samedi 31 janvier 2015

Handball : Énorme scandale autour des billets de la Coupe du monde au Qatar ?

Nouveau couac pour l’organisation du mondial de handball au Qatar. Des spectateurs étrangers qui avaient leurs places pour les demi-finales ne pourront pas assister au match. En effet, les organisateurs qataris ont décidé d’annuler les billets d’une partie des spectateurs non-qatari à l’occasion de la demi-finale Qatar-Pologne afin qu’il y ait une majorité de supporters locaux dans la salle.
 
 
LES FANS FURAX
Mauvais coup de Com ‘ de la part des Qataris, puisque les fans possédant un billet annulé sont furieux et comptent bien faire le forcing pour assister au match. Pas sûr que la sécurité les laisse passer… Une situation similaire avait été déjà remarquée, mercredi, lors du quart de finale Allemagne - Qatar, alors que près de cent supporters allemands avaient été recalés à l’entrée du stade. Le slogan de l’office de tourisme du Qatar « As Independent as you are » n’a jamais aussi bien résonné.
 

vendredi 30 janvier 2015

Sans chauffage depuis 10 jours

Avec ce grand froid, on est heureux de rentrer chez soi au chaud dans une maison bien chauffée, hélas ce n'est pas le cas pour la famille Lefert, des Avalats. Depuis plus de 10 jours, cette famille n'a plus de chauffage ni d'eau chaude suite à la panne de leur chaudière. Marcelle, la mère âgée de 90 ans, est handicapée 100%, elle se déplace avec un déambulateur et passe 17 h couchée dans son lit. Son fils Jean-Claude, 65 ans, connaît lui aussi des problèmes de santé et de déplacement. Le plus jeune des enfants, Thierry, a fait venir un plombier du village qui a décelé la panne, mais la pièce coûtant 800 €, il décide donc de commander une nouvelle chaudière dès le lendemain à des établissements spécialisés à Albi. Hélas, lors de la livraison, il manque un élément qui empêche le montage de la chaudière, la pièce n'étant pas disponible, il faut encore attendre. Cela fait maintenant 10 jours que la famille vit recluse sans chauffage avec seulement des petits radiateurs électriques pour les chambres et le salon. Les autres pièces n'étant pas chauffées, malgré les radiateurs la température n'avoisine que 17 °. L'infirmière qui fait la toilette à Marcelle et à Jean-Claude doit utiliser l'eau froide et faire des toilettes restreintes car impossible de pouvoir donner une douche. Thierry, quant à lui, va se laver chez des amis, il ne comprend pas pourquoi les établissements à qui il a fait la commande ne lui ont fait aucune proposition de chauffage de remplacement pour dépanner en attendant la livraison complète de la chaudière. « Je trouve inadmissible qu'avec deux personnes handicapées à domicile, on puisse nous laisser vivre dans de telles conditions sans chauffage ni eau chaude, nous ne sommes plus au Moyen Âge.»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/30/2039890-sans-chauffage-depuis-10-jours.html

jeudi 29 janvier 2015

Nice: Un enfant de 8 ans entendu par la police pour «apologie d’acte de terrorisme»

A 8 ans aussi, on peut être entendu pour «apologie d’acte de terrorisme». Lors d'une audition libre ce mercredi au commissariat de Nice (Alpes-Maritimes), Ahmed, 8 ans, a été entendu par la police, révèle le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF). Selon Nice Matin, il aurait lancé: «Je ne suis pas Charlie, je suis avec les terroristes.»
Au lendemain de l'attentat contre Charlie Hebdo, le 8 janvier, l'enfant, en classe de CE2, est interrogé par son instituteur, qui lui demande s'il «est Charlie», affirme le CCIF. De confession musulmane, il «s'oppose» aux caricatures de Mahomet et, selon l'organisation, aurait «répondu naïvement» qu'il était «du côté des terroristes».
Selon le directeur départemental de la sécurité publique, Marcel Authier, l'enfant avait également refusé d'observer une minute de silence et de participer à une ronde de solidarité dans son école primaire.

Pas de plainte, affirme la police

«Dans le contexte actuel, le directeur de l'école a décidé de signaler ce qui s'est passé à la police», précise le commissaire Authier, en notant qu'il ne s'agit aucunement d'une plainte. «On a convoqué l'enfant et son père pour essayer de comprendre comment un garçon de 8 ans peut être amené à tenir des propos aussi radicaux».
L'enfant a été entendu pendant 30 minutes, puis a joué avec des jouets pendant l'audition de son père, civilement responsable. «Visiblement, l'enfant ne comprend pas ce qu'il a dit. On ne sait pas où il est allé chercher ses propos», selon le directeur départemental de la sécurité publique.

«La police ment», dénonce l'avocat

L'avocat de l'enfant et des ses parents, Me Sefen Guez Guez, a tweeté sa colère dans la soirée depuis le compte @IbnSalah
La police affirme qu'aucune plainte n'a été déposée, ce que contredit l'avocat. Selon lui, «l'enfant est poursuivi pour apologie d'acte de terrorisme. C'est écrit noir sur blanc sur le PV que j'ai signé. La police ment.» Il précise également que le père, qui cherchait à calmer l'enfant, est poursuivi pour «intrusion dans l'établissement», et que les parents ont expliqué à leur fils que «le terrorisme, c'est mal» et condamné ses propos.
Selon le CCIF, l'enfant, diabétique, a rapporté «la privation de son insuline par le corps enseignant». Le collectif et l'avocat affirment encore que le directeur de l'établissement aurait lancé à l'enfant, qui jouait dans le bac à sable : «Arrête de creuser dans le sable, tu n'y trouveras pas de mitraillette pour tous nous tuer

http://www.20minutes.fr/societe/1528243-20150128-nice-entendu-policiers-apologie-acte-terrorisme-8-ans

mercredi 28 janvier 2015

Meeting de Valls: ERDF va enquêter

Le groupe ERDF a décidé d'ouvrir une enquête pour déterminer les responsabilités dans la coupure de courant survenue hier soir lors d'un meeting de Manuel Valls dans le Doubs et revendiquée par la CGT Mines-Energie.

Le Premier ministre s'était rendu à Audincourt pour soutenir le candidat socialiste Frédéric Barbier qui brigue le mandat de Pierre Moscovici, dans la 4e circonscription du Doubs, après la démission de ce dernier pour la Commission européenne.

