Soutenue par la Russie, la Syrie a réfuté vendredi les accusations américaines d'utilisation d'armes chimiques, à l'origine de la décision de Barack Obama de livrer des armes aux rebelles.
"La Maison-Blanche a fait publier un communiqué truffé de mensonges sur le recours aux armes chimiques en Syrie, en se basant sur des informations fabriquées à travers lesquelles elle a tenté de faire assumer au gouvernement syrien la responsabilité d'un tel usage", a indiqué le ministère des Affaires étrangères de Bachar al-Assad. D'après lui, ces accusations interviennent "après des rapports affirmant que les groupes terroristes armés actifs en Syrie sont en possession d'armes chimiques mortelles et de la technologie nécessaire pour leur fabrication". Damas dénonce donc un "deux poids, deux mesures".
Sur un plan plus diplomatique, la France a jugé peu probable l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne, envisagée par les Etats-Unis, au-dessus de la Syrie. Le Quai d'Orsay rappelle en effet que cette solution requiert en effet résolution du conseil de sécurité de l'Onu qui est peu probable en raison de la position russe.
"La Maison-Blanche a fait publier un communiqué truffé de mensonges sur le recours aux armes chimiques en Syrie, en se basant sur des informations fabriquées à travers lesquelles elle a tenté de faire assumer au gouvernement syrien la responsabilité d'un tel usage", a indiqué le ministère des Affaires étrangères de Bachar al-Assad. D'après lui, ces accusations interviennent "après des rapports affirmant que les groupes terroristes armés actifs en Syrie sont en possession d'armes chimiques mortelles et de la technologie nécessaire pour leur fabrication". Damas dénonce donc un "deux poids, deux mesures".
Sur un plan plus diplomatique, la France a jugé peu probable l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne, envisagée par les Etats-Unis, au-dessus de la Syrie. Le Quai d'Orsay rappelle en effet que cette solution requiert en effet résolution du conseil de sécurité de l'Onu qui est peu probable en raison de la position russe.
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