vendredi 23 septembre 2016

Mourinho sur Wenger: «Un jour, je lui exploserai la gueule»

Elle s’annonce sympa cette biographie de José Mourinho écrite par le journaliste du Sun qui l’a suivi pendant toutes ses années à Chelsea. Le livre sortira le 29 septembre, mais le Daily Mail en publie quelques extraits au compte-gouttes. Jeudi, sur le site du média britannique, on pouvait ainsi lire des déclarations pleines d’amour du coach portugais envers Arsène Wenger datant de l’hiver 2014.
>> A lire aussi: On est en 2016 et Arsène Wenger refuse toujours que José Mourinho s’assoie à côté de lui
Rob Beasley raconte ce que lui a dit le Mou en apprenant la réaction du coach d’Arsenal, qui l’accusait de « fausser la Premier League » en vendant Juan Mata à Manchester United. « Un jour, je le trouverai en dehors du terrain et je lui exploserai la gueule », a réagi le Portugais, fou de rage. Des révélations qui tombent à point, au moment où l’on fête en Angleterre les 20 ans de Wenger à la tête des Gunners.

Malaise aux Etats-Unis et gros crush pour Jennifer Aniston

Mais cette biographie n’est pas faite que de petites et grandes phrases. On y apprend aussi, selon le Mail, que Mourinho aurait bien voulu faire signer Wayne Rooney, même s’il le traitait de « gros » en public, que lors d’un stage aux Etats-Unis il a fait un malaise et qu’il a été soigné par Eva Carneiro, ou qu’il a eu un gros crush pour Jennifer Aniston à Los Angeles. « Ce n’est pas souvent que Mourinho ne sait pas quoi dire, mais là c’était le cas », raconte Beasley. Vivement le 29 septembre
http://www.20minutes.fr/sport/football/

mercredi 21 septembre 2016

2 policiers belges arrêtés avec des migrants dans leur véhicule

Deux policiers belges ont été interpellés hier soir à Nieppe (Nord) par la police française au volant d'un camion dans lequel se trouvaient treize migrants, a-t-on appris aujourd’hui auprès de la préfecture du Nord.

Les deux policiers belges ont été conduits au commissariat de police d'Armentières pour y être entendus, a affirmé cette source, confirmant une information de M6. En outre, "treize migrants ont été conduits dans les locaux de la police aux frontières à Lille pour le traitement de la procédure : trois mineurs ont été placés en foyer et dix personnes majeures sont en retenue administrative pour examen de leur situation", a précisé la préfecture. "On les a reconduits parce qu'on ne voulait pas les laisser ici, directement sur la route et les laisser à pieds aller à la frontière. Donc on les a reconduits (...) dans la direction où ils voulaient aller", a expliqué à la RTBF Georges Aeck, le commissaire d'Ypres, en Flandre occidentale.

Selon Vincent Gilles, président du SLFP Police, un syndicat policier belge, les policiers belges ont été menottés, "malgré l'identification". "Ou bien les collègues français ont voulu s'amuser - il n'y a qu'eux qui ont ri dans cette histoire, en plus ils couvrent toute la police française de ridicule -, ou bien dans le cadre du protocole d'accord entre M. Cazeneuve (le ministre de l'Intérieur français) et M. Jambon, le ministre de l'Intérieur belge, il est à craindre qu'il y ait de grands trous juridiques", a-t-il affirmé à la RTBF.
Les autorités françaises ont exprimé "leur plus vive réprobation à la suite de cette initiative qui n'est pas conforme aux pratiques habituelles de travail entre la France et la Belgique". "Des échanges sont en cours entre les autorités des deux pays afin de poursuivre les bonnes relations et la coopération existantes, notamment dans le domaine de l'immigration", a affirmé la préfecture du Nord.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Mis en examen pour une fausse alerte attentat

Un lycéen de Dinan (Côtes-d'Armor) a été mis en examen pour avoir fait croire à un attentat dans un lycée de Draveil (Essonne), rapporte aujourd'hui France Bleu. Le 6 septembre, l'adolescent avait appelé la police pour prévenir d'un attentat dans un lycée professionnel. Il avait enregistré des bruits de fusils d'assaut pour rendre sa supercherie crédible.