Le discours de Manuel Valls a été retardé par une coupure de courant d'une quarantaine de minutes dans la salle où s'étaient réunies quelque 700 personnes. La branche énergie de la CGT a expliqué dans un communiqué transmis à L'Est Républicain avoir voulu ainsi protester contre la loi sur la transition énergétique, qui est "une bonne idée, mais avec de très mauvaises solutions". Electricité Réseau Distribution France (ERDF) attend les conclusions de son enquête pour envisager d'éventuelles sanctions.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/28/97001-20150128FILWWW00169-meeting-de-valls-erdf-va-enqueter.php

mardi 27 janvier 2015

Son chiot est refusé dans l’avion, elle le noie dans les toilettes de l’aéroport

Une Américaine a noyé son chiot de deux semaines dans les toilettes de l’aéroport régional du Nebraska (centre des Etats-Unis) parce qu’elle n’avait pas été autorisée à prendre l’avion avec l’animal.
Cynthia Anderson, 56 ans, a été arrêtée vendredi pour maltraitance envers un animal. Elle voulait embarquer à bord d’un avion avec son chiot, mais l’accès lui a été refusé parce que le chien, un Doberman, était trop jeune et n’était pas transporté dans les règles. Selon un policier interrogé par le journal, la quinquagénaire originaire de Floride a alors emmené le jeune chien dans les toilettes de l’aéroport où elle l’aurait noyé dans une cuvette
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/01/27/son-chiot-est-refuse-dans-l-avion-elle-le-noie-dans-les-toilettes-de-l-aeroport

lundi 26 janvier 2015

Véronique Sanson voulait embaucher un tueur à gages pour tuer son ex

La douceur du danger, il a failli la voir passer. L’ex mari de Véronique Sanson, Stephen Stiells, l’a échappé belle. Au moment de leur divorce la chanteuse souhaitait sa mort. Et elle a très sérieusement songé à engager un tueur à gages pour s’en débarrasser.
Véronique Sanson a raconté samedi soir sur le plateau d’
On n’est pas couché (France 2) n’avoir renoncé que par «peur de se faire prendre». «Je ne me disais pas du tout que c’était mal», a-t-elle précisé. Ni que c’était trop cher puisqu’il en allait de 8.000 dollars selon les renseignements pris par la star à l’époque, une somme accessible pour elle.
http://www.20minutes.fr/television/1525591-20150126-video-veronique-sanson-voulait-embaucher-tueur-gages-tuer-ex

dimanche 25 janvier 2015

Corse: attentat dans une résidence secondaire

Une résidence secondaire appartenant à un secrétaire national du Parti radical de gauche (PRG) a été quasiment détruite lors d'un attentat vendredi soir à Venzolasca (Haute-Corse).

L'attentat à l'explosif contre la villa de Guilhem Porcheron, qui était absent, n'a fait aucun blessé et n'a pas été revendiqué.
La maison, en construction à une trentaine de kilomètres au sud de Bastia, a subi de très importants dégâts, selon la gendarmerie qui a ouvert une enquête. M. Porcheron a reçu samedi le soutien de la fédération de Haute-Corse du PRG.

Ce parti dirige le Conseil général du département dans lequel il compte aussi un sénateur, Joseph Castelli, et un député, Paul Giacobbi, également président de la Collectivité territoriale de Corse. La fédération du PRG a condamné "avec la plus grande fermeté l'acte lâche et criminel qui a détruit" la résidence secondaire de M. Porcheron.

Déplorant que "ce type de violence (ne soit) toujours pas éradiqué", le PRG a ajouté qu'il était "important de continuer à le combattre avec la plus grande détermination" et a apporté son "soutien" à M. Porcheron. L'attentat a été commis le jour même où la ministre de la Justice Christiane Taubira, elle-même ancienne du PRG et proche de M. Giacobbi, se félicitait à Paris de la plus forte baisse des attentats (12 en 2014, soit 9 de moins qu'en 2013) en Corse depuis 30 ans, grâce à "la forte mobilisation des magistrats".

Cette baisse s'explique essentiellement par la décision du Front de libération nationale de la Corse (FLNC), le 25 juin 2014, d'engager un "processus progressif de démilitarisation".
Cette initiative, selon le FLNC, doit favoriser la mise en oeuvre des réformes politiques votées par l'Assemblée de Corse, dont la majorité est de gauche, concernant notamment la langue, un statut de résident et la fiscalité.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/24/97001-20150124FILWWW00159-corse-attentat-dans-une-residence-secondaire.php

samedi 24 janvier 2015

Bisphénol A : le rapport qui fait scandale

Interdit dans l’ensemble des contenants alimentaires depuis janvier 2015, le bisphénol A ne présenterait pas de risques pour la santé, y compris chez les enfants et les femmes enceintes, selon l’Agence européenne de l’alimentation. Voici les raisons de douter de ses conclusions.
L'exposition au bisphénol A aux niveaux actuels "ne présente pas de risque pour la santé des consommateurs", même si de nombreux doutes restent à tirer au clair, a tranché mercredi l'Autorité européenne pour la sécurité des aliments (Efsa). A l’issue d’une complète réévaluation de cette substance plastique, elle préconise, certes, de diviser par douze la dose journalière tolérée. Mais évoque seulement des "incertitudes" quant aux effets potentiels du BPA sur la glande mammaire, ainsi que sur les systèmes reproductif, métabolique, neurocomportemental et immunitaire. Par ailleurs, même si elle n’exclut pas complètement une possible incidence sur les cancers, notamment le cancer du sein, elle considère que le lien est "peu probable".  
En somme, ce perturbateur endocrinien ne serait pas dangereux, ni pour les enfants, ni pour les femmes enceintes. Pourquoi l’Efsa dénie-t-elle les méfaits de bisphénol A ? 
Désaccord entre la France et l’Europe. Selon deux rapports, publiés en 2011 puis en 2013, par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), il ne fait aucun doute que le bisphénol A est toxique pour la santé. Le rapport établit notamment que les enfants exposés in utero au bisphénol A ont un risque accru de développer un cancer du sein plus tard dans leur vie. Des effets sur les glandes mammaires et la puberté précoce sont également démontrés. On y apprend, par ailleurs que les contenants alimentaires contribuent à 80 % de l’exposition au bisphénol A et que les femmes enceintes et les enfants y seraient particulièrement sensibles. Par précaution, l’Anses publie dès 2011, une brochure d’information incitant les femmes enceintes à réduire leur exposition au bisphénol A.
Rapport partial ? Comment se fait-il que d’un côté les autorités de santé françaises s’inquiètent des méfaits du bisphénol A, mais que de l’autre, les autorités européennes les minimisent ? Peut-être tout simplement parce que l’Efsa n’a pas la même rigueur scientifique. "L’Efsa continue à nier l’évidence", dénonce le Réseau environnement santé (RES) dans un communiqué de presse, publié mercredi. L’association, reproche à l’Efsa d’ignorer volontairement les "95 % du millier d’études" publiées sur la toxicité du BPA. "Rappelons que l'agence française, l'Anses a, au contraire, tenu compte de la littérature récente et proposé dans son rapport de 2013, sur la base de la mise en évidence de tumeurs mammaires chez les souris exposées pendant la gestation une dose journalière autorisée de 25 ng/kg/j, soit 160 fois plus faible que celle de l'Efsa", écrit-elle encore.
Ségolène Royal évoque les lobbys. Après les biberons et autres produits pour bébé, l’interdiction du bisphénol A est généralisée, depuis début janvier, à la totalité des contenants alimentaires. Très offensive sur ce sujet, Ségolène Royal, avait d'ailleurs lancé un plan de lutte global contre les perturbateurs endocriniens en avril dernier. Hier, suite à la publication du rapport européen, la ministre de l’Ecologie s’est dite "très surprise" des conclusions de l’EFSA, avant de s’interroger sur "le poids des lobbys". "Cet avis va à l’encontre d’avis d’autres structures qui, depuis des années pointent les risques liés à l’exposition au Bisphénol A", a-t-elle souligné, indiquant qu’elle allait demander à l’Anses de se pencher sur les conclusions de l’Efsa. "Le ministère va faire expertiser cet avis, pour voir si le poids des lobbys n’est pas intervenu dans sa publication".
http://sante.journaldesfemmes.com/

