rémy Garnier, ancien inspecteur des impôts du Sud-Ouest à la retraite, a déclaré avoir rencontré le 3 octobre 2012, à leur demande, les détectives privés Alain Letellier et Florent Pedebas. Ces deux hommes, mandatés par Patricia Cahuzac, épouse en instance de divorce de l’ancien ministre du Budget, étaient au courant de l’existence d’un compte caché en Suisse.
« À un moment donné, il a été question de 1,5 million d'euros » a expliqué Rémy Garnier. Les deux détectives avaient en leur possession « des documents sous les yeux avec une liste de laboratoires qui auraient alimenté le fameux compte », a-t-il ajouté. Mais Alain Letellier et Florent Pedebas n’auraient pas communiqué les montants des versements laboratoire par laboratoire.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/13/1649008-cahuzac-les-revelations-des-detectives-prives-engages-par-son-epouse.html

mercredi 12 juin 2013

TV grecque: "décision d'Athènes" (Berlin)

La décision du gouvernement grec de fermer la radiotélévision publique ERT est du seul ressort d'Athènes, a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, questionné sur la suspension de l'ERT lors d'une conférence de presse régulière. "Ce n'est pas l'affaire du gouvernement allemand, mais c'est celle du gouvernement grec", a déclaré ce porte-parole,

Alors que l'Allemagne passe dans certains pays européens pour celle qui impose l'austérité, M. Seibert a assuré que le gouvernement grec décidait lui-même des "mesures à prendre pour respecter ses obligations vis-à-vis de la troïka" des bailleurs de fonds internationaux de la Grèce (UE-BCE-FMI).

Le porte-parole du ministère des Finances, Martin Kotthaus, également interrogé sur le sujet, a abondé dans le même sens : "La troïka doit faire attention à ce que le programme convenu soit adopté". "C'est le gouvernement grec qui décide seul des détails. Car la Grèce est le pays qui doit décider où l'on travaille le mieux", a ajouté M. Kotthaus, précisant que ce "n'était pas à lui de dire si c'est bien ou pas".
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/06/12/97002-20130612FILWWW00441-tv-grecque-decision-d-athenes-berlin.php

mardi 11 juin 2013

Des enfants verbalisés en car scolaire

Des écoliers de Chalonges, en Isère, sont rentrés chez eux avec une amende après avoir été verbalisés dans le car scolaire, rapporte France Info. Ces enfants de 4 à 10 ans n'avaient pas pu présenter leur titre de transport.

En cause, un oubli des enfants qui ont pris le transport scolaire pour se rendre à la cantine,en milieu de journée. Alors que la plupart ont leur carte de transport dans leur cartable en arrivant le matin, ils ne l'ont pas emmenée pour déjeuner.

Le contrôle est survenu sur le trajet, sans contrôle préventif selon l'institutrice, et a duré trois quarts d'heure. Les amendes vont de 70 à 86 euros. Une enquête va être menée pour vérifier la méthode de contrôle.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/11/97001-20130611FILWWW00255-des-enfants-verbalises-en-car-scolaire.php

lundi 10 juin 2013

Roncq: ils laissent leur enfant de deux ans dans une voiture stationnée en plein soleil sur le parking d’un hypermarché

Samedi après-midi, un enfant de deuxans a été laissé sans surveillance dans une voiture stationnée en plein soleil sur le parking d’un hypermarché, à Roncq. Alertés par des passants, des CRS ont sorti l’enfant de la voiture. La fillette a été emmenée à l’hôpital dans un état sans gravité. Les parents ont été placés en garde à vue et ont fait l’objet d’un rappel à la loi.