L'auteur du canular a été interpellé vendredi dernier puis mis en examen. Il risque jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 20 septembre 2016

Des riverains envahis par les cafards, avenue de Courbieu

«Au début je pensais qu'il y en aurait quelques-uns et que ça passerait rapidement», se souvient Nadine, une habitante d'un logement géré par le bailleur social Mésolia. Mais ce qui n'était que quelques cafards dans la cuisine début juillet est devenu une invasion. «Puis cet été il y en a eu partout : dans les tiroirs que j'ai dû vider, sur les joints du frigo, sur ma tête de lit, sous les plaques électriques, même dans le micro-ondes !», peste la riveraine. Les bombes insecticides et les pièges collants n'y ont rien changé. «Autant lutter contre du vent et en plus j'ai l'impression de ne pas être prise au sérieux», se lamente-t-elle.
À quelques numéros de chez elle, même scénario chez Losa Niutupea.
Nos techniciens sont intervenus dès le lendemain»
Les pièges collants sont efficaces mais ne limitent pas l'invasion. «On a emménagé en 2012 et depuis on a des cafards, je sursaute la nuit, je les entends dans le micro-ondes» explique la locataire. Fatigué de ce cauchemar, le couple a décidé de déménager et attend l'attribution d'un nouveau logement. «Dégoûtée» et «à bout de nerfs», Nadine, quant à elle, a contacté en juillet Mésolia qui lui a suggéré que le problème pouvait venir des eaux usées ou des eaux pluviales. La Saur, l'entreprise qui s'occupe de la gestion des eaux usées a assuré avoir traité le 2 août dernier : «Nos techniciens sont intervenus dès le lendemain de la demande et ont fait un curage préventif sur l'avenue de Courbieu, ils ont nettoyé les réseaux avec un furet à haute pression sur plus d'un kilomètre», a indiqué le service communication. «Nous n'avons pas eu d'autres demandes depuis mais nous interviendrons de nouveau si c‘est le cas», a-t-il assuré. Contacté à ce sujet, le syndicat des eaux de Castelsarrasin n'a pas souhaité répondre à nos questions. Alors problème d'hygiène ou des eaux ? Il n'empêche que les cafards sont toujours là
http://www.ladepeche.fr/communes/castelsarrasin,82033.html

samedi 17 septembre 2016

Toul : des vers dans les « carbo »

Quoi de plus écœurant que de retrouver des petites bêtes dans son assiette ? C’est la mésaventure qui est arrivée ce vendredi à  une partie des quelque 600 élèves du collège Valcourt et du lycée Camille-Claudel à l’heure du repas. « J’allais entamer mon assiette lorsqu’on m’a dit de ne pas manger. Je ne me doutais pas qu’on puisse trouver des vers dans les pâtes », confie Tallia, en classe de quatrième avant d’ajouter, encore stupéfaite : « Quand nous sommes allés le signaler au surveillant, il nous a répondu que nous n’allions pas en mourir, que ce n’était que de la viande ». Sa copine, Agathe n’a pas eu la même chance, elle, qui a pris son repas un peu plus tôt ne s’est aperçue de rien. « Quand j’ai appris qu’il y avait des vers dans les pâtes, ça m’a dégoûtée, j’en ai eu mal au ventre ». Sa maman, qui l’accompagne n’en revient toujours pas : « C’est inadmissible. Je ne sais pas si ma fille va retourner à la cantine lundi. C’est à Koh-Lanta qu’on mange des vers, pas dans une cantine scolaire ! »

Sur les réseaux sociaux

Une autre maman ne décolère pas non plus. « Ma fille, Emilie, qui est en classe de terminale à Camille-Claudel m’a envoyé une photo par MMS, accompagné d’un texte qui stipulait : ‘’c’est un scandale à la cantine, il y a des vers dans les pâtes’’. Je n’en croyais pas mes yeux. C’est honteux, on ne va quand même pas payer pour que nos enfants mangent des asticots ! ».
Hier après-midi, l’affaire a rapidement pris de l’ampleur sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook ou les commentaires fusaient à tout va : « On prend nos gosses pour des chiens », « Deux semaines seulement après la rentrée, il y a déjà un problème d’hygiène, qu’est ce que ça sera dans 6 mois ! », « Au prix des repas, ce n’est pas normal »…
De son côté, la principale du collège Valcourt, Brigitte Culli tient à rassurer les familles : « Dès que le problème est survenu, c’est-à-dire en fin de service, nous avons stoppé la distribution. Des échantillons ont été prélevés puis envoyés au laboratoire du Conseil départemental. Les résultats nous ont été communiqués, il n’y a aucun risque pour la santé. Les vers de farine trouvés dans les pâtes ne sont pas toxiques ».
La chef d’établissement indique que toutes les mesures nécessaires ont été prises et que tous les organismes ont été informés dans les plus brefs délais : « Nous avons informé le médecin scolaire, le médecin de l’Académie, les services vétérinaires, le service hygiène et sécurité du Conseil départemental, nos fournisseurs… Toutes les procédures ont été respectées ».
Même si ces vers, peu ragoûtants ne sont pas dangereux pour la santé, il y a de fortes chances pour que la cantine du collège Valcourt soit moins fréquentée lundi et les jours suivants.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2016/09/16/toul-des-vers-dans-les-carbo