vendredi 23 janvier 2015

2 gendarmes blessés par balle en Calédonie

Deux gendarmes ont été blessés à la tête par un unique coup de feu tiré sur leur véhicule blindé où ils s'étaient réfugiés après avoir essuyé des jets de pierres, hier après-midi à Canala (Est de la Calédonie), a-t-on appris de sources concordantes.
Le parquet a évoqué "une tentative d'homicide volontaire".
Les deux hommes ont été transférés à l'hôpital Gaston-Bourret (Nouméa) par hélicoptère. Leurs jours ne sont pas en danger, mais un des deux gendarmes est toujours hospitalisé.

Les faits se sont produits alors qu'une équipe de quatre gendarmes s'était rendue à la tribu de Nakéty (commune de Canala) pour tenter de récupérer deux véhicules volés à Nouméa quelques jours plus tôt. C'est alors qu'ils ont été agressés. L'un des gendarmes a été blessé au crâne, l'autre au cou.
L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Nouméa qui effectue enquête de voisinage et investigations scientifiques sur place.

"Toutes les pistes sont explorées", a assuré la procureure de la République, Claire Lanet. Les premières constations montrent qu'une seule balle a été tirée, visant la vitre, donc délibérément la tête. Il s'agit d'une tentative d'homicide volontaire". La commune de Canala est régulièrement le théâtre d'agressions visant les forces de l'ordre. "L'insécurité y est permanente", a indiqué la gendarmerie. "Nos équipes sont visées de façon récurrente, principalement par des jets de pierre".

Le maire de la commune, Gilbert Tiuyenon, a aussitôt condamné cet acte: "On ne peut accepter ce qui s'est passé. Toute ma solidarité va aux deux hommes qui ont été blessés ainsi qu'à leur famille dans ce moment difficile. Les autorités coutumières m'ont exprimé leur ras-le-bol et leur refus d'accepter ce genre d'exaction. Elles m'ont rappelé qu'elles avaient déjà su faire par le passé ce qu'il fallait pour livrer les auteurs de faits répréhensibles à la gendarmerie. Il s'agit d'une archi-minorité qui gâche la vie de tout le monde".

Le maire a également appelé le Haut-commissaire, Vincent Bouvier, pour demander une réaction de l'Etat.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/23/97001-20150123FILWWW00064-2-gendarmes-blesses-par-balle-en-caledonie.php

jeudi 22 janvier 2015

Bébé rom: la position du maire "illégale et discriminatoire" (Défenseur des Droits)

Le Défenseur des droits Jacques Toubon a estimé dans une décision transmise aujourd'hui que le maire de Champlan (Essonne), accusé d'avoir refusé d'enterrer un bébé rom dans son cimetière fin décembre, ce qu'il nie, avait donné une consigne illégale et discriminatoire à ses services.

Christian Leclerc (divers droite) avait été sollicité par la famille de la petite fille, décédée à deux mois de la mort subite du nourrisson, qui souhaitait l'inhumer à Champlan, où elle est installée dans un bidonville depuis plus d'un an. Mais selon l'Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms (ASEFRR), elle avait essuyé un refus, jugé non justifié

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/22/97001-20150122FILWWW00167-bebe-rom-la-position-du-maire-illegale-et-discriminatoire-defenseur-des-droits.php

mercredi 21 janvier 2015

Tunnel sous la Manche: nouvelle perturbation

La circulation des navettes (automobiles et poids lourds) dans les deux sens et le trafic des trains Eurostar était perturbée mercredi après une rupture de caténaire dans le tunnel sous la Manche, a indiqué le Centre régional d'informations et de coordination routière (CRICR).

"C'est une rupture de caténaire", a affirmé le service de communication du CRICR, interrogé sur la nature de l'incident survenu en début de journée. Des retards d'une durée indéterminée sont à prévoir mais la circulation est possible dans les deux sens, une circulation alternée ayant été mise en place dans le tunnel, selon la même source. Aucune heure de retour à la normale n'a pu être précisée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/21/97001-20150121FILWWW00126-tunnel-sous-la-manche-nouvelle-perturbation.php

mardi 20 janvier 2015

Elle met à sac un tabac presse pour un Charlie

La ruée pour se procurer le dernier Charlie Hebdo était toujours palpable vendredi dernier. À l'ouverture vers 8 h 30, un dépositaire presse proche de l'avenue de l'Hers à Toulouse, a été victime de l'agression d'une cliente indélicate qui souhaitait acheter ce numéro historique.
«La file d'attente était longue devant le magasin pour avoir un Charlie» confie la gérante qui souhaite garder l'anonymat. Voyant les numéros s'envoler un à un, une dame s'emporte, passe devant tout le monde et agresse la gérante verbalement, comprenant qu'elle n'obtiendra pas le fameux titre. «Elle est passée derrière le comptoir pour fouiller et tout retourner. Elle pensait que je lui mentais quand je disais que je n'avais plus de Charlie Hebdo». Elle a renversé sur son passage un portant de cartes postales, mais également tous les produits présents sur le comptoir, avant d'arracher le terminal de paiement pour cartes. Il restait en fait un numéro, mais réservé. La cliente «incontrôlable» d'après le couple, s'en est saisie… «Mon mari l'a stoppée avant qu'elle ne sorte. Elle lui a mis un coup de poing, puis il a essayé de la calmer en la plaquant au sol». La cliente déchaînée n'aurait quitté les lieux qu'après avoir repris son sang-froid. «C'était une personne que nous n'avions jamais vue auparavant, du moins ce n‘était pas une cliente régulière» ajoute la buraliste. La scène n'aurait duré que quelques minutes. Encore sous le choc, la patronne devait se rendre au commissariat de police pour porter plainte en apportant la bande de vidéosurveillance de l'agression.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/20/2032614-elle-met-a-sac-un-tabac-presse-pour-un-charlie.html

lundi 19 janvier 2015

Un chauffeur de bus de Kéolis Auch : «J'ai été viré car je défends mes collègues»