Samedi vers 16 h, un enfant de deux ans était découvert seul dans une voiture stationnée en plein soleil sur le parking de l’hypermarché Auchan de Roncq. La voiture, fermée à clé, avait une vitre en partie baissée. Rapidement, des CRS, qui patrouillaient dans la galerie marchande, étaient alertés. Ces derniers sont parvenus à ouvrir le véhicule et à en extraire l’enfant.
C’est alors que les parents de la fillette se sont présentés sur place. L’enfant, dont l’état était sans gravité, a été transporté au centre hospitalier Dron à Tourcoing, pour y subir des examens de contrôle. Les parents, âgés de 27 et 30 ans, ont été placés en garde à vue. Poursuivis pour soustraction à une obligation légale compromettant la santé d’un enfant, ils ont fait l’objet d’un rappel à la loi.

http://www.lavoixdunord.fr/region/roncq-ils-laissent-leur-enfant-de-deux-ans-dans-une-ia26b58809n1317893

dimanche 9 juin 2013

Béziers : la factrice n'a pas envie de faire sa tournée, elle jette les paquets à l'égout

La Biterroise est passée devant le tribunal : prison avec sursis et 1000 euros à payer à La Poste. 
Le 30 mars 2012, une Biterroise repère l’étrange manège d’une factrice, en train de jeter des paquets dans un égout. La police retrouve à l’endroit indiqué sept paquets abîmés dont on a arraché l’adresse.
On contacte La Poste. Qui retrouve la préposée à la tournée. Il s’agit d’une remplaçante, en poste depuis six mois. La description correspond au signalement du témoin. La jeune fille, âgée de 20 ans, commence par nier. Elle était effectivement garée mais se contentait de téléphoner quand le témoin l’a aperçue.


Elle reconnaît les faits
Elle finit par reconnaître les faits. Son employeur décide d’une mise à pied. Le Parquet poursuit la jeune fille pour atteinte au secret ou suppression d’une correspondance adressée à un tiers. Explication de la jeune postière : "Je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est arrivé uniquement ce jour-là, je n’avais pas envie de distribuer le courrier, alors je m’en suis débarrassé."
Le parquet requiert une peine de principe. La factrice a été condamnée à un mois d’emprisonnement assorti du sursis. Elle devra payer 1 000 € à La Poste qui s’est constituée partie civile.

http://www.midilibre.fr/2013/06/09/par-flemme-la-jeune-factrice-jette-les-paquets-dans-un-egout,713306.php

Un enterrement reporté pour cause d'erreur de caveau

Les obsèques de Francis Dou, ancien employé des Postes décédé à 83 ans, ne se sont pas du tout déroulées comme prévu. À la suite d’une erreur des Pompes Funèbres, la dépouille de ce Toulousain n’a pu être inhumée hier matin. Tous ses amis et proches s’étaient réunis pour accompagner Francis Dou à sa dernière demeure. La messe a eu lieu à 9 heures en la chapelle Saint-Anne, puis le cortège s’est dirigé vers le cimetière de Terre-Cabade. «Nous nous sommes regroupés près du caveau, dans le secteur de Salonique où mon beau-père souhaitait reposer, près de son épouse décédée en 1982. Là nous avons constaté que rien n’était prêt pour l’inhumation», raconte le gendre du défunt. «Au bout d’une demi-heure, comme le cercueil n’arrivait pas, j’ai appelé le gardien du cimetière. En fait, les Pompes Funèbres s’étaient trompés de tombe. Ils avaient ouvert un autre caveau de la famille, dans une autre partie du cimetière. Ils n’ont pas tenu compte des indications qui leur avaient été données. L’inhumation a été annulée. J’ai exigé de parler au directeur des Pompes Funèbres mais on m’a dit qu’il fallait attendre son retour de week-end et que rien ne pourrait être réglé avant lundi ! La dépouille de mon beau-père a été placée en attendant dans un pavillon du cimetière. Les gens sont repartis, laissant des fleurs qui seront fanées, sans avoir pu lui rendre un dernier hommage. Nous, nous ne pouvons pas repartir à Paris. Mon épouse, qui était sa fille unique, et tous les proches sont affreusement choqués et très tristes». Cette famille désemparée, qui a réglé 4500 € pour les obsèques, n’entend pas en rester là. Elle souhaite des excuses et un dédommagement pour le préjudice moral et financier. Hier la direction des Pompes Funèbres Générales n’a pas souhaité s’exprimer.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/09/1645939-un-enterrement-reporte-pour-cause-d-erreur-de-caveau.html

samedi 8 juin 2013

Des haut-gradés de l'armée française fantasment-ils sur un coup d'Etat ?