vendredi 16 septembre 2016

Les urgences le renvoient chez lui alors qu’il fait une myocardite aiguë

«  Les médecins du centre hospitalier de Lens m’ont dit que si j’avais été me recoucher, je serais mort.  » Martin, Noyellois de 64 ans, est affaibli. Mais il a aujourd’hui assez de forces pour remettre en cause les méthodes de prise en charge de la polyclinique d’Hénin-Beaumont.
Dans la nuit du 25 au 26 juillet, le sexagénaire est pris de douleurs à l’estomac et ressent «  une légère oppression à la poitrine  ».
Mais une fois arrivé là-bas, «  aucune auscultation. On ne m’a même pas demandé ma carte vitale. Il n’y avait pourtant personne dans la salle d’attente. On m’a donné un médicament et on m’a dit d’aller voir mon médecin traitant le lendemain.  »
« Je suis resté deux jours en soins intensifs puis une semaine en cardiologie (...) J’aurais pu y passer »Au cours de la nuit pourtant, son état s’aggrave. Sa femme, Corinne, décide d’appeler les pompiers qui le transportent en urgence au centre hospitalier de Lens. «  Je n’arrivais plus à respirer, j’avais 18 de tension. » Le sexagénaire fait une myocardite aiguë. « Je suis resté deux jours en soins intensifs puis une semaine en cardiologie, je suis encore en arrêt maladie. J’aurais pu y passer… »                
Près de deux mois après, le traumatisme est encore bien présent. Corinne se réveille parfois la nuit pour écouter le cœur de son mari et doit subir des examens suite au stress.
Mais en lisant notre article décrivant l’histoire de cette Dourgeoise mettant elle aussi en cause la prise en charge hospitalière de la polyclinique, la colère de Martin et Corinne s’amplifie. «  Nous ne voulons pas d’argent, on ne veut rien  », clame la Noyelloise. «  Juste que cela ne se reproduise pas.
                      Parce que ce n’est pas anodin  », renchérit Martin. «  À la clé, il y avait quand même la mort pour moi…  »
http://www.lavoixdunord.fr/45284/article/2016-09-15/les-urgences-le-renvoient-chez-lui-alors-qu-il-fait-une-myocardite-aigue

jeudi 15 septembre 2016

Victime d'un incendie criminel, une famille se retrouve à la rue

Le jour de ses 2 ans, notre fils a passé la nuit dans la voiture.» Christopher, 30 ans, et son épouse Stéphanie, 29 ans, sont plongés, avec leurs trois enfants de 2 ans, 3 ans et 6 ans, dans la plus grande précarité depuis le 18 août et l'incendie de leur immeuble aux Pradettes.
«Ce soir-là, nous revenions des courses, relatent-ils. Vers 21 heures, nous avons entendu des cris dans l'immeuble et nous avons regardé par la fenêtre. Une personne qui toussait criait qu'il y avait le feu.» Stéphanie prend alors ses enfants et sort de l'immeuble en flamme. Ils sont tous pieds nus. «Moi, je suis resté pour crier qu'il y avait le feu pour être sûr que personne ne soit oublié.»
Intervention des sapeurs-pompiers, de la police… plusieurs familles se retrouvent à la rue après cet incendie criminel pour lequel l'un des habitants sera interpellé.
La mairie relogera cette famille une nuit puis l'assurance prendra le relais six autres nuits. «On a fait des démarches, on a appelé le 115. Nous avons eu une prolongation pour quatre nuits. Puis plus rien. Nous avons passé la nuit de la rentrée dans la voiture, pour les 2 ans de notre fils. Ensuite, grâce à l'intervention de policiers, on a obtenu des nuits d'hôtel.»
Mardi, la famille de Christopher et Stéphanie devait être expulsée. «Ils sont venus puis ils sont repartis. Aujourd'hui (N.D.L.R., hier), on a appris que nous étions prolongés jusqu'à mardi prochain mais après ?»
Contactée hier, la Préfecture a indiqué que «l'État prolonge l'hébergement à l'hôtel de cette famille». L'association Droit au logement dont des membres étaient hier aux côtés des sinistrés, mais aussi une assistante sociale ainsi que le maire de quartier des Pradettes (lui-même habitant de l'immeuble incendié) s'occupent de la famille. «Ils font beaucoup de choses mais pour l'instant, on ne sait pas ce que l'on va devenir.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