Jean-Luc Randrianantenaina était chauffeur de bus pour Kéolis. Il a signé un CDI à temps plein en juin 2014, il a été congédié le 7 janvier dernier. Explications.
Les fêtes de fin d'année ont comme qui dirait laissé un goût amer à Jean-Luc Randrianantenaina. Ce chauffeur de Kéolis Auch vient de se voir signifier sa fin de contrat alors même qu'il avait signé un CDI le 23 juin dernier. Le 31 décembre, il apprenait de la bouche de son chef d'équipe qu'il serait convoqué par le directeur le 7 janvier. Le 7 janvier, il apprenait de la bouche de son directeur qu'il était «remercié». «Je n'ai rien vu venir», glisse-t-il. Cette procédure n'a rien d'étonnant pour la direction (lire ci-contre) qui renvoie à la convention collective de l'entreprise. Mais d'après Jean-Luc Randrianantenaina, non seulement il ne peut pas la consulter faute d'être affichée par l'employeur, mais en plus, il n'y aurait rien à lui reprocher sur la qualité de son travail de chauffeur : «Ils m'ont dit que j'étais nickel ! Mais que je n'aurais pas dû m'entêter dans l'affaire du Cigalon : j'ai été viré car j'ai défendu mes collègues...»
«L'affaire du Cigalon» fait référence à une altercation entre un automobiliste et un chauffeur qui s'était fait insulter et cracher dessus en août dernier. Sur place, Jean-Luc Randrianantenaina, essuyait un doigt d'honneur. Les deux conducteurs de Keolis ont déposé une main courante au commissariat et souhaitaient aller jusqu'à la plainte, étant entendu que le malotru avait été identifié. «Mais la direction ne nous a pas soutenus : elle aurait préféré qu'on étouffe l'incident.»

Une procédure en justice

Et ce qui a le plus offusqué Jean-Luc Randrianantenaina, c'est de voir l'une de ses collègues être congédiée début décembre alors même «qu'elle se débrouillait très bien.» «Ils vous diront qu'elle a eu un accrochage avec constat mais ça arrive ! Elle a surtout souhaité porter plainte suite à une agression d'un client qui s'est quand même masturbé devant elle en l'insultant ! La direction l'aurait dissuadée d'aller plus loin. En fait, je crois et ce n'est que mon ressenti, que moins il y a de vagues, mieux c'est...»
Jean-Luc Randrianantenaina et son ancienne collègue comptent bien aller en justice. «Je conteste sur le fond, période de stage ne signifie pas d'essai, et sur la forme : je n'ai eu aucun courrier de convocation et je n'ai pas eu connaissance de l'objet de l'entretien. Je n'ai donc pas pu me faire assister, ce n'est pas normal.»
Cet avis contestataire, Pierre Wiart le partage aussi. Contacté au téléphone, le secrétaire général de l'intersyndicale Solidaires a reconnu conseiller Jean-Luc Randrianantenaina. Travaillant lui-même en étroite collaboration avec un cabinet d'avocats spécialisé dans le droit du travail, il assure qu' «une période d'essai ne peut pas aller au-delà de 4 mois maximum selon les métiers.» «Le Code du travail l'emporte sur la convention collective. Ça va finir aux Prud'hommes mais seul le tribunal pourra trancher. Signalons que l'on n'a pas de contacts avec Kéolis mais je ne peux que saluer la démarche de ces salariés qui osent. Surtout qu'il y a des antécédents de jurisprudence.» En attendant de savoir s'il prendra le même avocat que son ex-collègue, Jean-Luc Randrianantenaina est reparti chez lui. En bus.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/19/2031455-j-ai-ete-vire-car-je-defends-mes-collegues.html

dimanche 18 janvier 2015

Vésoul: un gendarme fauché

Un gendarme qui effectuait des contrôles d'alcoolémie a été grièvement blessé dimanche matin près de Vesoul lorsqu'un automobiliste lui a "délibérément foncé dessus" pour se soustraire à ce contrôle, indiquent la gendarmerie et le parquet.

Le fonctionnaire, qui a été projeté sur une vingtaine de mètres, souffre de multiples fractures. Il a été hospitalisé à Vesoul mais ses jours ne sont pas en danger.

Quelques heures après l'agression, survenue vers 4h45 sur la commune de Vaivre-et-Montoille (Haute-Saône), les deux occupants présumés du véhicule se sont présentés d'eux-mêmes à la gendarmerie, où ils ont été placés en garde-à-vue.

Le plus jeune, âgé de 22 ans, s'est présenté comme le conducteur du véhicule, bien qu'il ne soit pas titulaire du permis. Le second, âgé de 36 ans, avait consommé de l'alcool et des stupéfiants.

L'enquête devra notamment vérifier si le plus jeune des deux suspects était effectivement au volant lors de l'accident, a précisé à l'AFP une magistrate du parquet de Vesoul.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/18/97001-20150118FILWWW00060-vesoulun-gendarme-fauche-par-un-automobiliste.php

vendredi 16 janvier 2015

Sivens : le projet initial pas adapté (experts)

Le projet initial de barrage à Sivens (Tarn), contesté depuis plusieurs années par des associations locales, "n'apparaît pas comme une solution adaptée", estiment des experts dans un nouveau rapport remis aujourd'hui à la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal.

Ils proposent "deux options". La première envisage "la réalisation d'un réservoir de taille plus réduite sur le site de Sivens". La seconde inclut plusieurs retenues combinées, notamment en amont du site.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/16/97001-20150116FILWWW00155-sivens-le-projet-initial-pas-adapte-experts.php

jeudi 15 janvier 2015

Apologie du terrorisme: 2 collégiens gardés à vue

La Voix du Nord rapporte sur son site Internet le cas de deux collégiens de la région de Lens ayant été placés en garde à vue mardi. Les deux jeunes avaient refusé de faire une minute de silence en hommage aux victime des attentats de Paris, et, surtout, ont déclaré qu'il n'y avait pas eu assez de victimes et qu'ils voulaient faire le djihad.

Les deux cas ne seraient cepandant pas liés. Le premier interpellé, un collégien de 13 ans, aurait clamé qu'il était heureux de voir des policiers mourir, et qu'il regrettait qu'il n'y ait pas eu plus de victimes. Ressorti libre le soir même, il est convonqué le 20 février pour être mis en examen.

Le second collégien aurait notamment déclaré vouloir aller faire le djihad en Syrie, est cité par La Voix du Nord, aurait dit : "Si c'était moi, j'aurais pas tué que douze personnes, j'aurais tué tout Paris." Il ne supporterait pas que le blasphème ne soit pas considéré comme un délit. Ressorti libre, il est convoqué devant le délégué du procureur le 4 février.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/15/97001-20150115FILWWW00103-apologie-du-terrorisme-deux-collegiens-gardes-a-vue.php

mercredi 14 janvier 2015

Une vidéo choc de Daech montre un enfant en train de tuer des otages

Le groupe jihadiste de l’État islamique a diffusé mardi une terrible vidéo où on voit un garçon d’une dizaine d’années exécuter froidement deux otages. Nommé « Découverte d’un ennemi intérieur », le film dure 7 minutes et est commenté en russe, avec de nombreux ralentis et arrêts sur image.