Une revue militaire, "Revue de l'Arsenal", appelle les membres de l'armée française à faire un coup d'Etat, rapporte sur son blog Jean-Dominique Merchet.

Un punch peut-il avoir lieu dans l'armée ? C'est ce que laisse entendre la "Revue de l'Arsenal", publication militaire d'extrême droite, qui appelle des haut-gradés de l'armée française à lancer un coup d'État en France. Jean-Dominique Merchet évoque cette information sur son blog dans un billet intitulé, "Cette extrême-droite qui fantasme sur un coup d'Etat militaire".
Le journaliste y explique qu'"un groupe royaliste qui se revendique du Printemps français appelle à un coup de force de la part d'officiers catholiques". En cause, les manifestations contre le mariage pour tous qui ont portées le mécontentement des milieux d'extrême droite catholique traditionalistes, relayé par ces militaires. Autour de cette revue militaire graviteraiennt des groupes traditionalistes, qui se présentent comme l'émanation du Mouvement du 6-Mai, qui dit appartenir au printemps Français et au Lys Noir.
L'affaire est suivie de près par le ministère de la Défense. "Ce n'est pas l'appel au putsch qui est jugé préoccupant, mais le fait que plusieurs officiers généraux catholiques de renom soient, pour l'occasion, présentés comme les fers de lance d'un combat contre "le cabinet franc-maçon" du ministre Jean-Yves Le Drian : Benoît Puga, chef d'état-major particulier du président de la République François Hollabde, Pierre de Villiers, major général des armées, et Bruno Dary, ancien gouverneur militaire de Paris qui a quitté ses fonctions actives depuis un an", indique Le Monde (édition abonnée).
"Il y a une sorte de crispation d'une minorité"
Dans une interview à La Dépêche, Jean-Dominique Merchet indique que les militaires "qui ne sont pas dans cette mouvance me félicitent d'avoir écrit un article, mais ceux qui sont dans la mouvance du Printemps français me font la gueule. Il y a 250 000 militaires dans le pays, mais le "Lys Noir" est une infinie minorité qui cherche à avoir un impact sur les autres, car elle est très présente". "Faut-il s'en inquiéter ?", s'interroge le journaliste. "Il y a un an, j'aurai dit c'est délirant, mais il y a une sorte de crispation d'une minorité dans l'institution militaire en France".
"Il faut que nous soyons vigilants, estime de son côté un officiel de la Défense interrogé par Le Monde. La cristallisation autour du mariage gay a libéré certains comportements et paroles, cela peut avoir des incidences sur de jeunes officiers pour qui défendre la "grande armée" contre les socialo-communistes francs-maçons est un combat."
 

vendredi 7 juin 2013

L'ermite des Alpes déshérite sa femme

Marcel Amphoux avait rédigé un testament. C'est ce qu'affirme l'avocat Me Jean-Michel Colmant, du barreau de Gap, une information révélée par le dauphine.com. Selon lui, il s'agit d'un document écrit à la main par le célèbre paysan haut-alpin «dans les semaines qui ont précédé sa mort», le 28 novembre 2012. «Tous ceux qui l'ont vu disent que c'est son écriture.»

Dans ce texte rédigé au dos d'un courrier, le sexagénaire, dont le mariage controversé a fait couler beaucoup d'encre, fait des legs à plusieurs personnes, toujours selon Me Colmant. Il lègue à chacun de ses locataires le bien qu'il habite. Et le reste à «une autre personne». Mais ce légataire universel, comme le laissait entendre l'avocat dans nos colonnes la semaine dernière, n'est pas son épouse Sandrine.«Il marque bien qu'il ne veut rien donner à sa femme.»