mercredi 14 septembre 2016

Un jeune paraplégique séquestré et rançonné

Un homme de 26 ans, paraplégique à la suite d'un accident de la route, a été séquestré et rançonné par l'auteur de l'accident qui voulait récupérer une partie de son indemnisation, selon des sources concordantes aujourd'hui. La victime a été secourue samedi à 22h alors qu'elle était attachée à son fauteuil roulant dans un appartement de Grenoble. Prévenus par un voisin, les policiers ont forcé la porte et secouru le jeune homme qui leur a dit être séquestré depuis la veille au soir, a indiqué la police, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

D'après son récit, la victime aurait été rançonnée par l'une de ses connaissances, un homme de 25 ans, auteur de l'accident ayant provoqué son handicap huit ans plus tôt. Cet homme avait à l'époque tiré le frein à main de la voiture dans laquelle ils se trouvaient à pleine vitesse et le véhicule s'était encastré dans un mur. A la suite d'une longue procédure judiciaire, la victime a touché quelque 600.000 euros d'indemnisation et l'auteur de l'accident aurait voulu en récupérer une partie.

Accompagné d'un complice, il aurait ainsi réclamé un virement de 50.000 euros à la victime, qui a été frappée à plusieurs reprises. Les deux suspects lui ont volé sa carte bleue et ont effectué deux retraits à un distributeur automatique. Ils ont ensuite pris la fuite avec sa voiture, une Audi A5 aménagée, retrouvée brûlée lundi matin à Seyssins, dans la banlieue de Grenoble.
Les suspects sont activement recherchés par les enquêteurs de la sûreté départementale. Deux femmes ont été placées en garde à vue, l'une est suspectée d'avoir prêté l'appartement dans lequel se sont déroulés les faits, l'autre d'avoir servi d'"appât". Elles ont toutes les deux eu de nombreux échanges téléphoniques avec l'auteur supposé des faits.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 12 septembre 2016

Mis à pied par texto, il saisit les prud'hommes

Un maître-chien employé par une société de gardiennage sur un campus universitaire à Reims a été mis à pied en vue de son licenciement par SMS, selon son avocat aujourd'hui, version partiellement contestée par son employeur.
Mercredi, un SMS est parvenu à cet employé de 38 ans, embauché en janvier: "Nous vous confirmons votre mise à pied conservatoire à compter de ce jour, cordialement", a rapporté son conseil, Me Emmanuel Ludot, à l'AFP, confirmant une information de
RTL. "On est dans une époque où on veut simplifier les procédures et le code du travail, mais quand même...", a ironisé Me Ludot, qui a engagé des poursuites devant les prud'hommes de Reims afin de faire annuler la mise à pied, récupérer les jours de salaire perdus et obtenir des dommages et intérêts.
Selon l'avocat, la société est connue pour sa pratique d'un turn-over important, s'appuyant sur des licenciements sans réels motifs afin de rajeunir régulièrement l'effectif et ainsi diminuer le volume des salaires. Son employeur a pris prétexte de son désir d'échanger un jour de repos avec un collègue pour le licencier, affirme ce salarié à l'AFP. "J'ai de l'expérience et dans ma carrière je n'avais jamais vécu ça", témoigne-t-il. "Nous lui avons téléphoné pour lui dire qu'il était mis à pied, et devant son intention de tout de même venir travailler sans l'existence de confirmation écrite, je lui ai envoyé le SMS", se défend François Paroche, de la société DGSA International, son employeur. La version est contestée par le salarié.