Exécutés d'une balle dans la tête

Les deux hommes tués sont accusés par Daech de travailler en secret pour le FSB, les services de renseignement russes. L’un d’eux serait un Kazakh dont la mission était de se rapprocher d’un des combattants, l’autre aurait été chargé de tuer un des membres du groupe jihadiste. Sur la vidéo, on peut voir l’enfant armé d’un pistolet tirer à plusieurs reprises sur les otages à genoux et les mains attachées dans le dos. Les deux hommes s’écroulent sans vie sur le sol. A la fin du film, le garçon déclare s’appeler Abdallah, venir du Kazakhstan, et faire partie d’un camp d’entraînement pour enfants où il apprend à assassiner « les infidèles ».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/14/2028689-daech-publie-video-choc-enfant-train-tuer-otages.html

mardi 13 janvier 2015

PSG: Laurent Blanc aurait piqué une colère dans le vestiaire après la défaite à Bastia

Tout ça ressemble bien à une fracture. Lors du retour aux vestiaires après la calamiteuse défaite face à Bastia (4-2), samedi, l’entraîneur du PSG Laurent Blanc aurait grandement haussé le ton contre son équipe, comme le rapporte RMC. Selon la radio, Blanc n’a pas hésité à accuser ses joueurs: «Si vous voulez me lâcher, ça va être compliqué pour vous.» Avant d’ajouter, en visant particulièrement un Zlatan Ibrahimovic fantomatique sur le terrain comme en dehors depuis quelques temps: «Les pseudos-stars, c’est à vous de vous réveiller maintenant.»
Dépité par le manque d’implication de ses joueurs, Laurent Blanc sait qu’il sera le premier fusible si la situation parisienne -actuel 4e de Ligue 1- ne s’améliore pas rapidement. Ce qu’il a tenté de faire comprendre à ses hommes. RMC précise que certains joueurs auraient été particulièrement choqués par la prise de parole de leur coach. On verra à quel point mardi, face à Saint-Etienne en Coupe de la Ligue.
http://www.20minutes.fr/sport/1515763-20150112-psg-laurent-blanc-pique-colere-vestiaire-apres-defaite-bastia

lundi 12 janvier 2015

La mosquée de Poitiers visée par un incendie

Ce sont des riverains qui ont alerté les secours. À Poitiers, une mosquée en cours de construction a été touchée par un incendie dimanche soir vers 21 heures, relate le quotidien local Centre Presse. Le sinistre a été rapidement circonscrit et a occasionné peu de dégâts.

L'origine des flammes est à cette heure indéterminée. Mais, selon le journal, "Le chantier étant vide, surtout un dimanche soir, le caractère volontaire de l'incendie laisse donc peu de place au doute". Une enquête a été immédiatement ouverte.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/11/97001-20150111FILWWW00233-un-incendie-vise-la-mosquee-de-poitiers.php

dimanche 11 janvier 2015

L'émir lié aux Kouachi était en stage à la Pitié

Farid Benyettou, l'ancien "émir" de la filière jihadiste des Buttes-Chaumont, lié aux frères Kouachi, a effectué un stage infirmier à la Pitié Salpêtrière, mais a été retiré "du planning du service où il terminait son dernier stage", a indiqué dimanche à l'AFP l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, confirmant une information du Parisien.

"La situation de cet élève infirmier est régulière et elle est connue, depuis le début de sa scolarité, tant par la direction de l'école où il est scolarisé que des services de police", a précisé l'AP-HP.

"Les événements dramatiques de cette semaine nous ont conduit à prendre l'initiative, en liaison avec les autorités de police, de ne pas le maintenir dans le planning du service où il terminait son dernier stage, cette période n'étant pas indispensable à la validation de sa formation, pour laquelle il sera soumis à l'évaluation de droit commun comme les autres élèves infirmiers", a-t-on ajouté.

Selon l'AP-HP, "une condamnation portée sur le casier judiciaire interdit d'être recruté sur un emploi public, mais sans interdire de passer le diplôme, qui peut être valorisé dans d'autres lieux d'exercice que les établissements publics".

Dans son édition de dimanche, Le Parisien affirme que Farid Benyettou était au service des urgences de la Pitié Salpêtrière depuis décembre.

Mais "pour être infirmier, il faut être inscrit à l'ordre des infirmiers", rappelle à l'AFP Karim Maneri, membre du conseil national de l'ordre des infirmiers.

Or, le conseil décide de l'inscription ou non "en fonction de l'obtention du diplôme, de la moralité et de la probité du candidat", ajoute M. Maneri, pour qui "au vu du passé de Farid Benyettou", c'est "impossible qu'il puisse exercer ce métier en France un jour".

"Ca devrait même être impossible qu'il (Farid Benyettou, ndlr) puisse s'engager dans une école d'infirmier", estime Karim Maneri.
Le conseil national de l'ordre des infirmiers coordonne les conseils départementaux qui donnent les autorisations finales pour être inscrit ou non à l'ordre.

Cherif Kouachi, tué vendredi par les forces de police après l'attentat contre Charlie Hebdo, avait fait partie de "la filière des Buttes-Chaumont", qui sous l'autorité de Farid Benyettou, visait à envoyer des jihadistes en Irak dans les rangs de la branche irakienne d'Al-Qaïda.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/11/97001-20150111FILWWW00040-l-emir-lie-aux-kouachi-etait-en-stage-a-la-pitie.php

samedi 10 janvier 2015

Attaque à «Charlie Hebdo»: Un Strasbourgeois interpellé pour apologie de l'attentat

Une kalachnikov à terre et des mots de réjouissance. Voici la photo qu'un internaute strasbourgeois a publiée sur Facebook après l'attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo, mercredi. L'homme de 30 ans a été interpellé ce vendredi et doit être jugé lundi par le tribunal correctionnel de Strasbourg pour apologie par voie électronique d’un crime en relation avec une action terroriste, rapportent les Dernières nouvelles d'Alsace.
>>> Quatre interpellations à Lyon et dans le Rhône.
Cet habitant du Neuhof, connu de la justice pour des faits de droit commun, a publié la photo sur un compte ouvert avec un pseudonyme, mais la police est parvenue à l’identifier. L'homme encourt jusqu’à sept ans de prison
http://www.20minutes.fr/strasbourg/1513943-20150109-attaque-charlie-hebdo-strasbourgeois-interpelle-apologie-attentat