L'original de ce testament a été déposé mardi chez le notaire de Briançon auprès de qui la succession de Marcel Amphoux a été ouverte, «pour qu'il soit pris en compte, et en lieu sûr : personne ne peut y toucher» souligne Me Colmant, qui représente un des locataires légataires.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/07/97001-20130607FILWWW00404-lermite-des-alpes-desherite-sa-femme.php

jeudi 6 juin 2013

Scandale foncier à Saly Portudal : Me Wade s’offre un terrain à 87 F Cfa le mètre carré

Le «Pape du Sopi» Me Abdoulaye Wade, actuellement à Versailles en France, est cité dans un « incroyable » scandale foncier dans la station balnéaire de Saly Portudal à 80 kilomètres de Dakar. L’ancien chef d’Etat aurait acquis un bail de 28 mille 813 mètres carrés au prix de quatre-vingt-sept (87) Francs Cfa le mètre carré.
Ce terrain à usage d’habitation portant bail n°838, a été acquis auprès de la Société d’Aménagement et de Promotion Touristique de la Petite Côte (Sapco), gérée au moment des faits par son neveu, le Pdg N'diouga Sakho. Ce scandale a été révélé par la Commission de vérification des comptes et de contrôle des entreprises publiques, selon «L’Obs.» .

 

mercredi 5 juin 2013

Chine : les femmes priées de se couvrir

La police conseille aux femmes de renoncer aux mini-jupes et autres tenues légères si elles doivent emprunter les transports en commun à Pékin cet été pour éviter le harcèlement sexuel, rapporte la presse chinoise de mercredi. Il est également conseillé aux femmes de se protéger en utilisant journaux et sacs et de se tenir dans les zones basses plutôt que dans la partie surélevée des compartiments pour éviter d'être prises en photo contre leur volonté.

Ces conseils sont édictés par le département trafic du Bureau de la sécurité publique de Pékin et reprises par le China Daily, quotidien officiel de langue anglaise. Rares sont les autobus de la capitale équipés de caméras de surveillance, ce qui rend difficile pour la police de rassembler les preuves d'attouchements et autres faits de harcèlement sexuel dont se plaignent souvent les femmes, déclare un responsable policier, Xing Wei, cité par le China Daily. La peine maximale encourue pour ce genre de pratiques est de 15 jours de détention, rappelle le policer.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/05/97001-20130605FILWWW00284-chine-les-femmes-priees-de-se-couvrir.php

mardi 4 juin 2013

Le maire de Sète en garde à vue

Le maire UMP de Sète, François Commeinhes, a été placé en garde à vue mardi dans les locaux du SRPJ de Montpellier dans le cadre d'une enquête préliminaire sur l'attribution d'une quinzaine de bars de plage, indique une source proche du dossier.

Convoqué en début de matinée, François Commeinhes devrait être remis en liberté en début de soirée au terme de son audition, a précisé la même source.

L'affaire avait éclaté lorsqu'un rapport de la Chambre régionale des comptes avait mis en lumière le manque de garanties financières et techniques de plusieurs dossiers d'attributions de concessions de plage finalement choisis.

En juillet 2012, la brigade financière de la Police Judiciaire avait perquisitionné la mairie sur cette affaire qui concerne l'attribution d'une quinzaine d'autorisations pour des bars de plages pour les années 2010 et 2011. Le maire de Sète n'aurait pas respecté les règles d'appel d'offres pour des marchés publics, attribuant des concessions à des proches ou des connaissances, a indiqué une source proche du dossier.

Dans le cadre de cette enquête préliminaire pour favoritisme, trois concessionnaires de bars de plages ont été placés en garde à vue en avril et un quatrième a lui été simplement entendu.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/04/97001-20130604FILWWW00403-le-maire-de-sete-en-garde-a-vue.php

lundi 3 juin 2013

93: un chef de la sécurité mis à pied

Le chef de la tranquillité publique de Montreuil, en Seine-Saint-Denis, a été mis à pied pour "faute professionnelle grave", après qu'un journaliste a été violemment pris à parti par des agents de sécurité municipaux. La maire de la ville, Dominique Voynet, a expliqué que cette mise à pied a été décidée après le visionnage d'une vidéo de l'altercation qui avait eu lieu en marge d'un festival de musique techno, dans la nuit du 18 au 19 mai, et dans laquelle le directeur de la sécurité de la commune dit notamment : "Je vais te démonter la gueule".