Selon M. Paroche, le salarié n'effectuait pas assez de rondes et avait confié des clés à une personne extérieure à la société, justifiant un entretien préalable à licenciement pour faute lourde pour lequel une convocation lui a été adressée trois jours après ce SMS. En droit du travail, une mise à pied à titre conservatoire est à durée indéterminée mais doit se solder par une procédure de licenciement. "Si cette société était aussi irréprochable, pourquoi y a-t-il des recours aux prud'hommes tous les six mois?", a fait valoir l'employé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 11 septembre 2016

Lézignan : un pensionnaire de 67 ans battu à mort devant la maison de retraite

Un sexagénaire a été frappé à mort de coups de bâtons samedi soir à Lézignan-Corbières par un homme alcoolisé qui a été interpellé et placé en garde à vue. 
"Une folie pure inimaginable". Les mots manquaient, ce matin, au maire de Lézignan-Corbières, Michel Maïque, pour comprendre la scène d'horreur qui s'est produite hier soir devant la maison de retraite, La Caponada.

L'agression s'est produite, hier aux environs de 20 h 30, sur l'avenue Achille Mir. La victime, un homme âgé de 67 ans, était en train de discuter devant l'établissement avec un voisin. Le meurtrier présumé est arrivé dans la commune au volant d'un fourgon avec lequel il a percuté plusieurs véhicules.
Pour une raison encore inconnue, le conducteur, dont on déterminera plus tard qu'il était en état d'ivresse, s'en est pris ensuite à un des deux hommes qui discutaient devant une maison de retraite. Le meurtrier présumé se serait emparé du bâton de marche du voisin et aurait commencé à frapper le résident de la maison de retraite, lorsqu'il a tenté de secourir son ami.
Le retraité a été mortellement blessé, d'un ou plusieurs coups à la tête. Des témoins ont aussitôt alertés les forces de l'ordre. Les pompiers de Lézignan sont également arrivés sur place. Les services médicalisés d'urgence ont tenté de réanimer la victime sur place, mais en vain. 
Un coup de folie ou un meurtre motivé ?
Le meurtrier présumé, un habitant de la commune, a pris la fuite vers les rues du centre-ville, où il y a des bars. Mais, grâce à des témoins, il a été très rapidement interpellé par les gendarmes et placé en cellule de dégrisement, avant d'être entendu sous le régime de la garde à vue.
Une enquête a été ouverte pour déterminer s'il s'agit d'un "simple coup de folie d'un homme ivre" ou si les protagonistes se connaissaient et s'il s'agit d'un meurtre avec un mobile. Le premier homme agressé, en état de choc, n'avait pas pu être encore entendu par les enquêteurs dimanche matin. Une autopsie de la victime est prévue lundi et une information judiciaire devrait être ouverte.  
L'auteur des faits a été interpellé par la gendarmerie. Il semble que le mis en cause, apparemment plus jeune que sa victime, vit à la marge de la commune, sans être lui-même un marginal. Il vivrait de réparations mécaniques.
Pour l'heure, il est encore trop tôt pour connaître les motivations de l'agresseur ou même de savoir s'il en avait. L'enquête ne fait que débuter pour éclaircir ce point central.  

http://www.lindependant.fr/2016/09/11/lezignan-un-pensionnaire-de-67-ans-battu-a-mort-devant-la-maison-de-retraite,2255672.php

samedi 10 septembre 2016

De la lessive pour les joggeuses : La Parisienne et ses cadeaux jugés sexistes

DE LA COURSE À LA PLONGE
Pour sa 20e édition, la célèbre course La Parisienne qui se tiendra dimanche 11 septembre a placé dans le sac des participantes plusieurs goodies parmi lesquels un échantillon de lessive. La raison ? Proposer des "produits adaptés aux femmes".
Après la séance de running, retour à la battée de linge ? C’est peu ou prou le message perçu par plusieurs participantes à la fameuse course La Parisienne, qui réunit depuis vingt ans des milliers de sportives sur un parcours de 6,7 kilomètres à travers la capitale. Car dans le sac de goodies qu’elles ont reçu cette année, elles ont pu découvrir pêle-mêle une casquette, un carnet, une bouteille d’eau… et un échantillon de lessive.