vendredi 9 janvier 2015

Nouveau scandale alimentaire chez McDonald's

En butte à une série d'incidents ces derniers mois, la filiale nippone de McDonald's (MCD 94.36 0.37%) a encore vu ses ventes chuter en décembre (-21%), pour le 11e mois d'affilée.
La firme fait également face à une pénurie de frites. Un mouvement social dans des ports américains en est la cause.
Les dernières révélations ne vont pas arranger les affaires du groupe. Dans un reportage diffusé, vendredi, par la chaîne de télévision Asahi, une femme assure avoir trouvé des fragments de ce qui ressemble à des morceaux de dent, réelle ou artificielle, ou à un pansement dentaire, dans un hamburger acheté en septembre dernier dans un McDonald's.
Fragments de couleur ivoire
«J'ai pris une bouchée et il y avait quelque chose de dur», a expliqué la Japonaise. Elle a d'abord pensé qu'il s'agissait de sable ou d'un caillou.
Elle a craché et trouvé des fragments de couleur ivoire. «Ces morceaux se trouvaient dans la viande», a-t-elle insisté, photo à l'appui.
Après s'être plainte auprès du restaurant, la cliente a reçu un rapport d'analyse selon lequel il s'agissait de morceaux de «matériau dentaire».
La firme a vérifié la dentition du personnel du restaurant incriminé, sans trouver d'édenté.
Plastique dans le poulet
La filiale nippone de McDonald's n'en finit pas de subir des revers. Cette semaine déjà, une autre cliente a révélé qu'elle avait trouvé une dent humaine, l'an passé, dans des frites vendues dans un autre établissement japonais.
Deux morceaux de sac en plastique ont été découverts récemment dans les nuggets au poulet de McDonald's. L'en-cas a déjà été victime, l'an passé, d'un scandale sanitaire.
Il a aussi été fait état d'un morceau de plastique dans une crème glacée servie dans un restaurant à Koriyama (nord-est). Cet objet a provoqué une coupure dans la bouche d'un enfant, ont confirmé mercredi les responsables de McDonald's.
Ces pépins surviennent alors que le groupe, qui compte quelque 3100 restaurants dans l'archipel, peine à se remettre d'un grave scandale de sécurité alimentaire, survenu en juillet dernier, à propos de viande périmée. (afp/Newsnet)
(Créé: 09.01.2015, 08h03)
http://www.tdg.ch/monde/faits-divers/

jeudi 8 janvier 2015

Nîmes : depuis un an, elle attend la visite de l’électricien

L ocataire dans le quartier du Cadereau, Alix Aillaud, âgée de 80 ans, réclame la remise aux normes de l'installation électrique vétuste de son appartement.
Alix Aillaud balaie du regard son petit deux-pièces, à deux pas de la Poste Cadereau : des traces d'humidité remontant jusqu'au milieu des murs, des tapisseries se décollant ici et là, et, surtout, des fils électriques à nu serpentant près du plafond... Profondément découragée  : à 80 ans, cette locataire a vécu la frayeur de sa vie, un matin de décembre 2013.
Alertée par des bruits, elle découvrait, dans les communs de ce petit immeuble aux quatre P2, un incendie, à deux pas de sa porte d'entrée. "Les compteurs électriques avaient pris feu", se souvient-elle. Aujourd'hui, ces fameux compteurs ont été remplacés et le hall repeint. Rien n'a bougé dans l'appartement que l'octogénaire loue depuis vingt ans : "J'ai peur qu'un jour, tout brûle."

Un incendie en décembre 2013

Si, juste après l'incendie, elle a quitté son logement durant une dizaine de jours, se réfugiant à Nice chez sa fille, Alix Aillaud a dû réintégrer le deux-pièces où, dans un premier temps, seul le néon de la salle-de-bains fonctionnait. "Je me suis éclairée à la bougie", soupire la retraitée des cantines et écoles de la ville de Nîmes qui s'acquitte tous les mois d'un loyer de 494,09 €. "L'agence qui gère l'appartement m'a promis le passage de l'électricien. Depuis plus d'un an, j'attends..."
La vieille dame a alerté le service hygiène de la ville, le conseil général. "Je ne sais plus quoi faire. On vient de me poser un pacemaker. Je vis seule, à mon âge, je n'ai pas le courage de déménager." L'agence immobilière nîmoise, qui ne souhaite pas donner son nom, confirme l'imminence des travaux : "Va être remis aux normes électriques tout l'immeuble pour un montant de 8 482 €, dont 5 000 € uniquement pour l'appartement de Mme Aillaud. Un acompte a été versé. L'intervention a été décalée à cause d'ennuis de santé de Mme Aillaud."
Reste désormais à trouver une autre date... treize mois après l'incendie
http://www.midilibre.fr//2015/01/07/nimes-depuis-un-an-elle-attend-la-visite-de-l-electricien,1107033.php

mercredi 7 janvier 2015

Un père filmait sa fille sous la douche

Un père de famille a filmé sa fille sous la douche, à son insu, dans la salle de bain familiale, durant quatre ans. Dernièrement, la justice a décidé de le maintenir en détention.
Pendant quatre ans, un père de famille a espionné sa fille adolescente dans la salle de bain familiale par le biais d'une caméra miniature dissimulée sous la douche.
Vendredi dernier, cet homme de 40 ans, qui voue un amour un peu particulier à sa fille, a vu sa demande de remise en liberté rejeter par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Toulouse. Il est maintenu en détention pour «agressions sexuelles» sur mineure, en l'occurrence sa fille, une circonstance aggravante qui a sans doute pesé dans les décisions des magistrats. «Les expertises psychiatriques n'ont pas décelé chez lui un profil de psychopathe, ni de pédophile. C'est un homme qui regrette considérablement ses actes», indique son avocat, Me Pierre Alfort. Les premières dérives de ce Toulousain, chef d'équipe dans l'aéronautique, commencent il y a quatre ans, alors que sa fille est âgée de 11 ans.

Caméra découverte

À plusieurs reprises, le père aurait laissé traîner ses mains sur la poitrine naissante de la jeune collégienne. D'autres témoignages font état d'attouchements sexuels répétés, des mains baladeuses sur l'entrejambe de l'adolescente. Bien plus que des gestes d'affection. Quelques mois plus tard, une étape supplémentaire est franchie. Le père déviant et visiblement insatisfait décide d'épier sa fille et son intimité en cachant une mini-caméra dans la salle de bain pendant qu'elle se lave. Les images de ces séances de voyeurisme sont aussitôt transférées sur son ordinateur. Pendant plusieurs années, l'adolescente est filmée à son insu sous la douche. Mais fin 2014, la jeune fille découvre le pot aux roses. Avec sa mère, elles se rendent au commissariat et déposent plainte contre le père pour agressions sexuelles. Ce dernier est interpellé par les policiers de la brigade des mineurs de la sûreté départementale. Les enquêteurs retrouvent la caméra et découvrent dans l'ordinateur les images de l'adolescente nue, filmée de pied en cap en train de se laver.
Dernièrement, cet homme, sans casier judiciaire, aurait reconnu devant la juge d'instruction, Dorothée Jullian, avoir «dérapé». Des aveux qui n'ont pas convaincu la justice. Ce père de famille est loin d'être un cas isolé.
Fin octobre, un homme de 45 ans a été condamné à Toulouse, par le tribunal correctionnel, à 2 ans de prison avec sursis pour avoir collectionné des images de sa belle-fille, filmée nue et à son insu dans la salle de bain de leur maison. A l'aide d'un téléphone portable discrètement caché dans un trou percé dans un mur, cet homme avait espionné sa belle-fille pendant quinze ans.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/07/2024262-un-pere-filmait-sa-fille-sous-la-douche.html

mardi 6 janvier 2015

Violée à 4 ans, indemnisée 20 ans après

Une jeune femme victime d'agressions sexuelles alors qu'elle n'avait que quatre ans, et qui avait entretemps occulté les faits, a obtenu devant le Tribunal de grande instance de Niort des indemnités de la part de son agresseur, vingt ans après sa condamnation pénale.

"Mon agression m'est revenue par bribes, tout doucement", raconte cette jeune femme aujourd'hui âgée de 24 ans, à laquelle ses parents avaient toujours caché les violences commises sur elle par un voisin en 1994: "pour eux, cette histoire est taboue".

