«pas de preuve»
Pour la direction de Leclerc, l'absence de geste commercial vient du fait que «ces personnes ont refusé de montrer et de laisser le produit, on a voulu faire un geste commercial mais sans cette preuve c'était impossible» explique Marc Defieux, directeur adjoint. Les consommateurs reconnaissent ne pas avoir dévoilé le morceau incriminé : «ils voulaient le prendre, mais on n'aurait plus eu de preuves». Pour le centre commercial, il est difficile d'engager une quelconque action sans avoir vu le produit «sans la preuve, la réclamation ne peut pas être valide, si la preuve est avérée, on peut appeler l'industriel et mettre en place le service qualité, mais à cause de leur refus ça n'a pas été possible» regrette le responsable. Un sentiment de regret partagé par les clients : «J'aurai voulu que ça se passe autrement, en 15 ans on a jamais eu de problèmes avec eux, mais ça, c'était vraiment une horreur».http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/27/1523593-cahors-un-versois-trouve-un-megot-dans-son-boudin.html
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