De quoi en faire tiquer certaines, qui sur les réseaux sociaux ont exprimé leur surprise à la découverte d’un cadeau, qualifié de "sexiste". "J’étais censée courir dans l’équipe de mon entreprise. La présence de cet échantillon de lessive n’a pas l’air de les embêter, j’ai décidé de ne pas aller courir, tant pis pour eux !" confie ainsi à LCI Marion, initialement inscrite à la course.
http://www.lci.fr/

vendredi 9 septembre 2016

Toulon : roués de coups parce que leurs compagnes sont en short

D eux femmes portant des shorts ont été agressées verbalement et trois hommes frappés ce dimanche 4 septembre à Toulon par un groupe d'une dizaine de jeunes gens, dont deux ont été interpellés et écroués ce mardi.
"Dimanche vers 13 h, à côté d'une cité sensible (à l'est de Toulon, ndlr), deux familles composées de trois hommes, deux femmes et trois enfants faisaient du vélo et du roller lorsque les femmes ont été prises à partie par une dizaine de jeunes de la cité voisine. Ils leur ont crié "Pute" et "Vas-y, mets-toi toute nue", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Toulon Bernard Marchal.

Frappés violemment au visage

"Les conjoints leur ont demandé de respecter leurs femmes et cela a provoqué une rixe. Les trois hommes ont été frappés violemment au visage sous les yeux des enfants, les femmes ont été légèrement bousculées", a ajouté le procureur, estimant qu'il s'agissait d'une "provocation à caractère sexuel pour provoquer la réaction des hommes", dont le plus grièvement blessé présente des fractures au visage et a eu 30 jours d'ITT.
Deux agresseurs de 17 et 19 ans ont été interpellés et écroués mardi, a affirmé M. Marchal, ajoutant qu'ils avaient des antécédents judiciaires. Une information judiciaire a été ouverte au parquet de Toulon pour identifier d'autres agresseurs.

Un précédent au mois de juin

En juin à Toulon, une jeune femme avait été agressée par un groupe de cinq filles dans un bus parce qu'elle portait un short en jean. Après cette agression, une centaine de personnes s'étaient rassemblées à Toulon pour une "marche en short".
http://www.midilibre.fr/2016/09/08/toulon-roues-de-coups-parce-que-leurs-compagnes-sont-en-short,1390187.php

samedi 3 septembre 2016

Un couple de retraités profane la tombe d'un ami au cimetière de Vouël

Pendant près de trois mois, deux sexagénaires originaires de Fargniers ont profané, tous les deux-trois jours, la tombe d’une lointaine connaissance. Ce qui serait à l’origine de ces agissements ? Une rancœur vieille de vingt ans...
Ils ont 60 ans, sont en couple et sont originaires de Fargniers. Ils sont de surcroît inconnus des forces de l’ordre et aux policiers ternois, ils ont raconté ne pas savoir pourquoi ils ont profané, de juin à septembre, la tombe d’une lointaine connaissance.
L’enquête des forces de l’ordre débute en juin. Les policiers du commissariat ternois enregistrent presque quotidiennement des plaintes pour profanation d’une seule et même tombe. Cela se passe dans le cimetière de Vouël, commune associée de Tergnier.

Des caméras installées pour repérer les malfaiteurs

Les enquêteurs commencent alors par se planquer pendant cinq jours. Et font chou blanc. Visiblement, les auteurs n’agissent pas lorsque les policiers sont présents.
Des caméras espion sont alors cachées sur place. Et enregistrent bien les auteurs des faits, un couple composé d’un homme et d’une femme, âgés de 60 ans, originaires de Fargniers, qui soit volent des objets, soit en cassent d’autres ou déversent par exemple de l’huile végétale sur la tombe.
Les scènes ont lieu tous les deux à trois jours, presque méthodiquement. Et ce pendant près de trois mois.
Ce qui va clore ce mauvais scénario, c’est l’interpellation de ce couple à la retraite et sans histoire par les policiers ternois. Placés en garde à vue, ils ne mettent pas longtemps à avouer les faits. Mais n’apportent en revanche aucune explication.
La famille dont la tombe a été profanée a chiffré les dégâts à 900 euros de préjudice.
Que sait-on d’elle ? Que des membres de sa famille ont assisté il y a très longtemps à un enterrement en même temps que les auteurs de la profanation. Et que ces auteurs ont jugé que cette famille n’avait pas à se placer si près du cercueil.
Ce serait donc le différend opposant auteurs et victimes. Ni plus ni moins. Et c’est ce qu’ils devront expliquer devant des magistrats du tribunal correctionnel de Laon, le 20 octobre, devant lesquels ils comparaîtront pour profanation de tombe en réunion.

http://www.lunion.fr/795099/article/2016-09-02/un-couple-de-retraites-profane-la-tombe-d-un-ami-au-cimetiere-de-vouel