A l'issue d'un "gros travail" psychologique, la jeune femme prend contact voici quelques années avec la gendarmerie "pour connaître la vérité" et finit par découvrir que son agresseur avait depuis longtemps été sanctionné par la justice, ce qu'elle ignorait jusqu'alors.

9250 euros

L'homme, âgé de 63 ans à l'époque des faits, avait été condamné en 1994 à trois ans de prison avec sursis, mais cette condamnation pénale n'était assortie d'aucune reconnaissance de dommages et intérêts sur le plan civil.

Contre l'avis de ses parents, la victime décide alors d'assigner au civil son agresseur pour obtenir des indemnités, comme la loi l'y autorise, mais aussi pour "mettre un visage sur cet homme". L'agresseur ne s'est pas présenté à l'audience devant le TGI de Niort. Mais, reconnaissant dans son jugement du 19 décembre que "l'enfant n'a jamais eu la possibilité de faire valoir ses droits à indemnisation", le tribunal a accordé à la victime, vingt ans après les faits, des dommages et intérêts d'un montant total de 9.250 euros au titre des préjudices moral, sexuel et financier.

Si la loi de 2008 a ramené à cinq ans le délai de prescription en matière civile pour la plupart des contentieux, la prescription a en revanche été portée à vingt ans pour certains domaines, comme les agressions sexuelles, les viols ou les actes de barbarie.

"Dans le cas de ma cliente, elle avait quatre ans au moment des faits. Entre la prise de conscience et la décision d'agir en justice à ses 24 ans, elle n'a eu dans les faits que peu de temps. Cette action au civil lui a permis d'assister à un procès. Ce délai de prescription a donc permis de lui rendre justice", souligne Me Olivier Martinez, avocat de la plaignante.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/06/97001-20150106FILWWW00137-violee-a-4-ans-indemnisee-20-ans-apres.php

lundi 5 janvier 2015

Une école de Seine-Saint-Denis incendiée à la veille de la rentrée

Une école élémentaire de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) a été la cible samedi d'un incendie qui a ravagé le bureau de son directeur à la veille de la rentrée et toutes les salles de classe ont été vandalisées.
L'incendie s'est déclaré vers 19h30 au premier étage de l'école Paul  Vaillant-Couturier, située à la limite de Montreuil. "Plusieurs personnes ont brisé une vitre du rez-de-chaussée pour pénétrer  dans l'établissement. Elles ont ensuite dégradé l'ensemble des salles de classe  avant de mettre le feu au bureau du directeur", a expliqué à l'AFP la  préfecture de Seine-Saint-Denis, confirmant une information du site du journal  Le Parisien.

Le feu s'est propagé au bureau de la secrétaire mais pas aux salles de  classe, qui seront ouvertes lundi pour la rentrée."Les deux bureaux sont inutilisables mais les services municipaux ont  travaillé dès samedi soir et toute la journée pour nettoyer et remettre en état  toutes les salles de classe de façon à accueillir les élèves demain", a déclaré  à l'AFP le maire socialiste de la commune, Tony Di Martino.

L'école maternelle voisine Henri-Barbusse a également connu des  dégradations, a ajouté l'édile. "Les deux établissements ont été visités,  saccagés", a-t-il déploré, condamnant un "incendie criminel" et des  "dégradations gratuites".
Aucun vol n'a été constaté. Selon M. Di Martino, le directeur de l'école  Paul Vaillant-Couturier est un homme "très apprécié", en poste depuis dix ans  dans l'établissement. La Sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis a été chargée  de l'enquête.
 
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/une-ecole-de-seine-saint-denis-incendiee-a-la-veille-de-la-rentree-8541943.html

dimanche 4 janvier 2015

Un ancien légionnaire devenu SDF se raconte

Dieu pardonne à ses bourreaux, moi je ne pardonne pas. » Comme en témoignent les quelques lignes tatouées sur sa main droite, « Wolf » a un passé douloureux… L’ancien légionnaire, passé par le Kosovo, l’Irak, le Liban, l’Afghanistan, a appris à survivre en terrain hostile. «  Voir, s’adapter, dominer, c’est ce qu’on nous apprend à la légion étrangère  », commente ce dernier, les traits marqués par la vie.
En 1999, après neuf ans au service de la France, et alors tireur d’élite, il refuse de devenir sergent instructeur et rend sa démission pour s’installer à son compte en tant que bûcheron. «  Je n’en pouvais plus de voir tant d’atrocités. Bon nombre de mes camarades sont morts au combat, et moi aussi, je l’ai échappé belle. Toutes les médailles militaires reçues n’effaceront jamais les images qui me hantent… Celle de ce petit garçon, mort dans mes bras, en plein cœur du marché de Kaboul après une attaque à l’explosif des talibans  », explique-t-il, le regard chargé d’émotion.

« Se relever définitivement »

Il faut dire que l’homme de 42 ans (Thierry de son prénom, NDLR), divorcé et père de deux enfants, est un survivant : ni la balle de kalachnikov qui lui balafre le visage, ni celle qui se loge en bas de son dos alors qu’il tente de secourir un frère d’arme n’ont eu raison de lui.
Son combat, il le mène aujourd’hui quotidiennement, bien loin des montagnes minées d’Afghanistan, dans les rues de Charleville-Mézières.
Thierry vit en effet sans aucune aide sociale, en comptant sur la générosité des différentes associations et des gens qui lui font l’aumône.
Après avoir survécu pendant près de trois ans dans les bois de La Houillère, «  dans une totale solitude  », « Wolf » dort actuellement dans un hangar humide et abandonné au bord de la Meuse ; se lave dans la rivière, ou, la nuit, à l’abri des regards, dans la fontaine de Monge. «  Quand il fait -10ºC, ce n’est pas toujours évident, mais j’ai été élevé à la dure », sourit-il.
Invalide, après avoir fait une chute de huit mètres (qui l’a d’ailleurs conduit dix jours dans le coma) en cherchant refuge dans une maison en ruine pour la nuit, Wolf ne perd pour autant pas espoir sur son avenir. « Je suis à la rue depuis 2008. Les aléas de la vie ont fait que j’ai tout perdu, sauf le sourire. C’est très important de garder le moral. Je me dis que si la roue a tourné une fois, elle tournera peut-être encore à nouveau.   Et puis, j’aime trop la vie pour me laisser abattre  », révèle-t-il. Avant d’ajouter : «  Les gens ne comprennent pas toujours ma situation… Aujourd’hui, tout ce qu’il me reste c’est une carte d’identité et quelques vêtements. Dur de trouver du travail ou de monter un dossier pour des aides dans ces conditions ! J’ai bénéficié du RSA quelque temps, puis j’ai été « oublié » par l’administration qui me demande des papiers que je n’ai pas. Heureusement qu’il existe quelques personnes, comme les bénévoles de la Croix-Rouge, qui se préoccupent de mon sort, en attendant que je me relève un jour définitivement. C’est aussi eux, qui me font tenir le coup  ! 
http://www.lunion.com/region/un-ancien-legionnaire-devenu-sdf-se-raconte-ia3b25n465385