"C'est une affaire qui me mortifie et me scandalise", a ajouté la maire écologiste, se disant "révulsée par la brutalité" de la scène. "Je condamne fermement les conditions d'intervention d'agents de la ville" lors de cette altercation a également indiqué Mme Voynet, qui condamne "tout aussi fermement le comportement menaçant et les termes insultants et orduriers du directeur municipal de la tranquillité publique à cette occasion". Ce directeur, qui chapeaute un service d'une cinquantaine de personnes dont des agents de médiation, de surveillance de la voie publique, des policiers municipaux, des gardiens de parc etc., avait déjà été
suspendu de ses fonctions le temps qu'une enquête administrative soit menée.

Mikaël Lefrançois, qui travaille pour la société de production télévisuelle TSVP, avait raconté avoir été agressé lors de ce festival après avoir pris en photo des agents municipaux qui étaient munis de bombes lacrymogènes, ce qui est illégal. Violemment plaqué au mur puis au sol, ce qui avait provoqué une hémorragie à l'oeil droit du journaliste, il avait été contraint de donner le code de son téléphone portable au directeur de la sécurité publique, qui avait alors effacé les photos. Il a porté plainte pour violences aggravées.

Mme Voynet entend mettre un terme à des irrégularités qui ont trait à l'organisation du travail. Mais il y a aussi "des choses plus graves que je signalerai au procureur de la République", a dit Mme Voynet, comme l'équipement "illégal" d'agents municipaux en bombes lacrymogènes. Mme Voynet, qui présente des "excuses" aux journalistes, assure qu'elle va "revoir en profondeur les missions et les modalités d'intervention de nos agents".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/03/97001-20130603FILWWW00516-montreuil-un-chef-de-securite-mis-a-pied.php

dimanche 2 juin 2013

SNCF a débité des clients 2 fois

La SNCF a annoncé samedi que des voyageurs ont été débités par erreur une deuxième fois, le 30 mai 2013, pour l'achat de billets effectué entre le 6 septembre et le 4 octobre 2011 mais elle s'est engagée à les rembourser intégralement dans les meilleurs délais.

A la suite de la défaillance d'une entreprise prestataire de SNCF, un porte parole de la société de tansport explique que «les voyageurs ayant régularisé leur situation ou ayant acheté leur billet à bord d'un train entre le 6 septembre 2011 et le 04 octobre 2011, ont été débités une deuxième fois par erreur sur leur compte bancaire dans la journée du jeudi 30 mai 2013».Le montant moyen des billets achetés à bord d'un train est de 35 euros, avance le port-parole. La SNCF souligne qu'un petit nombre de personnes est concerné. Le montant global n'est pas encore connu, affirme le groupe. 


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/06/02/97002-20130602FILWWW00048-sncf-a-debite-des-clients-2-fois.php

Compte automatiquement et intégralement recrédités

Le transporteur ajoute qu'il a "immédiatement pris les dispositions nécessaires" pour que les clients concernés soient "automatiquement et intégralement recrédités sur leur compte bancaire".

La SNCF a par ailleurs mis à la disposition de ces voyageurs lésés un numéro vert (08 05 90 36 35) et ouvert une enquête afin de déterminer les origines de cette défaillance


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/06/02/97002-20130602FILWWW00048-sncf-a-debite-des-clients-2-fois.php

samedi 1 juin 2013

Vougeot : il boit un cubitainer de vin au volant de son camion

Ce jeudi, vers 21 h 15, sur la RD 974, à hauteur du rond-point de Vougeot, la brigade motorisée de Velars-sur-Ouche a arrêté un individu qui, ivre, était au volant d’un semi-remorque.
Composé de plusieurs parties, le véhicule était immatriculé en République Tchèque et en Belgique. Le conducteur était Slovaque.
Le camion, qui venait de Lyon, partait en Allemagne. Son chargement était composé de salons de jardin. Le conducteur, qui roulait avec 1,40 gramme d’alcool par litre de sang, a déclaré aux gendarmes avoir bu un cubitainer de vin rouge qu’il versait, en roulant, dans sa tasse à café. Lors du contrôle, plusieurs autres infractions à la législation des transports ont été relevées. Le permis du conducteur lui a été retiré. Le véhicule a été immobilisé. Vendredi, le patron de la société est venu récupérer le camion avec un autre chauffeur. Une consignation de 4 000 € a dû être payée.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/05/31/vougeot-il-boit-un-cubitainer-de-vin-au-volant-de-son-camion