samedi 3 janvier 2015

Une mère et sa fille traitées pour une myopathie qu'elles n'avaient pas

Une mère et sa fille, domiciliées à Lunéville, en Meurthe-et-Moselle, ont été traitées pendant 7 ans pour une myopathie alors qu'elles n'avaient rien. Une incroyable erreur médicale qui a bouleversé leur vie et pour laquelle elles demandent aujourd'hui réparation.
«Pendant des années nous avons vécu l'enfer, l'inquiétude de voir cette maladie nous dégrader. Notre famille a même failli exploser» rapporte, des larmes dans la voix, Mireille, 45 ans, qui a, tout comme sa fille, été traitée pendant 7 ans pour une myopathie mitochondriale dont ni l'une ni l'autre ne souffrait.
La famille vient de saisir la justice pour faire estimer son préjudice après ce mauvais diagnostic du CHU de Nancy.
Le cauchemar de cette famille de Lunéville, en Meurthe-et-Moselle, a commencé il y a 8 ans.
«À l'époque, poursuit Mireille, j'avais 37 ans et j'avais des douleurs intenses et régulières dans les articulations. J'ai alors consulté un médecin et à l'hôpital de Nancy on m'a diagnostiqué myopathie mitochondriale, cette maladie dégénérative effrayante, aux conséquences catastrophiques».
Ce diagnostic va la plonger dans un état de profonde déprime d'autant que ces douleurs ont persisté. «Je me suis coupée du monde. J'ai perdu mon travail et j'ai fini par vivre recluse chez moi en ne voyant plus personne».
Quelques mois plus tard, sa fille, la petite dernière, alors âgée de 8 ans, présente un état de fatigue extrême. «Très inquiète, je me suis alors rendue à l'hôpital, explique Mireille. La myopathie étant une maladie génétique et comme un spécialiste avait diagnostiqué cette affection chez moi, ils ont conclu que la petite souffrait de la même chose et elle a eu quasiment le même traitement que moi».
Mireille était très affectée d'avoir soi-disant transmis sa myopathie à sa fillette. «C'était pour moi une véritable torture psychologique. Je m'en voulais énormément. J'étais tellement au fond du trou que j'ai même demandé à mon compagnon de me quitter, de partir avec les enfants. Je ne voulais pas qu'ils me voient dépérir et je ne voulais pas, non plus, voir ma petite décliner». La gamine, devenue adolescente, était d'ailleurs en conflit avec sa mère l'accusant parfois d'être responsable de tout ça.
Finalement, il y a près d'un an, un nouveau médecin se penche sur le dossier médical de Mireille. «Il m'a annoncé qu'il y avait peut-être eu un raté, que je ne souffrais peut-être pas de cette maladie. Des examens complémentaires ont confirmé qu'il s'agissait bien d'une erreur. Et, c'est pareil pour ma fille. C'est vraiment incroyable et inacceptable», s'indigne la mère de famille.
«Vous vous rendez compte tous ces traitements médicaux très lourds que nous avons pris pour rien. Quels en sont les effets secondaires ?» s'interroge-t-elle.
Pour toutes ces années de souffrance inutile, la famille demande aujourd'hui réparation. Un passage indispensable pour se reconstruire, d'autant que la réaction de l'hôpital l'indigne : «On nous a dit qu'on devait s'estimer heureux de ne pas être myopathe, c'est trop facile», s'emporte Mireille.
La famille compte déposer dans les prochains jours un référé auprès du tribunal administratif. «Je veux faire constater l'erreur qui me semble incontestable, explique ce dernier».
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=40158&WS=291720_2501986&WA=8307

vendredi 2 janvier 2015

Nouveau soupçon de match arrangé dans l'affaire Nîmes Olympique

Selon le journal Le Parisien, le FC Istres a fait savoir aux autorités sportives et judiciaires que l'un de ses joueurs avait été approché avant la rencontre du 18 avril 2014.
Alors que les supporteurs espéraient que le club de Nîmes allait refaire la une pour ses performances sportives avec le 32e de finale contre Monaco dimanche, le journal Le Parisien / Aujourd'hui en France révèle, dans son édition du 2 janvier que les désormais anciens dirigeants sont soupçonnés d'avoir cherché à truquer un autre match de Ligue 2 en 2014. Alors que six rencontres font déjà l'objet d'enquête depuis que l'affaire a éclaté en novembre, celle du 18 avril entre Nîmes et Istres (1-0), comptant pour la 34e journée, pourrait aussi avoir fait l'objet d'une tentative d'arrangement.
D'après le quotidien, le FC Istres Ouest Provence a en effet envoyé à la Ligue de football professionnel et au procureur de la République, un courrier dans lequel il dévoile qu'un de ses joueurs a été approché avant la rencontre contre Nîmes par un intermédiaire. Or, c'est seulement quelques jours avant que la nouvelle équipe de dirigeants, dont le président Jean-Marc Conrad, était arrivé à la tête du club de Nîmes.
"Nous sommes les victimes", le président d'Istres, Henry Cremadès.
"Vu ce qui s'était passé dans le courant du mois de novembre avec le club du Nîmes Olympique, j'ai transmis l'information à la police. J'ai envoyé, le 7 ou 8 décembre un courrier à la Ligue de football professionnel et au Procureur de la République le 15 décembre", confirme le président d'Istres, Henry Cremadès, dans les colonnes du Parisien. Celui-ci croit savoir que l'enquête va donc s'élargir et que les protagonistes du dossier vont être entendus. Avant d'ajouter : "Une chose est certaine : nous sommes les victimes dans cette affaire ».

Six personnes mises en examen

Ce sont désormais huit clubs et plus d'une cinquantaine de personnes du football français (joueurs, entraîneurs, dirigeants, intermédiaires etc...) qui sont concernés par cette affaire », conclut Le Parisien. Six personnes ont déjà  été mises en examen pour corruption en novembre dernier. Outre Jean-Marc Conrad et Serge Kasparian, qui étaient alors président et actionnaire du Nîmes Olympique, les quatre autres protagonistes de l'affaire sont Jean-François Fortin, le président du club de Caen, l'homme d'affaires Michel Moulin, le président du club amateur de l'AS Ararat à Issy-les-Moulineaux, Franck Toutoundjian, et Kaddour Mokeddel, responsable de la sécurité du club de Caen.
http://www.midilibre.fr//2015/01/02/nouveau-soupcon-de-match-arrange-dans-l-affaire-nimes-olympique,1105264.php

jeudi 1 janvier 2015

Vol de bijoux sur cadavre

L'enquête débute à peine. À la demande de la maison de retraite de Lauzerte, les gendarmes tentaient hier de faire la lumière sur la disparition de bijoux sur une personne décédée en fin de semaine dernière dans l'établissement. Une plainte devait d'ailleurs être déposée hier par un des membres de la famille. Les enquêteurs veulent vérifier si une donation n'a pas été effectuée avant le décès et examinent aussi les emplois du temps du personnel et des patients. La valeur des bijoux disparus n'a été communiquée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/01/2021581-vol-de-bijoux-sur-cadavre.html